Je tiens à préciser que malgré les médisances, je ne mattais pas dans les chiottes, je discutais bien calmement avec les tarés qui remplissait leurs flignues à eaux (ou leurs ballons). Je puis vous assurez que derrière un mur on est bcp moins mouillé. Puis, c vrai qu´à ce moment là, une gente demoiselle est venue troner avec grâce, mais sa personne n´a ouvert la porte pour voir.
Non mais, faudrait encore que je passe pour un pervers dérangé, ...