Voilà , la magie de l'UE , pouvoir donner la chance à tous d'avoir une monnaie forte.
On ne demande pas à la Grèce d'être à égalité avec l'Allemagne , d'ailleurs avant elle ne l'était pas , mais profiter d'une monnaie commune pour les importations , les échanges ce qui l'euro à fait.
Tu parles d'importation et les échanges.
Mais tu as tout faux ma parole.
Avant de parler importation il faut parler pouvoir d'achat car sans pouvoir d'achat pas d'importation. Hors avec la politique actuelle d'austérité ce pouvoir d'achat n'est pas prêt de remonter.
Une image simple: tu ne vas pas faire pousser des légumes dans ton jardin si tu ne l'arrose pas par temps de sécheresse. Pour ça il faut ouvrir le robinet. Ca te coute un max mais tu auras à bouffer pendant l'hivers.
Ici la politique actuelle c'est tout le contraire, on n'ouvre pas le robinet mais en plus on creuse un puits dans le jardin pour boire gratos. Au final en hivers tu n'auras rien à manger et en plus tu n'auras plus rien a boire car ton puits sera à sec et tu n'auras plus de tunes pour payer ton eau au robinet.
(faudrait que j'écrive un bouquin "l'économie pour les nuls")
Au lieu d'emmerder les contribuables les pays devraient s'attaquer au vrai problème: l’intérêt de la Dette.
L'avenir économique mondial ne trouvera une solution à toute crise que par un contrôle et une refonte complète du système bancaire et une annulation de l’intérêt de la Dette.
Tout le reste c'est Bullshit.
Il a été mentionné l'exemple Allemand je pense. Magnifique exemple Allemand où maintenant une partie toujours croissante vis maintenant dans une précarité absolue avec des salaires en dessous des 800€, aucune sécurité de l'emploi, une augmentation du taux de suicide et une explosion des couts médicaux. Ca se terminera en guerre civile mais bon c'est pas grave l'économie du pays se porte bien. hahaha la bonne blague.
Sérieusement l'Euro est une bonne chose mais mal exploité et l'UE c'est juste une bande de clown qui n'osent pas s'occuper du vrai problème car ceux-ci sous tenu par les couilles par nos vrais bourreaux: les banques ...