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Touriste
DHL - Une vrai guerre communautaire (25/09/2004)
Après les propos incendiaires tenus par le président du sp.a ce vendredi, c'est le N-VA qui veut flamandiser l'aéroport de Zaventem
BRUXELLES L'aéroport de Bruxelles-National doit devenir un aéroport flamand, a indiqué samedi le parti N-VA dans un communiqué. Le parlementaire Patrick De Groote va ainsi déposer une proposition de loi spéciale pour que la gestion de l'aéroport soit confiée aux Flamands. Le parti indique qu'il existe du côté flamand une unanimité sur l'avenir de Zaventem. Le gouvernement n'est cependant pas habilité à prendre seul des décisions.
"Pour remédier au blocage, le N-VA veut que la Flandre reçoive les pleins pouvoirs sur l'aéroport", a-t-il
souligné. La N-VA a par ailleurs renchéri sur les propos tenus par le président du sp.a, Steve Stevaert, vendredi soir dans l'émission "TerZake". Le gouvernement flamand doit entrer directement en contact avec le patron de la société DHL afin de relancer le dossier, selon le
parti.
Le CDH veut un geste flamand
La présidente du cdH, Joëlle Milquet, se refuse à entrer dans une logique d'affrontement. Elle a souligné une fois de plus samedi que son parti ne bloque pas le dossier DHL mais qu'il tient au respect les engagements pris dans l'accord de gouvernement bruxellois. «Si les Flamands, qui font de DHL une priorité, veulent faire avancer le dossier, qu'ils fassent un geste », dit-elle en réaction aux déclarations du président du sp.a Steve Stevaert.
«Nous avons, dans ce dossier, une attitude constructive. Nous avons fait des propositions alternatives. Nous n'avons pas d'agenda caché », a-t-elle dit encore. «Le parti socialiste flamand a pour slogan 'les gens d'abord'. Mais des gens il y en a ailleurs qu'en Flandre. Il y en a aussi à Bruxelles et en périphérie et ce ne sont pas que des Francophones »,
note la présidente des humanistes.
Et d'ajouter: «Les flamands ont fait de DHL une priorité. Qu'ils fassent un geste s'ils veulent faire avancer les choses et ne se contentent pas d'envoyer toutes les nuisances sur Bruxelles, au mépris de la santé et de la sécurité de ses habitants ». Mme Milquet regrette aussi la communautarisation de ce dossier et
»l'arrogance et le chantage au financement » du président des socialistes flamands. «Si on en est déjà là sur ce dossier-ci, qu'est ce que ce sera lorsqu'on abordera le round communautaire qui s'annonce », se demande la présidente du cdH.
«Nous tenons à respecter les accords et formulons des propositions alternatives. Nous avons d'ailleurs largement contribué à la proposition formulée par le gouvernement wallon. Nous n'allons pas nous mettre à genoux et céder à la dramatisation au mépris de la santé
et de la sécurité des habitants », a-t-elle encore dit. Pour conclure, elle a regretté la dramatisation excessive du dossier. «Il n'est pas question que DHL délocalise. Tout au plus, l'entreprise pourrait ne
pas s'étendre ».
Maingain veut un front francophone à Bruxelles
Le président du FDF, Olivier Maingain,
va prendre contact ce samedi après-midi avec les responsables des partis francophones démocratiques bruxellois pour voir s'il y a moyen» au-delà des clivages majorité-opposition » de dégager une position
commune dans le dossier DHL. M. Maingain a décidé de lancer cette initiative après les propos du président du sp.a Steve Stevaert «remettant en cause la solidarité
avec Bruxelles si la Région n'acceptait pas les conditions posées par la Flandre et alors que la majorité en place à la Région bruxelloise n'arrive pas à dégager un consensus ».
Pour le président du FDF, on court le risque que Bruxelles ne s'exprime pas dans ce dossier, ce qui serait, dit-il, catastrophique vu les enjeux. Il est dès lors d'avis qu'il serait «heureux » que les partis francophones démocratiques bruxellois se rencontrent et tentent de dégager un point de vue commun.
«Je suis conscient de la difficulté qu'il y aura à dépasser les clivages majorité-opposition dans les circonstances actuelles. Je m'avance dont très prudemment. Je vais prendre ce samedi après-midi une série de contacts pour voir ce qu'il y a moyen de faire », a dit Olivier Maingain.
