Tout est une question d'état d'esprit je dirais, pas de temps ni d'occupations.
Bete exemple:
- Quand j'étais ado, une rupture et j'etais limite a supplier la fille de rester avec moi, de me laisser une autre chance, de limite vouloir changer toute ma personnalité pour lui plaire. Après m'être fait larguer, j'y pensais sans cesse, trouvait n'importe quelle raison d'y penser etc. J'ai eu le cas avec plusieurs filles, et franchement ça m'a bousiller la vie pas mal d'année.
Puis un jour...
- Quand mon cerveau a décidé d'être adulte, je me suis simplement dit "c'est fini, a quoi ça sert de vouloir recoller un vase cassé, puisqu'il va de toute façon avoir des fuites et recasser par la suite?". En se disant ça, t'es nostalgique les premiers jours mais tu t'es fait une raison très rapidement. Quand aux "salopes" (celles qui te trompent, les lâches qui savent pas rompre proprement), c'est pas dur de se dire "pourquoi j'aurai passer ma vie avec qqun qui n'est meme pas foutue d'être respectueuse, on offre pas a qqun du respect si on en a pas en retour". Ce qui permet de se faire une raison directement.
Par contre, ce qu'il faut éviter lors d'une rupture (bonne comme mauvaise), c'est de garder contact, se fréquenter, continuer a se parler, fréquenter les meme personnes aux meme moments et aller aux meme soirées/activitées. Ca n'apporte que des complications, faire du surplace, créer de la jalousie et éventuellement passer pour une merde avec des réactions bizarres pcq ça nous laisse espérer. Tu peux fréquenter ton ex dans le sens "pote" après plusieurs années de silence radio, mais après une rupture et les premiers mois (un an plus ou moins), ça sert a rien de vouloir se lancer sur cette pente là.
Toute façon, chacun est particulier, chacun aborde ça à sa façon (souvent très mal pour bcp).
Une chose est sure, quand t'es un mec, aller niquer ailleurs (pute, pote, plan cul, n'importe) ça permet de moins y penser (question de pulsions, d'hormones, tout ca... :-D )