Ca n'as rien d'une attaque personnel mais je voulais souligner à quel point leur démarche est abérrante. Je voulais aussi préciser que tout contenu provenant de l'internet est soumis à un des droits d'auteurs implicites, même cette page. Pourtant, on ne fais pas tout un foin sur un fond d'écran avec une photo de Cindy Crawford.
Voici ce qui me dérange avec les démarches des industries de disques :
* C'est les maisons de disques qui ont mis le cd-rom sur le marché en 1985 et qui poussé l'émergence du numérique.
* Ces mêmes maisons de disques percoivent un pourcentage sur les ventes de graveurs (peu de gens le savent).
* Les actions punitives avec exemple ont eu historiquement un succès assez limité.
* Divers études démontrent que la baisse de revenu sur les ventes est du en partie à l'apparente médiocrité des productions de ces dix dernières années et ne peut être attribué entièrement au piratage.
* La technologie mp3 est sans doute le résultat de recherches initiées par ces compagnies mais qui a finalement été diffusé publiquement pour cause de rejet.
* Malgré le fait que les supports numériques sont moins chers à fabriquer, ils sont beaucoup plus chers que d'autres supports. Aussi, les prix semblent être maintenus artificiellement à un certain prix.
* L'industrie du disque ne semble pas vouloir fournir une solution réaliste pour obtenir la musique en ligne. Le prix d'un titre dépasse largement celui d'un album acheté en magasin.
* Les méthodes employées pour contrer le piratage et localiser les fauteurs sont quasi dans l'illégalité. Aussi, les tentatives d'intimidation par lettre ou e-mail sont en dehors du contexte légal et ne devrais pas avoir lieu et sont très maladroites sur un plan international.
* Il est un fait que les maisons de disques et les grands studios mettent la préssion sur les gouvernement pour poursuivre les fauteurs. Dans ces conditions, il n'est pas possible d'avoir des procés objectifs.
* Certains artistes, comme Madonna, ont critiquer les méthodes des maisons de disques et ces associations en expliquant qu'ils prennaient posséssion des droits d'auteurs de chansons et autre après le décés d'un artiste, alors que celui-ci devrais revenir à la famille. Ce qui a été souligné aussi, c'est le caractère purement financier d'organismes tel que le RIAA. Il y a aussi un phénomène de lobbying qui fais que les productions américaines viennent écraser leurs équivalents Européens.
* Le MPAA et RIAA cherchent à se faire exempter des lois antitrust. Plus d'infos
ici.
* Au niveau local, la SABAM récolte de l'argent pour toute diffusion. Mais les artistes locaux n'en bénéficient pas alors qu'on récolte des droits de diffusion pour leur musique aussi.
* Finalement, qu'est-ce que viens faire foutre le RIAA et le MPAA en Europe et dans le reste du monde ? Recording Industry Association of
America/Motion Picture Association of
America.