Crise énergétique, crise mondiale, crise d'approvisionnement des matières premières et autres...

Sig le Troll

Vî Troll
J'ai rien pris personnellement, mais ce qui est applicable à une PME est applicable à une multinationale.
Non, ils ont des règles différentes, c'est le principe même de les différencier. La fiscalité est différente, la responsabilité est différente, la façon de se financer est différente, etc.

Donc oui, des traitements différents en fonction de la situation sont possibles.
 

pyngu

La vodka du diable
Oui, mais il adore prendre bob au pied de la lettre comme si tout lui était adressé personnellement. Comme s'il n'y avait pas de différence entre une PME et une multinationale. C'est la guerre de la mauvaise foi.

Bon, en fait, c'est un peu tout le monde, comme pour useless, tous les arguments sont bons pour montrer qu'on leur a mis dans la gueule sur un forum.
Mais sur le coup @bobmaurane c'est complètement fourvoyer.
Ou alors il a une vision de l'entreprise que peu doivent avoir.
 

Volkurah

Jouisseur 3 étoiles ⭐⭐⭐
Non, ils ont des règles différentes, c'est le principe même de les différencier. La fiscalité est différente, la responsabilité est différente, la façon de se financer est différente, etc.

Donc oui, des traitements différents en fonction de la situation sont possibles.
On est d'accord, ils ont une fiscalité différente... (on a une SRL et une LLC, je pense comprendre un peu la chose).

J'ai jamais dit le contraire d'ailleurs hein...

Je parle de la réflexion et du simple constat des chiffres... Bob dit "on va limiter les bénéfices" et moi je dis que ça se répercutera ailleurs, ça me semble être "normal".

Y a moins dans la caisse... y aura moins de salariés.

Point.

C'est universel. Eux les premiers, ils ne feront pas dans la dentelle si tu les limites.
 

titoum

OPTC:970342646


un peu de rêve dans ce monde :cool::cool::cool:
 

Sig le Troll

Vî Troll
Mais sur le coup @bobmaurane c'est complètement fourvoyer.
Ou alors il a une vision de l'entreprise que peu doivent avoir.
Il a tendance à viser les aspects négatifs de la financiarisation de l'économie et des grandes sociétés, alors qu'on a tendance à plutôt voir la réalité de la "petite entreprise à papa".

Ce qui n'empêche pas de pouvoir être en désaccord avec son discours (pour de bonne ou de mauvaises raisons).
 

Dieu Bisounours

Créateur de Dieu
Rien à voir avec les mentalités.

Les chiffres, ça reste les chiffres.

Chez Danone ou dans une PME...

On peut faire une concession et dire "ok on se paie moins ce mois-ci" mais j'ai aussi des charges privées qui elles ne diminuent pas.

Je peux me sacrifier pour ma société/les éléments qui composent ma société, mais pas jusqu'à la faillite. Les chiffres ce sont les chiffres... quand des postes augmentent, il n'y a que 2 choix : faire plus de CA ou rogner sur certaines charges.
Je crois bien que tu te méprends sur les propos de bobmaurane.

En réalité, si Danone perd du CA, même s'ils peuvent assumer les charges fixes et dégager un léger bénéficie, si ce dernier diminue, ils n'hésiteront pas à mettre au chômage économique ou à licencier leurs employés.

Si ton CA est en diminution mais suffisant u n'auras certainement pas la même approche.

Donc, oui, le fonctionnement d'une société est aussi une approche philosophique.
 

Volkurah

Jouisseur 3 étoiles ⭐⭐⭐
Je crois bien que tu te méprends sur les propos de bobmaurane.

En réalité, si Danone perd du CA, même s'ils peuvent assumer les charges fixes et dégager un léger bénéficie, si ce dernier diminue, ils n'hésiteront pas à mettre au chômage économique ou à licencier leurs employés.

Si ton CA est en diminution mais suffisant u n'auras certainement pas la même approche.

Donc, oui, le fonctionnement d'une société est aussi une approche philosophique.
Euh... c'est ce que je dis ?

Rien à voir avec les mentalités.

Les chiffres, ça reste les chiffres.

Chez Danone ou dans une PME...

