Pas envie de le défendre mais tu interprètes mal son message je pense. Ce qu'il veut dire c'est qu'il y a cet écart parce que le pauvre jalouse le riche au lieu de tout faire pour devenir riche.
Et en soit, il n'a pas tord : le pauvre est pauvre par choix. Il lui suffirait de vraiment souhaiter de se sortir de la pauvreté et de travailler dur pour monter les échelons afin d'arriver à quelque chose. A la place, il se plaint de sa condition, fait de mauvais choix et se repose sur le fait que la société l'entretienne pour rester dans sa condition de pauvre.
Je pense que tu l'interprète mal aussi son message (je sais pas si c'était ironique ton post cela dit).
Je pense que ce qu'il veut dire, c'est que se
focaliser sur l'écart pauvre/riche est lié à la jalousie (de la réussite, mais également des chances, de l'environnement, des conditions socio-économique de départ, etc...). Quand tu analyses la pauvreté tu peux y voir deux facettes:
La condition "pauvre" en Occident s'est largement amélioré. De part la couverture sociale, etc...la plupart de ceux qui ont un faible revenu peuvent vivre "décemment" (bien que cette notion de décence est propre à chacun). Fini les pèquenots qui meurent à 35 ans dans la boue de leur champs pour un seigneur qui s'en balec. D'un autre côté, l'écart entre riche et pauvre s'est accentué.
En résumé: les pauvres sont devenus plus riche et les riches sont devenus
beaucoup plus riche. La question est le focus: est-ce qu'on préfère mettre en lumière le premier point ou le second?