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Gibon Blasé
c'est faux, regarde la taxe sur les modèles électrique et un sanderoNon c’est plus nuancé, c’est juste restreindre aux plus riches le droit de polluer !
c'est faux, regarde la taxe sur les modèles électrique et un sanderoNon c’est plus nuancé, c’est juste restreindre aux plus riches le droit de polluer !
Peut-être que je me trompe mais carte de société ou pas, les accises tombent dans la poche de l'Etat.La logique c'est que si tout le monde se remet à payer son carburant avec les accises au lieu de le défiscaliser via sa carte essence, ça donnera plus de moyens au gouvernement pour soutenir le pouvoir d'achat.
On en pense ce qu'on veut, en fonction j'imagine du fait qu'on en ait une ou pas![]()
Sauf que pour beaucoup de bénéficiaires, véhicule de fonction ET carte essence étaient un remplacement de salaire causés justement par un accord fiscal entre l'Etat et les entreprises, justifié par le coût du travail.La logique c'est que si tout le monde se remet à payer son carburant avec les accises au lieu de le défiscaliser via sa carte essence, ça donnera plus de moyens au gouvernement pour soutenir le pouvoir d'achat.
On en pense ce qu'on veut, en fonction j'imagine du fait qu'on en ait une ou pas![]()
Il faudrait se pencher sur le calcul, je n'ai plus les déductibilités en tête.La seule différence entre un plein avec carte de société / sans carte de société, c'est qu'une partie est déductible. Mais quand on voit ce qui est encore déductible, j'ai un doute quant au fait que la différence va apporter une bouffée d'oxygène à l'ensemble des ménages belges...
Sur la voiture salaire, c'est un système unique au monde (à part le Luxembourg, mais même là il est souvent implémenté différemment), qui répond effectivement à une fiscalité unique au monde. Encore une bonne histoire belge.Sauf que pour beaucoup de bénéficiaires, véhicule de fonction ET carte essence étaient un remplacement de salaire causés justement par un accord fiscal entre l'Etat et les entreprises, justifié par le coût du travail.
Retirer cet avantage, c'est supprimer une partie du salaire (faut pas rêver, jamais ils ne compenseront en monnaie sonnante et trébuchante), et donc retirer du pouvoir d'achat à cette partie de la population.
Venir arguer qu'une autre partie de la population n'en bénéficie pas et que c'est "injuste", c'est seulement regarder dans l'assiette du voisin. Tout est injuste, on est pas (totalement) dans une république communiste, les salaires ont tous des différences, les avantages sont aussi différents pour tous.
Diviser pour mieux régner, la base.Il y a un problème flagrant de gestion dans ce pays, et une nouvelle fois le politique vient faire des clivages au sein de la population afin de dresser les uns contre les autres plutôt que de réellement s'attaquer équitablement au noeud du problème, qu'il a lui-même créé.
C'est vraiment fou comme changement.Prenez le train c'est l'avenir. Mas on a fermé toutes les petites lignes depuis 50 ans
Voir la pièce jointe 88885
Et pas que.J'ai appris il y a quelques années qu'il y avait un tram dans une petite ville comme Namur jusque dans les années 50
Yes, exactement.Est-ce qu'on doit considéré que les bus ont remplacer ceux-ci ?
Je pense que c'est le cas, même si les tracés et les temps de trajet n'ont fait qu'augmenter et rendre de ce fait l'utilisation du bus comme contraignante de par les dits temps de trajet (sauf pour une partie de la population qui n'a pas le choix, il suffit de regarder les arrêts de bus et les personnes qui y attendent hors horaires scolaires).
À mon humble avis ce ne sont pas les 12% (chiffres d'ecolo) de ceux à qui ont va diminuer le salaire qui.vont redresser l'infrastructure des transports en communs belges... Surtout quand on voit l'essort du homeworking qui viendra encore diminuer les rentrées des dits transports.Sur la voiture salaire, c'est un système unique au monde (à part le Luxembourg, mais même là il est souvent implémenté différemment), qui répond effectivement à une fiscalité unique au monde. Encore une bonne histoire belge.
Sur l'injustice, je pense qu'il faut aller au-delà de la simple jalousie et de la volonté des politiques de lever les citoyens les uns contre les autres. L'impact le plus important des voitures de société, c'est sûr l'étalement urbain et le manque d'investissement dans les transports en commun. Forcément, tout le monde s'en fout de vivre ensemble près d'une gare fonctionnelle quand les classes socioprofessionnelles supérieures ont toutes une voiture payée par leur employeur.
