elliot
Elite
je vais tenté un remix de technologique on va voir ce que ca donne
Tu peux tjs sauter par la fenetre ...DrumnSeb a dit:les DAFT PUNK n'ont fait qu'un album extra, le premier "HomeWork", le reste c'est de la merde franchement trop répétitive et encore 1x limite commercial (comme l'était le 2eme opus).
j'ai le dernier album depuis 3 semaines et franchement, j'accroche toujours pas, c'est pas terrible du tout...
T es anormal tout court toi :]Jereck a dit:Chuis anormal de préférer celui-ci à Discovery ?
Vous n'allez pas commencer avec vos "on ne dit pas c'est de la merde" et vos ergotages sur le terme commercial.CaLibuX a dit:Tu peux tjs sauter par la fenetre ...DrumnSeb a dit:les DAFT PUNK n'ont fait qu'un album extra, le premier "HomeWork", le reste c'est de la merde franchement trop répétitive et encore 1x limite commercial (comme l'était le 2eme opus).
j'ai le dernier album depuis 3 semaines et franchement, j'accroche toujours pas, c'est pas terrible du tout...
Non mais précise qqch
"c'est de la mert" mais pour toi ok ?
...
Et quoi ? le premier est pas commercial ? quelle est ton domaine de définition pour le commercial l'ami ?
Je trouve ca completement con
"c'est commerciel donc son pourri"
N'importe quoi
Cryda et Roulé n'ont plus rien sorti depuis bien longtemps (peut être bien plus de 5ans si on ne compte pas l'OST d'Irréversible). Les daft ne mixent plus non plus, ils font quoi en fait ? sais pas...Fab le Barge a dit:Je vais sans doute m'abattre les foudres de tous, mais tant pis j'assume... Oui j'avoue, j'aime Human After All.
Pourquoi? Parce que je vois plus en cet album une sorte d'hommage à l'electro de leur adolescence, lorsqu'ils écoutaient Kraftwerk dans leurs chambres en vynil sur leur flamboyant mange-disque orange. La musique tourne en boucle et ça gêne tout le monde alors que c'est l'ingrédient majeur d'une musique electro pour vous mettre dans un état de trans'. Certains auraient-ils déjà oubliés que le morceau "Around the World" était déjà très répétitif? Et puis, si on se penche un peu plus du côté de ce qu'ils font en dehors de Daft Punk, mais plutôt sur leur label respectifs de chacun, càd, "Crydamoure" et "Roulé-Scratché", il y'a des morceaux du même acabis (sur les Trax on da Rocks par exemple) qui existent depuis 1995! Alors évidemment, on crie au scandale parce que cet album n'est pas assez commercial vu qu'ici, on a eu droit à un coup de génie de "Homework" pour leur éclectisme et une confirmation Inter5555idéralle avec "Discovery".
Avec leur dernier album, ils nous font écouter à la surface ce qu'ils font sous la Terre depuis bien longtemps... C'est peut-être après tout leur seule erreur jusqu'ici, ne pas faire comme tout le monde et nous sortir un album pas "grand public", un peu moins travaillé, baclé en 6 semaines... bien qu'il reste comme les deux précédents, un album concept sur la recherche musicale, sans nous refaire un deuxième Homework et sans nous faire une suite de Discovery. Les Daft s'amusent avant tout et nous font découvrir un univers pas forcément bien connu. Mais bon... ils sont "Humain Après Tout".
Héhé... faites attention Vitalic débarque le 4 avril en France et le 25 avril dans le reste du monde.Ch3at4h a dit:J'ai trouvé l'album qu'ils auraient du nous sortir
Ils auraient du nous sortir l'album de Vitalic intitulé Ok Cowboy... Peut être sans les gros sons comme My friend Dario et autre La rock 01 mais les reste peut faire penser à la recherche musicale des Daft
Ca fait plaisir de voir que certain comprenne. Ceux qui viennent parler d'innovation sont à la masse mes amis...Techno. Troisième album du duo french touch : une copie sans inspiration.
«Human After All», le Daft bug
Par Alexis BERNIER
jeudi 10 mars 2005 (Liberation - 06:00)
Daft Punk
CD : «Human After All» (Labels/EMI), sortie le 14 mars.
La scène se passe lors du Festival des «Inrocks» de novembre à Paris. A l'occasion du très attendu concert de LCD Soundsystem précisément. Telle la mer Rouge devant Moïse, la foule chauffée à blanc se fend soudain pour laisser passer deux anonymes, dont le visage d'ordinaire masqué n'en est pas moins immédiatement reconnu par tous ceux qui s'intéressent à la musique électronique : les Daft Punk ressuscités serrent quelques mains chaleureuses et se réfugient sur le très privé balcon de l'Elysée-Montmartre.