On peut faire une concession et dire "ok on se paie moins ce mois-ci" mais j'ai aussi des charges privées qui elles ne diminuent pas.

Je peux me sacrifier pour ma société/les éléments qui composent ma société, mais pas jusqu'à la faillite. Les chiffres ce sont les chiffres... quand des postes augmentent, il n'y a que 2 choix : faire plus de CA ou rogner sur certaines charges.


Y a moins dans la caisse... y aura moins de salariés.

Point.

C'est universel. Eux les premiers, ils ne feront pas dans la dentelle si tu les limites.
 

Dieu Bisounours

Créateur de Dieu
Oui, mais il adore prendre bob au pied de la lettre comme si tout lui était adressé personnellement. Comme s'il n'y avait pas de différence entre une PME et une multinationale. C'est la guerre de la mauvaise foi.

Bon, en fait, c'est un peu tout le monde, comme pour useless, tous les arguments sont bons pour montrer qu'on leur a mis dans la gueule sur un forum.
Bagarre alcoolisée ou rien.
 

Volkurah

Jouisseur 3 étoiles ⭐⭐⭐
Oui et non. Tu te permettras moins de sacrifier qu'un autre en fonction de ton approche du travail et de la philosophie de ta société.
C'est ce que je dis...

Mais n'importe quel gars rationnel (donc le moi de 2022) te dire que je suis prêt à ça, mais pas jusqu'à me mettre personnellement en faillite. ;)

Après, on pourrait aussi parler des emprunts/fonds de roulement/... mais c'est un autre débat. Bref.

Trop longue aparté
 

Sig le Troll

Vî Troll
On est d'accord, ils ont une fiscalité différente... (on a une SRL et une LLC, je pense comprendre un peu la chose).

J'ai jamais dit le contraire d'ailleurs hein...

Je parle de la réflexion et du simple constat des chiffres... Bob dit "on va limiter les bénéfices" et moi je dis que ça se répercutera ailleurs, ça me semble être "normal".

Y a moins dans la caisse... y aura moins de salariés.

Point.

C'est universel. Eux les premiers, ils ne feront pas dans la dentelle si tu les limites.
Bon, j'avais commencé à répondre puis mon chat a éteint le pc, sans doute un signe pour me dire de ne pas le faire (ou du moins de m'en arrêter là car ce n'est pas le sujet).

Je vais essayer de reprendre, mais j'aurais probablement la flemme de redévelopper certains trucs.

Bénéfice =\= de CA. C'est ce qui reste après avoir assumé toutes les charges de l'exploitation, rémunéré les salariés, etc. Une diminution de bénéfice n'a pas naturellement en soi et automatiquement un effet sur les employés, c'est juste une diminution du rendement de ton capital.

Ensuite, je comprends bien la réflexion. Nous sommes de la même génération (je pense). Depuis tout petit, on nous enseigne la philosophie de la maximalisation des bénéfices, que c'est la seule et bonne manière de fonctionner. C'est le "retour de la vengeance" du capital effectué dans les années 80. On n'a connu "que ça" de notre vivant.

Bob, est plus vieux, et a p-e encore en tête les idées des 30 glorieuses et d'une autre façon de faire, où une société était faite pour l'investissement (pas juste au sens spéculation financière actuelle), l'innovation, le développement, etc. La rémunération du capital n'était pas au premier plan, mais bien le développement de la société (et donc ses employés, ses produits, son marché, etc.).
Le bénéfice n'était pas destiné à rémunérer principalement le capital, mais à être réinvesti.

Et donc, comme j'ai pris l'histoire à l'envers, on sait ce qui s'est passé. Les détenteurs du capital ont inversé le mouvement et on fait le rendement de celui-ci une priorité.
C'est pour quoi on voit les comportements actuels où si le bénéfice n'est pas assez élevé (cynisme total, c'est pas qu'il n'y a pas de bénéfice, non, c'est que la rentabilité exigée n'est pas à la hauteur alors que tout le reste fonctionne bien), on commence à sacrifier les autres parties de l'entreprise pour dégager la différence nécessaire (licenciements, pression sur les salaires, démantèlement, mise en faillite, baisse de qualité, pollution, etc.).


