Je post car j'ia l'expliquation pourquoi la voix du chanteur d'Adema et de Korn se ressemblent... Ils sont demi-frere )
Allez hop, copié collé :
Ce qui m'a tout d'abord frappé à l'écoute du premier disque éponyme d'Adema, c'est l'extrème ressemblance entre la voix de leur chanteur, Mark Chavez, et celle du leader charismatique des désormais fameux KoRn, Jonathan Davis. Pas étonnant me direz-vous, ils sont frères. Un peu étonnat vous répondrai-je , vu qu'ils ne sont que demi-frères, et qu'ils n'ont que la mère en commun. J'en déduis donc qu'ils ont hérité de la voix de leur mère, ou plutôt de leur grand père maternel (enfin, j'espère pour la mère).
Après ce petit égarement généalogique, revenons au sujet qui nous intéresse : Adema est-t-il un bon album ? En un mot, oui. On aurait pu s'attendre aà une pâle copie de KoRn, le petit frère pas très futé, pistonné par son talentueux et puissant grand frère. Mais non, Adema a su s'écarter de son influent aîné, pour rechercher un rythme souvent plus simple mais efficace.
En effet, la simplicité des morceaux, les paroles qui reviennent souvent en boucle, les rythmes qui s'enchaînent en totale fluidité, permettent d'apprécier cet album en quelques écoutes seulement. Attention, j'ai dit quelques et pas une !
Les morceaux de cette galette sont plus ou moins métal ("Everyone", "Close Friends"), plus ou moins groovies ("Pain Inside", "Blow It Away"), plus ou moins rap ("Freaking Out", "Do What You Want to Do"), certains vous donneront envie de vous défouler ("Drowning"), d'autre de chialer ("Giving In", "Skin", "Speculum"). Le tout se concluant par une pure chason douce annonçant la fin de ces 40 minutes de plaisir ("Trust").
La simplicité et la beauté des mélodies de cet album le rend donc accessible à de nombreuses oreilles, même les plus sensibles. Adema réalise avec Adema un premier opus pas exceptionnel, mais très prometteur.
Allez hop, copié collé :
Ce qui m'a tout d'abord frappé à l'écoute du premier disque éponyme d'Adema, c'est l'extrème ressemblance entre la voix de leur chanteur, Mark Chavez, et celle du leader charismatique des désormais fameux KoRn, Jonathan Davis. Pas étonnant me direz-vous, ils sont frères. Un peu étonnat vous répondrai-je , vu qu'ils ne sont que demi-frères, et qu'ils n'ont que la mère en commun. J'en déduis donc qu'ils ont hérité de la voix de leur mère, ou plutôt de leur grand père maternel (enfin, j'espère pour la mère).
Après ce petit égarement généalogique, revenons au sujet qui nous intéresse : Adema est-t-il un bon album ? En un mot, oui. On aurait pu s'attendre aà une pâle copie de KoRn, le petit frère pas très futé, pistonné par son talentueux et puissant grand frère. Mais non, Adema a su s'écarter de son influent aîné, pour rechercher un rythme souvent plus simple mais efficace.
En effet, la simplicité des morceaux, les paroles qui reviennent souvent en boucle, les rythmes qui s'enchaînent en totale fluidité, permettent d'apprécier cet album en quelques écoutes seulement. Attention, j'ai dit quelques et pas une !
Les morceaux de cette galette sont plus ou moins métal ("Everyone", "Close Friends"), plus ou moins groovies ("Pain Inside", "Blow It Away"), plus ou moins rap ("Freaking Out", "Do What You Want to Do"), certains vous donneront envie de vous défouler ("Drowning"), d'autre de chialer ("Giving In", "Skin", "Speculum"). Le tout se concluant par une pure chason douce annonçant la fin de ces 40 minutes de plaisir ("Trust").
La simplicité et la beauté des mélodies de cet album le rend donc accessible à de nombreuses oreilles, même les plus sensibles. Adema réalise avec Adema un premier opus pas exceptionnel, mais très prometteur.