Se qui me révolte c'est ce que l'on voit a l'instant au journale parler avec les Flamand qui veulent s'occupé a leur manière de Zaventem
Mais je sais qu'on va me raler dessu mais si ils veulent s'occupé de ça d'accord !!!!!!mais les avions passe chez vous et je veux plus en voir un au dessus de chez moi :twisted: :twisted:
Après les propos incendiaires tenus par le président du sp.a ce vendredi, c'est le N-VA qui veut flamandiser l'aéroport de Zaventem
BRUXELLES L'aéroport de Bruxelles-National doit devenir un aéroport flamand, a indiqué samedi le parti N-VA dans un communiqué. Le parlementaire Patrick De Groote va ainsi déposer une proposition de loi spéciale pour que la gestion de l'aéroport soit confiée aux Flamands. Le parti indique qu'il existe du côté flamand une unanimité sur l'avenir de Zaventem. Le gouvernement n'est cependant pas habilité à prendre seul des décisions.
"Pour remédier au blocage, le N-VA veut que la Flandre reçoive les pleins pouvoirs sur l'aéroport", a-t-il
souligné. La N-VA a par ailleurs renchéri sur les propos tenus par le président du sp.a, Steve Stevaert, vendredi soir dans l'émission "TerZake". Le gouvernement flamand doit entrer directement en contact avec le patron de la société DHL afin de relancer le dossier, selon le
parti.
Le CDH veut un geste flamand
La présidente du cdH, Joëlle Milquet, se refuse à entrer dans une logique d'affrontement. Elle a souligné une fois de plus samedi que son parti ne bloque pas le dossier DHL mais qu'il tient au respect les engagements pris dans l'accord de gouvernement bruxellois. «Si les Flamands, qui font de DHL une priorité, veulent faire avancer le dossier, qu'ils fassent un geste », dit-elle en réaction aux déclarations du président du sp.a Steve Stevaert.
«Nous avons, dans ce dossier, une attitude constructive. Nous avons fait des propositions alternatives. Nous n'avons pas d'agenda caché », a-t-elle dit encore. «Le parti socialiste flamand a pour slogan 'les gens d'abord'. Mais des gens il y en a ailleurs qu'en Flandre. Il y en a aussi à Bruxelles et en périphérie et ce ne sont pas que des Francophones »,
note la présidente des humanistes.
Et d'ajouter: «Les flamands ont fait de DHL une priorité. Qu'ils fassent un geste s'ils veulent faire avancer les choses et ne se contentent pas d'envoyer toutes les nuisances sur Bruxelles, au mépris de la santé et de la sécurité de ses habitants ». Mme Milquet regrette aussi la communautarisation de ce dossier et
»l'arrogance et le chantage au financement » du président des socialistes flamands. «Si on en est déjà là sur ce dossier-ci, qu'est ce que ce sera lorsqu'on abordera le round communautaire qui s'annonce », se demande la présidente du cdH.
«Nous tenons à respecter les accords et formulons des propositions alternatives. Nous avons d'ailleurs largement contribué à la proposition formulée par le gouvernement wallon. Nous n'allons pas nous mettre à genoux et céder à la dramatisation au mépris de la santé
et de la sécurité des habitants », a-t-elle encore dit. Pour conclure, elle a regretté la dramatisation excessive du dossier. «Il n'est pas question que DHL délocalise. Tout au plus, l'entreprise pourrait ne
pas s'étendre ».
Maingain veut un front francophone à Bruxelles
Le président du FDF, Olivier Maingain,
va prendre contact ce samedi après-midi avec les responsables des partis francophones démocratiques bruxellois pour voir s'il y a moyen» au-delà des clivages majorité-opposition » de dégager une position
commune dans le dossier DHL. M. Maingain a décidé de lancer cette initiative après les propos du président du sp.a Steve Stevaert «remettant en cause la solidarité
avec Bruxelles si la Région n'acceptait pas les conditions posées par la Flandre et alors que la majorité en place à la Région bruxelloise n'arrive pas à dégager un consensus ».
Pour le président du FDF, on court le risque que Bruxelles ne s'exprime pas dans ce dossier, ce qui serait, dit-il, catastrophique vu les enjeux. Il est dès lors d'avis qu'il serait «heureux » que les partis francophones démocratiques bruxellois se rencontrent et tentent de dégager un point de vue commun.
«Je suis conscient de la difficulté qu'il y aura à dépasser les clivages majorité-opposition dans les circonstances actuelles. Je m'avance dont très prudemment. Je vais prendre ce samedi après-midi une série de contacts pour voir ce qu'il y a moyen de faire », a dit Olivier Maingain.
Se qui me révolte c'est ce que l'on voit a l'instant au journale parler avec les Flamand qui veulent s'occupé a leur manière de Zaventem
Mais je sais qu'on va me raler dessu mais si ils veulent s'occupé de ça d'accord !!!!!!mais les avions passe chez vous et je veux plus en voir un au dessus de chez moi :twisted: :twisted:
