J'ai oublié pas mal de détails croustillants dans mon récit de départ:
Steve m'a donc invité moi et quelques pote à le retrouver à Munick ou ils enregistraient "7th Son":
Aprés que sa grand-mère nous l'aie passé au téléphone, je lui ai laissé mes coordonnées, et il m'a appelé un soir chez mes parents (rien que ça). Vous imaginez: un soir de décembre 87, téléphone! mon pére m'appelle: "hé, Manu (je m'appelle Manu), téléphone pour toi, c'est un anglais!". Mon sang ne fait qu'un tour, je cours vers le phone, et c'était Steve, qui, comme il me l'avait promis 6 mois avant me rappelait. Je n'en revenait pas: il m'invitait à passer un Week End entier avec lui.
On s'est donc pointés à Munick fin janvier 88 et on y a passé le WE le plus innoubliable de notre vie. Steve nous a reçu comme des potes, il nous a payé 2 suites dans son luxueux hotel (5*). Le premier soir au resto chinois, comme il ne comprend ni l'allemand, ni le chinois, il a commandé toute la carte. On allucinait: les serveurs n'arretaient pas d'apporter des plats. Ensuite, il nous a convié dans une de nos suite pour nous faire écouter l'état d'avancement de l'album, en nous faisant jurer de ne rien en dire. Nous avons eu beaucoup de chance, car aujourd'hui, avec le net, il n'aurait plus cette "imprudence". Bref popur le fan ultime de maiden que je suis, j'étais ivre de bonheur.
Vers 3 h du mat, il est allé se coucher et mes potes et moi sommes allés fèter ça au pub le plus proche. Un de mes potes en est ressorti ds un coma éthilique, et nous avons du le ramener à l'hotel en le tirant par les pieds (il ramassait toutes les clopes du trottoir avec ses cheveux, (la classe, quoi). Et on est revenus à l'hotel comme ça, (toujours la classe).
Arrivés tant bien que mal dans nos suites, nous avons vomi dans les sacs plastiques (qui contenaient au départ les disques à faire signer), (c'est compliqué, hein, faut suivre), et pour s'en débarasser (des sacs de vomi), on les a jettés par la fenêtre... du 12ème étage.
Le lendemain on s'est apperçu que les sacs étaient tous tombés sur le parking V.I.P., sur des caisses de luxe et des limousines de 8m de long...(et du 12ème, ça faisait des soleils impressionnants).
On a repassé la journée du lendemain avec lui avant de rentrer en France le soir heureux comme des rois, et carrément sur un nuage.
Voilà ma première rencontre avec Steve Harris. Comme on est restés en contact, je suppose qu'il n'a pas eu d'emmerdes suite à notre attitude scandaleuse.
Mais je ne regrette pas, ça fait des p****** de souvenirs.
Steve m'a donc invité moi et quelques pote à le retrouver à Munick ou ils enregistraient "7th Son":
Aprés que sa grand-mère nous l'aie passé au téléphone, je lui ai laissé mes coordonnées, et il m'a appelé un soir chez mes parents (rien que ça). Vous imaginez: un soir de décembre 87, téléphone! mon pére m'appelle: "hé, Manu (je m'appelle Manu), téléphone pour toi, c'est un anglais!". Mon sang ne fait qu'un tour, je cours vers le phone, et c'était Steve, qui, comme il me l'avait promis 6 mois avant me rappelait. Je n'en revenait pas: il m'invitait à passer un Week End entier avec lui.
On s'est donc pointés à Munick fin janvier 88 et on y a passé le WE le plus innoubliable de notre vie. Steve nous a reçu comme des potes, il nous a payé 2 suites dans son luxueux hotel (5*). Le premier soir au resto chinois, comme il ne comprend ni l'allemand, ni le chinois, il a commandé toute la carte. On allucinait: les serveurs n'arretaient pas d'apporter des plats. Ensuite, il nous a convié dans une de nos suite pour nous faire écouter l'état d'avancement de l'album, en nous faisant jurer de ne rien en dire. Nous avons eu beaucoup de chance, car aujourd'hui, avec le net, il n'aurait plus cette "imprudence". Bref popur le fan ultime de maiden que je suis, j'étais ivre de bonheur.
Vers 3 h du mat, il est allé se coucher et mes potes et moi sommes allés fèter ça au pub le plus proche. Un de mes potes en est ressorti ds un coma éthilique, et nous avons du le ramener à l'hotel en le tirant par les pieds (il ramassait toutes les clopes du trottoir avec ses cheveux, (la classe, quoi). Et on est revenus à l'hotel comme ça, (toujours la classe).
Arrivés tant bien que mal dans nos suites, nous avons vomi dans les sacs plastiques (qui contenaient au départ les disques à faire signer), (c'est compliqué, hein, faut suivre), et pour s'en débarasser (des sacs de vomi), on les a jettés par la fenêtre... du 12ème étage.
Le lendemain on s'est apperçu que les sacs étaient tous tombés sur le parking V.I.P., sur des caisses de luxe et des limousines de 8m de long...(et du 12ème, ça faisait des soleils impressionnants).
On a repassé la journée du lendemain avec lui avant de rentrer en France le soir heureux comme des rois, et carrément sur un nuage.
Voilà ma première rencontre avec Steve Harris. Comme on est restés en contact, je suppose qu'il n'a pas eu d'emmerdes suite à notre attitude scandaleuse.
Mais je ne regrette pas, ça fait des p****** de souvenirs.