Cette interview étant très longue, je vous ferai seulement un résumé de ce qu'on y apprend/réapprend:
- Les conditions de victoire dans les missions solos sont très diverses: de la destruction totale d'une base à la mission d'infiltration pour détruire un pont.
- Ils se sont inspirés de plusieurs jeux, mais pas vraiment d'un en particulier, et ont surtout fait beaucoup de choses eux-mêmes
- Le seul code qu'ils ont repris des anciens C&C est une petite partie du code réseau de AR2.
- Le développement de Generals a commencé dans les mêmes temps que celui de Renegade. Ce dernier a d'ailleurs moins bien marché que les STR, mais s'est tout de même pas mal débrouillé, il y ne faudra pas s'étonner de revoir débarquer un C&C dans un nouveau genre de jeu dans le futur...
- Des infos sur le projet de Westwood arriveront dans un futur proche.
- Il y a plus de 80 unités et structures dans le jeu, et il n'y a pas de limite de construction d'unités.
- Le grade d'unité "Héroïque" est toujours présent et le systeme d'expérience permettant de choisir des bonus promet de très nombreuses tactiques
- Il sera possible de jouer les camps dans n'importe quel ordre dans la campagne, mais cette dernière sera linéaire
- Le quick match a été amélioré. Vous avez plus d'infos sur le joueur que vous affrontez. Le Communicator permet aussi de chatter avec un ami se trouvant dans le jeu ou non. Un mode observateur sera présent
- L'éditeur de cartes vous permettra de créer vos cartes () et vos scénarii
- Il pense que le genre STR peut encore beaucoup évoluer, et qu'on est pas près de le voir disparaitre
- L'IA en escarmouche a aussi fait part d'un soin particulier avec un système expert en plus de la connaissance de jeu de Dustin Browder, le designer.
Bref, beaucoup de bonnes choses dans cette interview.
Et on finit avec la dernière phrase de Mark Skaggs:
Generals is a fast-paced, awesome-looking game that plays as amazing as it looks
Traduction:
Generals est nerveux, graphiquement impressionnant et aussi stupéfiant à jouer qu'à regarder.
Voilà qui promet