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Dessinateur Bruno MAÏORANA
Scénariste Alain AYROLES
Et Thierry Leprévost aux pinceaux
Genre Fantasy fantaisiste (Donjon Zenith Like)
Éditeur : Delcourt - collection Terres de légendes | 1995 - 2002
Source de la critique (ps : c'est un très bon site, enfin peut etre que tout le monde le connait déjà et que je débarque =/)
1. De mares en châteaux
2. De mal en pis
3. Le prince aux deux visages
4. L'ogre aux yeux de cristal
5. Preux et prouesses
6. La belle et les bêtes
Après avoir vu quelque prouesse humaine, Garulfo décide de devenir humain
Et s'en va loin de sa mare, dans le monde des hommes.
Il apprend qu'il existe un moyen pour devenir humain : le baiser d'une princesse.
Mais cela ne semble pas fonctionner...
Il faut avoir recourt aux fées.
Un second essai infructueux
Mais après s'etre enfin transformé, il n'a pas oublié la "méchante" princesse, qui est tombée amoureuse de sa forme humaine (meme s'il ne le sait pas
).
Vous l'aurez compris, Garulfo est un peu CON (ca se fait pas botter le cul d'une princesse dans de bonnes dispositions
)
Scénariste Alain AYROLES
Et Thierry Leprévost aux pinceaux
Genre Fantasy fantaisiste (Donjon Zenith Like)
Éditeur : Delcourt - collection Terres de légendes | 1995 - 2002
Source de la critique (ps : c'est un très bon site, enfin peut etre que tout le monde le connait déjà et que je débarque =/)
Comme vous l'avez compris, il y a donc 6 tomes, et une petite fin au second tome.Yodup a dit::arrow: Histoire
"Pourquoi suis-je né grenouille?", se lamente Garulfo dans son étang.
Il était une fois aussi... un prince nommé Romuald. Un jeune homme détestable, méprisant, arrogant, prétentieux, bouffi d'orgueil et de défauts. Seulement, comme il est prince, personne ne s'avise de s'opposer à ses désirs.
Il était une fois encore... une sorcière, Malvéliande, moche, vieille et effrayante, vivant dans une masure délabrée entourée d'une volée de volatiles. Ses pouvoirs, bien entendu, sont immenses. Est-elle vraiment méchante? Oui, bien sûr, et elle ne déteste rien de plus que la bêtise. Bêtise de Garulfo, cette grenouille à la naïveté crasse qui a fait de l'homme son idéal; bêtise aussi de Romuald qui concentre tout ce que l'homme a de méprisable.
Il était une fois, enfin... une belle princesse Héphylie, une pauvre gueuse, une duègne pas commode, un roi tyrannique, des châteaux, un ogre collectionneur de cristal, un lutin bondissant, des bons et des méchants, un dragon, un hibou, une vieille carne, Fulbert le canard, le petit Poucet, des loups et des brigands... Tout ce joli monde vivant dans une harmonie toute relative.
Et voilà que, grâce au bon vouloir de Malvéliande, le vœu le plus cher de Garulfo est exaucé: de grenouille, il devient prince. Tandis que Romuald, de prince devient grenouille, évidemment. Le premier va vite réaliser à quel point il s'est fourvoyé en souhaitant évoluer parmi les hommes, tandis que le second n'aspire qu'à retrouver son statut initial, tant l'état de grenouille lui paraît incompatible avec ses ambitions. Oui, mais voilà: il ne suffit pas de vouloir pour défaire ce qui a été fait...
:arrow: Critique
On ne dira jamais assez le pouvoir incontestable des contes de fées, toujours capable de s'exercer sur l'imagination des grands enfants que nous sommes tous devenus. A condition de le stimuler pour qu'il fasse son effet. Alain Ayroles en a fait sa spécialité. Plutôt que raconteur, il s'est inventé reconteur, une nouvelle spécialité alchimique qui consiste à transmuter la féerie en féerire. Facile à dire, subtil à faire...
Mais Alain Ayroles a trouvé le ton juste, sans parodier pour autant l'esprit des récits enfantins. Simplement, il s'est amusé à insérer dans les rouages qui régissent les contes une petite pointe de loufoquerie. Et de traiter le résultat sur un timbre résolument humoristique. Comme si les bonnes idées ne suffisaient pas, Alain Ayroles dispose d'une arme redoutable qu'il manie en maître d'armes: le dialogue. En mêlant adroitement langage châtié, voire ampoulé, et formules contemporaines, il procure au récit un véritable plaisir de lecture et dote chacun de ses personnages d'un caractère bien défini. Garulfo ne s'exprime pas comme Romuald, qui ne parle pas comme Pipa, qui n'utilise pas les mêmes expressions que Noémie, qui n'articule pas comme Fulbert...
Mais tous ces efforts auraient pu rester vain s'il n'y avait le dessin de Bruno Maïorana pour les traduire. A mi-chemin entre l'enfance et le réalisme, son trait sonne en accord avec le ton du récit. De plus, il dispose lui aussi de deux atouts de valeur: sa capacité à rendre ses personnages -humains ou animaux- remarquablement expressifs et un don pour traduire le mouvement qui rappelle bien souvent le dessin animé.
Fruit de cette association, Garulfo n'a pas usurpé le succès qu'il rencontre aujourd'hui. Désormais, on saura que dans la grenouille, tout est bon.
:arrow: Pour en savoir plus
Initialement, il n'était pas prévu que Garulfo dépasse les deux épisodes. D'ailleurs, le second tome se conclut par une vraie fin... Qui est devenue une fausse fin après l'écho favorable reçu par la série et grâce à l'idée géniale soufflée par Jean-Luc Masbou (dessinateur de la série De Cape et de Crocs dont Ayroles est également scénariste et qui également critiqué dans ces pages) qui a permis à la suite de voir le jour, sans que l'on ne puisse rien trouver à y redire. Pour autant, Garulfo n'était pas destiné à devenir éternel non plus. Six épisodes, c'est déjà une belle longévité pour une grenouille, non ?
Toujours plus
Bien qu'il soit (re)connu comme scénariste, Alain Ayroles a une formation de dessinateur de bande dessinée et il escompte bien un jour mettre ses talents en pratique aussi dans ce domaine.
1. De mares en châteaux
2. De mal en pis
3. Le prince aux deux visages
4. L'ogre aux yeux de cristal
5. Preux et prouesses
6. La belle et les bêtes
Après avoir vu quelque prouesse humaine, Garulfo décide de devenir humain

Et s'en va loin de sa mare, dans le monde des hommes.

Il apprend qu'il existe un moyen pour devenir humain : le baiser d'une princesse.

Mais cela ne semble pas fonctionner...


Il faut avoir recourt aux fées.

Un second essai infructueux

Mais après s'etre enfin transformé, il n'a pas oublié la "méchante" princesse, qui est tombée amoureuse de sa forme humaine (meme s'il ne le sait pas

Vous l'aurez compris, Garulfo est un peu CON (ca se fait pas botter le cul d'une princesse dans de bonnes dispositions