à vouloir limiter l'impact économique à court terme on rallonge la durée, je ne suis pas sûr que le calcul soit rentable
Dans l'autre sens, à vouloir confiner, on ne fait que reporter le problème.
On a vraiment le cul entre 2 chaises et c'est une question d'équilibre.
Certaines personnes ont vu leur contrat se terminer du jour au lendemain, un ex-collègue a été forcé de passer en 3/5. Un autre, sa mission sera arrêtée à partir du 3 avril.
Bref, c'est "déjà pas la joie". Et si un confinement mondial de x semaines, nous certifiait la disparition de la maladie, ok, mais sauf que l'on sait que c'est impossible.
J'suis vraiment pas optimiste pour la suite ...