BLun-
:mrstrange:
Attentats, insécurité, grippe aviaire, virus informatique...
Bombardés d'informations, mais démunis face à des évènements de plus en plus complexes, on doute de tout... Même de son voisin...
Mieux combattre ces peurs?
Bombardés d'informations, mais démunis face à des évènements de plus en plus complexes, on doute de tout... Même de son voisin...
Mieux combattre ces peurs?

Des pistes pour devenir plus Zen...
Entre l'envie de savoir et le risque de voir tout en noir, voici quelques pistes à suivre (ou pas) pour ne pas se laisser submerger par nos peurs et nos émotions...
:idea: Ne pas faire circuler des rumeurs (Ouv' tes oreilles, petits hoaxeurs)
Même s'il est assez délicat e dire, sans la vexer, à une amie que son info semble bidon (FAKE!), on peut tout de même lui suggérer de consulter des sites-ressources pour la vérifier. Ainsi, www.hoaxbuster.com traque les rumeurs et hoax sur le web francophone. On peut agir en leur envoyant les hoax reçus dans nos messageries, pour développer ainsi leur base de données.
:idea: Décortiquer les infos.
En les confrontant, par exemple, à l'analyse de personnes ou d'organismes compétents. Ainsi, il y a deux ans, une étude américaine révélait que les cancers du sein avaient augmenté de manière significative chez les femmes sous traitement hormonal susbstitutif (faut le dire 10x très vite) et que l'association oestrogènes-progestérones (un truc de médecin ça!) pouvait entraîner des accidents cardio-vasculaires.
Panique chez des miliers de femmes sous traitement!!
Pour gérard Salama, gynécologue, "il fallait comparer ce qui est comparable!". or, les doses sont deux à deux fois et demie plus élevées aux Etats-Unis, le mode d'administration est différent et la population globalement à risques: avec un pourcentage plus important d'obèses, d'hypertendus et de diabétiques...
Des études francaises ont été publiées par la suite, qui ont relativisé ces résultats...
Panique chez des miliers de femmes sous traitement!!
Pour gérard Salama, gynécologue, "il fallait comparer ce qui est comparable!". or, les doses sont deux à deux fois et demie plus élevées aux Etats-Unis, le mode d'administration est différent et la population globalement à risques: avec un pourcentage plus important d'obèses, d'hypertendus et de diabétiques...
Des études francaises ont été publiées par la suite, qui ont relativisé ces résultats...
:idea: Eviter l'abus du vocabuliare psy.
Et qualifier de parano ou de psycho-rigide (c'est pas sexuel...) un ami ou un collègue dès qu'il exprime sa méfiance ou un refus, conseille Gérard Tixier, psychiatre. (C'est moi, ou les Gérard sont à l'honneur?) La propension à mettre des étiquettes normatives aux autres ne fait qu'encourager la "paranoïsation" ambiante...
:idea: Ne pas tomber dans la spirale parano... (.be...)
En prônant le respect de l'intime contre toute tentative d'uniformisation du citoyen. "Et cultiver sa différence, reconnaître sa singularité et celle de l'autre, être attentif à ce qui nous particularise, sans bien sûr se rendre méfiant vis-à-vis de tout ce qui nous entoure!" ('cor un psy, ça!! Mais lui, c'est Damien Guyonnet)
:idea: Côté informations: accepter que la vérité ne peut pas toute se dire...
La vouloir a tout prix ne fait qu'accentuer cette impossiblité et renforce le mécanisme du soupçon: "Si vous en dites un maximum et jouez la transparence, on trouve ça louche... Ou l'on vous rétorque: Qu'est ce qui nous le prouve?"
:idea: Prendre de la distance.
Et mieux accepter les mauvaises nouvelles du monde en se confrontant (sans les confondre) à nos propres "mauvaises histoires", celles qui nous ont constituées, y compris ce qu'on a peur de dire...
Source: Avantages :]