Symbole. La rumeur qui courait depuis quelques mois s'en trouve confirmée et relancée. Quatre ans après leur deuxième album, Thomas Bangalter et Guy Manuel de Homem-Christo sont de nouveau au travail. Le concert que le peu productif duo techno mondial (trois CD en dix ans d'activité) a choisi d'aller voir, en pleine gestation de son nouveau disque, n'est pas non plus anodin. Losing my Edge, le premier single des New-Yorkais de LCD Soundsystem (Libération du 25 janvier) a eu le même impact que leur Da Funk en son temps, attirant dans les clubs une génération pour qui les Daft Punk sont déjà de l'histoire ancienne. Reste qu'après avoir digéré et popularisé l'underground de Chicago, après avoir pressenti le retour des guitares et des années 80, les Daft ont de la ressource : house music versus punk funk, il allait y avoir du sport...
La déception est à la mesure de la curiosité ressentie à l'automne et, plus grave, de l'attachement que public et critiques ont toujours porté à ce duo devenu symbole générationnel. Si les premiers titres de Human After All tournent efficacement autour d'un beat minimaliste ravageur, répété jusqu'à l'obsession comme ils en ont le secret, si Steam Machine grésille comme à la grande époque de Rollin' & Scrachin', même les meilleurs morceaux de ce troisième album laissent une forte impression de redite. Quant à l'incartade «politique», Television Rules The Nation (sans déconner, les gars ?), elle est carrément risible quinze ans après les diatribes autrement plus cinglantes signées Gil Scott-Heron ou Disposable Heroes of Hiphoprisy.
En 2001, l'electro glam pompier de l'album Discovery avait heurté les critiques et le public techno de la première heure ; mais on s'accordait à lui reconnaître fougue et originalité. Un souffle singulièrement absent de cette triste suite, tirant les mêmes ficelles (vocodeur et guitare synthétisée) sans passion, ni inspiration, telle une machine au bout du rouleau. Pire, une série de maladresses et d'accidents risque de transformer sa sortie en un chemin de croix, à la mesure de l'engouement passé. Fans et médias s'acharnant avec la frustration des amoureux trahis.
Aveu tardif. Human After All (humain, après tout), le titre clin d'oeil aux masques cybernétiques derrière lesquels ils cachent leur visage, apparaît bien mal choisi pour un disque aussi désincarné. Il est surtout difficile de ne pas l'entendre comme un aveu tardif de fragilité, soulignant crûment la mégalomanie passée. On ne pourra pas leur poser la question, puisqu'ils ont décidé de n'accorder aucun entretien à la presse. A l'hystérie du lancement de Discovery succède un silence entérinant maladroitement l'impression laissée par la musique d'un groupe composant à la va-vite et par obligation, plus que par plaisir. La décision de ne donner aucun concert, ni set de DJ renforçant le sentiment qu'ils ont déjà eux-mêmes tourné la page. On prête d'ailleurs à Thomas Bangalter l'envie de réaliser un premier long métrage à Hollywood.
En attendant, la sortie de Human After All a été avancée en catastrophe au 14 mars, suite à sa diffusion en intégralité sur le Net depuis début février piratage interne à l'industrie du disque semble-t-il. Pas certain qu'être numéro un du téléchargement augure de ventes mirobolantes, quand de nombreux internautes se disent déçus par les titres au point de douter de leur authenticité. Un bug de mauvais effet pour un groupe dont on a toujours vanté le génie du marketing, en oubliant quelques flops (le Daft Club, les clips dessins animés répétitifs de Discovery refusés par les télés...).
Plus mauvaise publicité encore, certains internautes s'amusent à faire circuler Release the Beast, un morceau du groupe funk-rock des années 70 Breakwater à partir duquel les Daft ont construit Robot Rock, premier single extrait de l'album. Et à ce niveau «d'emprunt», on dépasse largement le stade du sampling. Où sont passées l'inspiration et la classe insolentes d'un groupe qui gagnait autrefois des procès contre le défunt RPR, obligeait France 2 à des excuses solennelles en plein 20 heures et faisait trembler la Sacem ?
Source: Libération.fr
:shock:kaRma a dit:c est comme l album "Alive 97" : une vrai merde
Le petit devrait te mettre la puce à l'oreilleDaftdj a dit::shock:kaRma a dit:c est comme l album "Alive 97" : une vrai merde
Ouais, me suis dit aussi lol... mais bon, je voyais pas trop le pourquoi de l'ironie...Elian a dit:Le petit devrait te mettre la puce à l'oreilleDaftdj a dit::shock:kaRma a dit:c est comme l album "Alive 97" : une vrai merde
non il y a pas de difference,jai les deux versions :wink:ChoKapiK a dit:C'est sur que y a des differences avec le Leaked ? ou pas ?