Gregoire
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En tout cas, l'idée semble parcourir pas mal de médias ... Serait-ce un signe ?
Comment expliquer cette banalisation ?
La mode, c'est de briser les tabous. Des BV (NdlR, Bekende Vlamingen, des personnalités connues en Flandre) parlent ouvertement de leur consommation personnelle. Aujourd'hui, on recherche des sensations fortes, de l'évasion, des kicks… Prenez Tomorrowland : un jour ne suffit plus, on y reste trois jours. La coke, combinée avec de l'alcool, donne immédiatement ce kick recherché par beaucoup. Certains consomment aussi pour tenir le coup au travail. Un consommateur m'a dit récemment que son dealer ne travaille plus qu'en journée. Il passe même dans les bureaux pour vendre sa drogue. La vente se fait aussi par mail ou par SMS. Je connais un avocat qui prend de la coke pour avoir plus d'énergie et finaliser un dossier compliqué dans un délai extrêmement court. Par ailleurs, les loisirs sont impensables sans coke pour certains. Je connais des gens qui vont sniffer un peu avant un match de foot (dans leur voiture ou dans les toilettes d'une brasserie), et ensuite boire un verre pour être dans l'ambiance.
Quelle belle idée que voilà de vouloir légaliser la dure Ou c'est pour avancer sur la dépénalisation de la weed ?
Et vous, votre coke ?
La cocaïne s'est infiltrée à tous les étages de la société
Il n'existe forcément pas de chiffres officiels de consommation de cette drogue illégale. Mais tous les indicateurs convergent : elle augmente de façon significative. Surtout sous forme de crack.
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La poudre blanche fait fureur dans les bars et les soirées entre amis
Les résultats d'une enquête sur Facebook et Instagram auprès des consommateurs déclarés montrent qu'ils privilégient largement un usage "social" de la cocaïne.
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"Les cocaïnomanes en costume cravate ne s'identifient pas à des toxicomanes"
Au centre de jour Phénix, à Namur, un nouveau public apparaît : des consommateurs accros à la coke, mais qui sont toujours en lien avec le travail.
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"Se faire livrer de la coke à domicile est souvent plus rapide qu'une pizza"
Ancien cocaïnomane, David Ketteridge a fondé à Anvers le centre Reset qui aide les personnes à s'en sortir. Il s'inquiète de la banalisation croissante de la consommation de coke.
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Comment expliquer cette banalisation ?
La mode, c'est de briser les tabous. Des BV (NdlR, Bekende Vlamingen, des personnalités connues en Flandre) parlent ouvertement de leur consommation personnelle. Aujourd'hui, on recherche des sensations fortes, de l'évasion, des kicks… Prenez Tomorrowland : un jour ne suffit plus, on y reste trois jours. La coke, combinée avec de l'alcool, donne immédiatement ce kick recherché par beaucoup. Certains consomment aussi pour tenir le coup au travail. Un consommateur m'a dit récemment que son dealer ne travaille plus qu'en journée. Il passe même dans les bureaux pour vendre sa drogue. La vente se fait aussi par mail ou par SMS. Je connais un avocat qui prend de la coke pour avoir plus d'énergie et finaliser un dossier compliqué dans un délai extrêmement court. Par ailleurs, les loisirs sont impensables sans coke pour certains. Je connais des gens qui vont sniffer un peu avant un match de foot (dans leur voiture ou dans les toilettes d'une brasserie), et ensuite boire un verre pour être dans l'ambiance.
"La légalisation de la cocaïne n'est pas une solution"
Les groupes criminels n'en sortiraient pas affaiblis.
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Quelle belle idée que voilà de vouloir légaliser la dure Ou c'est pour avancer sur la dépénalisation de la weed ?
Et vous, votre coke ?