Onefive
Freddy Tougaux
Voila je dois faire un texte sur le récit fantastique, je viens de le finir mais j'aimerai avoir votre avis
-Orthographe
-Changement de tournur de phrase
-Avis
-Remplacement de mot
PS: Je sais que certaines choses sont un peu lourde mais je sais pas par quoi le changer donc c'est aussi un peu pour ca que je demande votre aide
.:Mort Subite:.
Ce jour là, nous étions rassemblés dans la demeure de mon arrière arrière grand père. La batisse où nous nous trouvions datait du 18ème Siècle et se situait en Irlande sur une falaise abrupte loin de toute civilisation. Nous attendions David avant de commencer la séance de spiritisme. J’avais trouvé un livre de spiritisme dans le grenier, il était usé par le temps mais les écrits étaient toujours lisibles, il parlait d’invocation, de prières et de sorts.
David arriva une demi heure après tout le monde. Nous étions enfin cinq : David, Mathieu, Charles, Grégory et moi-même. Il fallait être cinq comme disait le vieux livre, ensuite nous sommes allés chercher les objets pour pouvoir faire l’invocation. Il fallait de la poudre de quartz, cinq bougies blanches, et un gobelet d’or rempli de nos cinq sangs.
Après avoir réussi à trouver tous ces objets, nous nous sommes installés dans une pièce, utilisée comme chambre auparavant par mon arrière arrière grand mère,veuve car son mari s’était pendu pour des raisons inconnues. Cette pièce possédait deux fenêtres, un feu ouvert et une table ronde avec cinq chaises. Avant de commencer notre séance, nous allumions le feu, non sans mal ; mais lorsqu’il eut enfin pris, les flammes furent semblables à celle de l’enfer.
Je fis un cercle sur le sol à l’aide de la poudre de quartz autour de la table et des chaises. Je disposai les cinq bougies blanches devant chacune des chaises puis les allumais. Nous prîmes chacun place. D’où j’étais assis, je pouvais distinguer une bibliothèque, une vieille horloge à pendule, le feu ouvert et le tableau qui se situait au-dessus du feu ; entre l’âtre et le tableau se trouvait sept bougies éteintes. Nous commencions enfin notre séance en suivant à la lettre les consignes du vieux livre. Je plaçai le gobelet d’or rempli de nos cinq sangs au centre de notre table. Après cela nous récitâmes l’incantation :
-Nous t’invoquons esprit qui erre dans cette maison
Rien n’y fait, aucun signe d’esprit. Je décidai de relire entièrement le passage sur l’invocation des esprits. Et en effet, à la fin du chapitre se trouvai un petit paragraphe qui disait : « Pour que cette incantation marche vous devez réciter la formule et terminer celle-ci par les trois prénoms de l’esprit que vous voulez invoquer ». Problème, je ne connaissais que deux des prénoms de mon arrière arrière grand père, Jean Jacques. Nous essayâmes différentes possibilités mais rien n’y fit.
David en eut marre et s’avança vers la porte en quelque pas. Il nous dit « J’en ai marre de vos enfantillages, comme si on pouvait invoquer des esprits avec votre formule, vous me faite bien rire, pourquoi ne pas dire « Nous t’invoquons esprit qui erre dans cette maison Jean Jacques Léon »
D’un coup la porte se ferma, les volets claquèrent et se verrouillèrent
Le feu s’éteignit et soudain David tomba comme mort par terre. Il fut pris de convulsions pendant quelques secondes. Quand soudain elles s’arrêtèrent.
Il n’y eut plus de bruit pendant quelques minutes, qui pour nous semblait être des heures. Quand Mathieu, pris de panique brisa le silence. A son premier gémissement, David se releva et à ce moment, l’horloge devint folle, les bougies de la cheminée s’allumèrent. David s’avança vers nous mais ses yeux étaient blancs comme si il était possédé. Il essaya de saisir Mathieu mais il fut stoppé net par le cercle de poudre de quartz. Cependant on aurait dit qu’il pouvait faire trembler les objets, car la table commença à trembler, le gobelet de sang se renversa sur la table, les bougies de notre table se renversèrent aussi et leur cire se mélangea au sang et comme par magie le mélange format un mot :« MORT ».
David parla d’une voix qui n’ était pas la sienne
-« Qui a osé me déranger ? »
Je pris alors la parole, pris de panique et balbutiai :
-« Nous ne voulions pas vous déranger, nous voulions juste savoir si l’incantation de ce vieux livre marchait ».
-« Et bien il ne fallait pas être si curieux, pour vous punir, je vais tuer mon hôte ».
David se mit à léviter, puis son cou se marqua d’une ligne rouge ; après quelques secondes, son visage devint écarlate, ses yeux étaient exorbités et semblaient sur le point d’éclater, il tremblait de tout son long quand soudain, son corps ne bougea plus, quelque secondes après, celui-ci tomba par terre comme un sac.
Peu après les volets se rouvrirent, la porte se déverrouilla, le feu se ralluma et fut aussi ardent qu’au début. Quand la clarté fut revenue, nous nous tournâmes vers l’endroit où le corps aurait du se trouver mais celui-ci avait disparu. Pris de panique Grégory s’en alla et les autres en firent autant.
Je fus le dernier à sortir car Charles avait refermé si violemment que le tableau accroché au-dessus de la cheminée se décrocha et tomba dans le feu. Je le regardai brûler quand soudain, je vis ce que représentait cette peinture.
