pour répondre au système anti car-jacking, les compagnies d'assurances exigent ceci:
A partir d'une voiture de 30.000 € HTVA (valeur catalogue avec options), est exigé le système CJ-1, qui est en fait un "interrupteur" qu'on doit activer chaque fois qu'une porte de la voiture s'ouvre. En fait d'interrupteur, c'est plus souvent une combinaison de 2 ou 3 boutons du tableau de bord à composer dans le bon ordre. Si on ne le fait pas, la voiture démarre mais ralentit progressivement au bout de 2-3 minutes pour s'arrêter en klaxonnant et en faisant des appels de phares.
Avantages: relativement bon marché, difficile (voire impossible) à déceler et à désactiver
Inconvénient: chiant de devoir faire son code chaque fois qu'une portière s'ouvre.
Option: la carte à puce à glisser dans sa poche, de la taille d'un timbre et de l'épaisseur d'une carte de banque. Quand on a la certe dans un rayon de 1-2 mètres, la voiture avance.
Inconvénient: on pourrait être pris en hotage.
A partir d'une voiture de 50.000 € HTVA, les compagnie exigent un système de repérage par satellite (le ViaSat), couplé avec une antenne GSM qui "trace" la voiture. En embarquant la voiture dans un camion container métallique, elle devient non repérable par le satellite.
Il est amusant de constater que certaines compagnies refusent d'assurer les voitures munies d'un anti car-jacking, remarquant que ce type de voiture est souvent incendié après le vol, ce qui ne laisse aucune chance à la Cie de retrouver le véhicule, et donc de ne pas devoir l'indemniser.