tu n as pas encore vu ce ke fait la mère des bombes alors :wink:
petit edit pour explication:
L'engin pèse 9,5 tonnes ce qui en fait la bombe la plus lourde de toute l'histoire militaire et a une capacité de destruction équivalente à celle d'une petite bombe atomique. Larguée d'un avion, elle atteint son but par guidage satellitaire, ce qui en fait une arme non seulement redoutable par sa puissance, mais qui l'inscrit dans la panoplie des « armes intelligentes », tout comme les bombes guidées par laser. Sauf que, dans le cas de ces dernières, il est nécessaire que l'objectif soit désigné par un rayon laser tout au long du bombardement afin de guider le projectile vers sa cible avec précision, ce qui suppose la présence soit d'un avion au-dessus de celle-ci, « illuminant » au laser l'objectif, soit d'un agent au sol braquant un rayon laser sur ce dernier.
Dans les deux cas, cela immobilise des ressources et les place en danger. Rien de tel avec le guidage par satellite qui, moyennant une programmation préalable comme celle que l'on fait subir aux missiles de croisière, se dirige grâce au GPS droit sur l'objectif à détruire avec une précision de quelques mètres tandis que le bombardier peut s'éloigner vers des horizons plus sûrs.
la MOAB est une bombe a effet de souffle. Autrement dit, ce qu'elle ne détruit pas par les éclats ou la chaleur, elle anéantit par la puissance du souffle provoqué par l'explosion. Les bâtiments, bien sûr, mais a fortiori les êtres vivants, dont les tissus et les organes sont déchirés par le souffle et, quand ce n'est pas le cas, qui sont asphyxiés par la raréfaction soudaine de l'oxygène, provoquée par l'explosion.
ou encore la fameuse bombe a micro-onde ( E-BomB )
Présentée à tort comme une nouvelle arme ultra-secrète, la bombe-E est en réalité connue depuis fort longtemps, et a fait l'objet de publications publiques très abondantes de la part de l'armée américaine. L'US Air Force publie même sur le Net l'adresse, les budgets au dollar près, et les photos des laboratoires où se déroulent les recherches, la High Energy Research and Technology Facilty, au fin fond d'un canyon des Manzano Mountains (Nouveau-Mexique).
Les chercheurs russes s'y intéressent depuis 1949, mais c'est en 1962 que l'on a observé pour la première fois un véritable effet électromagnétique de grande ampleur. L'explosion d'une bombe de 1,4 mégatonne au-dessus du Pacifique fut suivie par la destruction de l'équipement de satellites, et la mise hors service des communications radio à haute fréquence sur l'océan pendant 30 minutes. Les militaires saisirent immédiatement l'intérêt de la chose, mais le côté «sale» des armes nucléaires a interdit de les utiliser à cette fin. Aujourd'hui, plusieurs pays sont capables de fabriquer des bombes-E, au demeurant assez simples et de taille réduite. Russes et Américains sont particulièrement avancés dans ce domaine, mais il est probable que d'autres pays (Chine, France...) en soient équipés.
Comment ça marche ? Au moment de l'explosion, la bombe produit un «orage» électromagnétique extrêmement puissant mais très bref (une affaire de nanosecondes). Ce flux massif est dirigé vers une cible, qui peut être aussi bien un poste de commandement qu'un navire de guerre, des centres de communication ou une ville entière. Cela peut se faire à partir d'un missile, ou plus simplement d'un drone, un engin volant sans pilote et relativement bon marché. Les HPM (High Power Microwaves) pourraient aussi être mises en œuvre à partir de véhicules terrestres, ou être lancées sous la forme de munition d'artillerie, d'obus de mortier, voire de grenades à main ou d'engins dissimulés. Au moment de l'explosion – probablement inaudible à distance – de puissants courts-circuits «grillent» les circuits électriques et électroniques, et endommagent gravement les mémoires et les systèmes d'exploitation des ordinateurs. Ils peuvent par conséquent provoquer non seulement des pannes de communication, mais de véritables catastrophes, en bloquant le contrôle de centrales nucléaires ou de réseaux hydrauliques, l'approvisionnement en énergie, et en paralysant les services d'urgence et les médias.
Aujourd'hui, divers procédés permettent de produire des flux électromagnétiques de plusieurs dizaines de térawatts, soit l'équivalent d'un bon millier d'éclairs. Ils portent des noms de science-fiction: magnétron, klystron relativiste, triode réflexe... Mais le dispositif le plus efficace s'appelle «vircator», un engin qu'un expert militaire australien, Carlo Kopp, qualifie de «simple, bon marché et robuste, et capable de produire des micro-ondes de plusieurs dizaines de gigawatts». Le «vircator» se présente sous la forme d'un cylindre, ce qui arrange bien les affaires des spécialistes en balistique.
Je vous dis pas l effet de cuissont ke ca doit avoir