Elle représentait quatre jeunes hommes assis à une table, avec devant eux une bougie blanche allumée et sur le côté un jeune homme pendu.
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PS: Je sais que certaines choses sont un peu lourde mais je sais pas par quoi le changer donc c'est aussi un peu pour ca que je demande votre aide
.:Mort Subite:.
Ce jour là, nous étions rassemblés dans la demeure de mon arrière arrière grand père. La batisse où nous nous trouvions datait du 18ème Siècle et se situait en Irlande sur une falaise abrupte loin de toute civilisation. Nous attendions David avant de commencer la séance de spiritisme. J’avais trouvé un livre de spiritisme dans le grenier, il était usé par le temps mais les écrits étaient toujours lisibles, il parlait d’invocation, de prières et de sorts.
David arriva une demi heure après tout le monde. Nous étions enfin cinq : David, Mathieu, Charles, Grégory et moi-même. Il fallait être cinq comme disait le vieux livre, ensuite nous sommes allés chercher les objets pour pouvoir faire l’invocation. Il fallait de la poudre de quartz, cinq bougies blanches, et un gobelet d’or rempli de nos cinq sangs.
Après avoir réussi à trouver tous ces objets, nous nous sommes installés dans une pièce, utilisée comme chambre auparavant par mon arrière arrière grand mère,veuve car son mari s’était pendu pour des raisons inconnues. Cette pièce possédait deux fenêtres, un feu ouvert et une table ronde avec cinq chaises. Avant de commencer notre séance, nous allumions le feu, non sans mal ; mais lorsqu’il eut enfin pris, les flammes furent semblables à celle de l’enfer.
Je fis un cercle sur le sol à l’aide de la poudre de quartz autour de la table et des chaises. Je disposai les cinq bougies blanches devant chacune des chaises puis les allumais. Nous prîmes chacun place. D’où j’étais assis, je pouvais distinguer une bibliothèque, une vieille horloge à pendule, le feu ouvert et le tableau qui se situait au-dessus du feu ; entre l’âtre et le tableau se trouvait sept bougies éteintes. Nous commencions enfin notre séance en suivant à la lettre les consignes du vieux livre. Je plaçai le gobelet d’or rempli de nos cinq sangs au centre de notre table. Après cela nous récitâmes l’incantation :
-Nous t’invoquons esprit qui erre dans cette maison
Rien n’y fait, aucun signe d’esprit. Je décidai de relire entièrement le passage sur l’invocation des esprits. Et en effet, à la fin du chapitre se trouvai un petit paragraphe qui disait : « Pour que cette incantation marche vous devez réciter la formule et terminer celle-ci par les trois prénoms de l’esprit que vous voulez invoquer ». Problème, je ne connaissais que deux des prénoms de mon arrière arrière grand père, Jean Jacques. Nous essayâmes différentes possibilités mais rien n’y fit.
David en eut marre et s’avança vers la porte en quelque pas. Il nous dit « J’en ai marre de vos enfantillages, comme si on pouvait invoquer des esprits avec votre formule, vous me faite bien rire, pourquoi ne pas dire « Nous t’invoquons esprit qui erre dans cette maison Jean Jacques Léon »
D’un coup la porte se ferma, les volets claquèrent et se verrouillèrent
Le feu s’éteignit et soudain David tomba comme mort par terre. Il fut pris de convulsions pendant quelques secondes. Quand soudain elles s’arrêtèrent.
Il n’y eut plus de bruit pendant quelques minutes, qui pour nous semblait être des heures. Quand Mathieu, pris de panique brisa le silence. A son premier gémissement, David se releva et à ce moment, l’horloge devint folle, les bougies de la cheminée s’allumèrent. David s’avança vers nous mais ses yeux étaient blancs comme si il était possédé. Il essaya de saisir Mathieu mais il fut stoppé net par le cercle de poudre de quartz. Cependant on aurait dit qu’il pouvait faire trembler les objets, car la table commença à trembler, le gobelet de sang se renversa sur la table, les bougies de notre table se renversèrent aussi et leur cire se mélangea au sang et comme par magie le mélange format un mot :« MORT ».
David parla d’une voix qui n’ était pas la sienne
-« Qui a osé me déranger ? »
Je pris alors la parole, pris de panique et balbutiai :
-« Nous ne voulions pas vous déranger, nous voulions juste savoir si l’incantation de ce vieux livre marchait ».
-« Et bien il ne fallait pas être si curieux, pour vous punir, je vais tuer mon hôte ».
David se mit à léviter, puis son cou se marqua d’une ligne rouge ; après quelques secondes, son visage devint écarlate, ses yeux étaient exorbités et semblaient sur le point d’éclater, il tremblait de tout son long quand soudain, son corps ne bougea plus, quelque secondes après, celui-ci tomba par terre comme un sac.
Peu après les volets se rouvrirent, la porte se déverrouilla, le feu se ralluma et fut aussi ardent qu’au début. Quand la clarté fut revenue, nous nous tournâmes vers l’endroit où le corps aurait du se trouver mais celui-ci avait disparu. Pris de panique Grégory s’en alla et les autres en firent autant.
Je fus le dernier à sortir car Charles avait refermé si violemment que le tableau accroché au-dessus de la cheminée se décrocha et tomba dans le feu. Je le regardai brûler quand soudain, je vis ce que représentait cette peinture.
Elle représentait quatre jeunes hommes assis à une table, avec devant eux une bougie blanche allumée et sur le côté un jeune homme pendu.
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