On le voit aujourd'hui quand les gens essaient de se passer de leur voiture en raison du coût de l'essence, le modèle urbain n'est pas du tout adapté.
Sur un autre point, regardez le coût de rouler avec une voiture dans Londres, et c'est pourtant loin d'être une dictature communiste...
Yes, on est tous d'accord là-dessus.Bref, comme je l'ai dit, c'est un problème politique créé par le gouvernement
On est tous les deux d'accord. L'impact pour ceux qui utilisaient leur voiture-salaire pour autre chose que leurs déplacement travail sera effectivement directement sur leur pouvoir d'achat.Yes, on est tous d'accord là-dessus.
La question c'est comment sortir de ce problème ?
Pour moi c'est déjà trop tard, l'infrastructure est trop centrée autour de la voiture, ce sera impossible de faire une transition sans choc pour la population.
Sur le homeworking, ça aura un impact, mais les gens sortent de chez eux pour autre chose qu'aller travailler (enfin normalement). L'impact sur le quotidien va être assez violent.
La réponse est déjà toute trouvée, et ce dans les clauses des bénéficiaires, le droit de refus d'un véhicule-salaire est déjà autorisé, sans droit à une quelconque compensation.Article intéressant dans l'Echo
"Si l’employeur décide de restreindre l’usage privé de la carte d’essence, le travailleur pourrait contester ceci auprès de son employeur car son accord est requis pour modifier l’usage de cet avantage. Mais en cas de modification de la législation, par exemple en imposant plus lourdement la carte essence, l'employeur ne peut pas se voir tenu responsable des conséquences de ce changement", avance l'expert de SD Worx."
Le souci, c'est qu'on ne focus que sur quelques aspects à chaque fois. Pour te citer : "l'infrastructure est trop centrée autour de la voiture, ce sera impossible de faire une transition sans choc pour la population.". Ce que je vais dire par après ne te vise pas toi, mais le "bon sens commun", les politiques,...Yes, on est tous d'accord là-dessus.
La question c'est comment sortir de ce problème ?
Pour moi c'est déjà trop tard, l'infrastructure est trop centrée autour de la voiture, ce sera impossible de faire une transition sans choc pour la population.
Sur le homeworking, ça aura un impact, mais les gens sortent de chez eux pour autre chose qu'aller travailler (enfin normalement). L'impact sur le quotidien va être assez violent.
Yes, on arrive exactement au cœur du problème : c'est tout le modèle de société belge (hormis Gand, Anvers, Bruxelles) qui est sur la sellette.Mais en même temps, la société (et donc le politique) s'est arrangé pour nous demander de l'ultra flexibilité pour nos jobs, nous obliger à travailler à deux pour avoir un revenu de ménage décent )tout en devant aller chercher les enfants aux mêmes horaires que lorsque le ménage pouvait se permettre d'avoir bobonne à la maison et un seul salaire), regrouper les commerces en grands centres pour mutualiser les coûts,....
Bref, tout a été fait politiquement et sociétalement pour nous rendre dépendants de la voiture et maintenant; on devrait s'en passer endéans une très courte période sans amorcer un changement de société tout aussi radical ?
Les cartes essences sont aussi une charge pour l’entreprise. J’imagine qu’ils partent du principe que si les entreprises ont plus de manœuvre après suppression des cartes essences pour les trajets non-pro (ou limitées aux trajets pro), ça pourrait bénéficier à la globalité.En mai dernier, le gouvernement sollicitait un collectif de sept économistes pour trouver des pistes pour soutenir le pouvoir d’achat des résidents belges
Donc, pour soutenir le pouvoir d'achat des gens, on va retirer un avantage à une partie de la population et donc diminuer leur pouvoir d'achat ? Heureusement que ce sont des économistes experts, que ce que ça aurait été sinon !
Perso, j'ai l'impression que si les entreprises ont plus de marge de manœuvre et peuvent encaisser la différence, elles ne se priveront pas.Les cartes essences sont aussi une charge pour l’entreprise. J’imagine qu’ils partent du principe que si les entreprises ont plus de manœuvre après suppression des cartes essences pour les trajets non-pro (ou limitées aux trajets pro), ça pourrait bénéficier à la globalité.
en même temps bon, quid des types qui se cassent au ski en faisant passer le carburant sur leur carte essence ?