[BE] Actualité politique 2024

Dieu Bisounours

Créateur de Dieu
Après la nva quand elle était en débat avec le vb ( j’ai vu que des extraits) expliquait que c’était impossible la séparation. Du coup je me demande si ils changent pas leurs discours selon le parti en face. Chez nous à dire « on veut plus de vous » et en Flandre a être plus tempérer pour faire genre « on est réaliste pas comme le vb »
C'est impossible si tu veux le faire juridiquement correctement. C'est possible si tu le fais à l'arrache mais ça ne sera pas soutenu par les autres États européens qui y verront un risque de séparatisme de certaines de leurs régions.
 

useless #

¯\_(ツ)_/¯
J'aurais tendance à dire que si la n
A quand un changement de nom pour FührerZ @Sebulba ? Apparemment ca reflète mieux la mentalité du forum selon certains
tu as du mal à faire la différence entre droite et extrême droite visiblement
 

useless #

¯\_(ツ)_/¯
Je crois que tu comprends pas
et pourtant ça sera le cas, si la majorité fédérale, et les majorités régionales n'en veulent pas il n'y aura pas de discussion et ça restera une proposition de BDW
 

useless #

¯\_(ツ)_/¯
Je pense que peu de gens imaginent ce que cela veut dire le confédéralisme, en premier lieu les flamands eux mêmes
 

useless #

¯\_(ツ)_/¯
après Bardela est crédité de 35% aux Européennes, qu'un parti comme le VB caracole en tête avec ses propositions absurdes n'a rien d'étonant finalement
 

Squall89

Fait ses tartines en 4 tranches
J'aurais tendance à dire que si la n

tu as du mal à faire la différence entre droite et extrême droite visiblement
Je te retourne la remarque. C'est pas moi qui traite la moitié du forum de facho hein
 

useless #

¯\_(ツ)_/¯
ça
Une majorité des flamands semble le penser

Regarde la Suisse
La Suisse : une confédération ?
Généralement, lorsque l’on parle de confédération, le premier exemple qui vient à l’esprit est celui de la Suisse. Il est vrai que le nom officiel du pays est « Confédération suisse » (et non « Confédération helvétique », contrairement à une méprise fréquente). Mais il s’agit là d’une erreur : voilà plus d’un siècle et demi que la Suisse n’est plus une confédération d’États, mais un État fédéral.
Traditionnellement, l’année de fondation de la Suisse est fixée en 1291, date du plus ancien document connu attestant d’une alliance juridique et défensive entre trois cantons. Progressivement, le pacte est étendu à d’autres cantons. La confédération qu’ils forment devient indépendante du Saint-Empire romain de la nation germanique en 1499 dans les faits et en 1648 selon le droit. En 1798, conquise par la France révolutionnaire, la Suisse est transformée en une République helvétique unitaire, bâtie sur le nouveau modèle français. D’États indépendants, les cantons ne sont plus que de simples unités administratives dirigées par un préfet sur le modèle des départements français ; ils récupèrent toutefois un certain pouvoir en 1802. L’année suivante, l’Acte de médiation, dû à Napoléon Bonaparte, réorganise la Suisse et lui rend son caractère confédéral. À l’extrême fin de l’année 1813, alors que l’Empire français commence à vaciller, la Suisse retrouve sa totale indépendance et décide de se doter d’un nouveau régime. Celui-ci naît en 1815 par le « Pacte fédéral » : il conserve le principe d’une confédération constituée d’États indépendants et souverains, les cantons.
Le 12 septembre 1848 est votée une Constitution fédérale, qui définit un nouvel État fédéral, où les cantons ne sont plus indépendants et cèdent certaines de leurs compétences à l’État fédéral. Le nom officiel du pays demeure toutefois « Confédération suisse ». En 1874, une révision de la Constitution accorde encore de nouvelles prérogatives à l’État fédéral, évolution institutionnelle qui se poursuit jusqu’à nos jours.
 

Jean Mourad

Le sniper
ça

La Suisse : une confédération ?
Généralement, lorsque l’on parle de confédération, le premier exemple qui vient à l’esprit est celui de la Suisse. Il est vrai que le nom officiel du pays est « Confédération suisse » (et non « Confédération helvétique », contrairement à une méprise fréquente). Mais il s’agit là d’une erreur : voilà plus d’un siècle et demi que la Suisse n’est plus une confédération d’États, mais un État fédéral.
Traditionnellement, l’année de fondation de la Suisse est fixée en 1291, date du plus ancien document connu attestant d’une alliance juridique et défensive entre trois cantons. Progressivement, le pacte est étendu à d’autres cantons. La confédération qu’ils forment devient indépendante du Saint-Empire romain de la nation germanique en 1499 dans les faits et en 1648 selon le droit. En 1798, conquise par la France révolutionnaire, la Suisse est transformée en une République helvétique unitaire, bâtie sur le nouveau modèle français. D’États indépendants, les cantons ne sont plus que de simples unités administratives dirigées par un préfet sur le modèle des départements français ; ils récupèrent toutefois un certain pouvoir en 1802. L’année suivante, l’Acte de médiation, dû à Napoléon Bonaparte, réorganise la Suisse et lui rend son caractère confédéral. À l’extrême fin de l’année 1813, alors que l’Empire français commence à vaciller, la Suisse retrouve sa totale indépendance et décide de se doter d’un nouveau régime. Celui-ci naît en 1815 par le « Pacte fédéral » : il conserve le principe d’une confédération constituée d’États indépendants et souverains, les cantons.
Le 12 septembre 1848 est votée une Constitution fédérale, qui définit un nouvel État fédéral, où les cantons ne sont plus indépendants et cèdent certaines de leurs compétences à l’État fédéral. Le nom officiel du pays demeure toutefois « Confédération suisse ». En 1874, une révision de la Constitution accorde encore de nouvelles prérogatives à l’État fédéral, évolution institutionnelle qui se poursuit jusqu’à nos jours.
L’un n’empêche pas l’autre

Quelles sont les prerogatives de l’état federal par rapport aux confédérations ?
 
C’est bien ça le piège. Curieux de voir les intentions de vote flamandes par tranche d’âge
Après chez eux c’est comme chez nous, les partis mentent, font des propositions impayables, ils choisissent bien les données qu’ils fournissent pour les sites de comparaisons,…
C’est épuisant et les journalistes sont beaucoup trop sympa avec eux.
 
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