Et donc, si je comprends ce que bob souhaite exprimer, c'est que dans les grandes sociétés financiarisées où l'accent est mis sur les bénéfices avant tout (contrairement aux petites PME "de papa" où on fait vivre la famille et p-e le village comme on peut) c'est de mettre une limite à ce comportement en obligeant un réinvestissement dans l'économie réelle d'une partie du bénéfice dégagé (ou dans l'espoir d'arriver à ce genre de comportement).

Bref, changer à nouveau le paradigme. Essayer d'avoir un équilibre plus sain dans la société que la maximalisation des bénéfices à tout prix.
Maintenant, je ne dis pas qu'on doit être d'accord avec lui (ou que j'ai bien compris ce qu'il voulait exprimer).

Et je me rends bien compte que dans ta PME, les bénéfices c'est une façon de rémunérer ton travail, et pas encore (ou alors ça va déjà suffisamment bien) de simplement rémunérer le capital investi sans que tu ne doives plus rien faire. Tu es tjs actif, tu es tjs en développement. C'est pas cette façon de faire qui est visée "dans cette critique".


Dans cet ordre d'idée, John Oliver a fait un sujet cette semaine sur les camionneurs aux US qui montrent une des facettes de ce problème.


Enfin bref, comme je disais au début, mon chat avait raison de couper le pc, je vais en rester là pour ça et on peut revenir au sujet principal.
 
Dernière édition:

bobmaurane

Antiélite
Rien à voir avec les mentalités.

Les chiffres, ça reste les chiffres.

Chez Danone ou dans une PME...

On peut faire une concession et dire "ok on se paie moins ce mois-ci" mais j'ai aussi des charges privées qui elles ne diminuent pas.

Je peux me sacrifier pour ma société/les éléments qui composent ma société, mais pas jusqu'à la faillite. Les chiffres ce sont les chiffres... quand des postes augmentent, il n'y a que 2 choix : faire plus de CA ou rogner sur certaines charges.
Je te comprend bien,mais là je parle d'un système de redistribution des surprofits lors de crises pour soutenir les entreprises vitales qui seraient en difficulté,pas vraiment ton problème ;)

Bref éviter que les profiteurs des crises ne s'engraissent pendant que les autres crèvent et arrêter de devoir subsidier tout et n'importe quoi par la dette.
La solidarité peut être aussi une solidarité inter-entreprises ;)
 

bobmaurane

Antiélite
Bon, j'avais commencé à répondre puis mon chat a éteint le pc, sans doute un signe pour me dire de ne pas le faire (ou du moins de m'en arrêter là car ce n'est pas le sujet).

Je vais essayer de reprendre, mais j'aurais probablement la flemme de redévelopper certains trucs.

Bénéfice =\= de CA. C'est ce qui reste après avoir assumé toutes les charges de l'exploitation, rémunéré les salariés, etc. Une diminution de bénéfice n'a pas naturellement en soi et automatiquement un effet sur les employés, c'est juste une diminution du rendement de ton capital.

Ensuite, je comprends bien la réflexion. Nous sommes de la même génération (je pense). Depuis tout petit, on nous enseigne la philosophie de la maximalisation des bénéfices, que c'est la seule et bonne manière de fonctionner. C'est le "retour de la vengeance" du capital effectué dans les années 80. On n'a connu "que ça" de notre vivant.

Bob, est plus vieux, et a p-e encore en tête les idées des 30 glorieuses et d'une autre façon de faire, où une société était faite pour l'investissement (pas juste au sens spéculation financière actuelle), l'innovation, le développement, etc. La rémunération du capital n'était pas au premier plan, mais bien le développement de la société (et donc ses employés, ses produits, son marché, etc.).
Le bénéfice n'était pas destiné à rémunérer principalement le capital, mais à être réinvesti.

Et donc, comme j'ai pris l'histoire à l'envers, on sait ce qui s'est passé. Les détenteurs du capital ont inversé le mouvement et on fait le rendement de celui-ci une priorité.
C'est pour quoi on voit les comportements actuels où si le bénéfice n'est pas assez élevé (cynisme total, c'est pas qu'il n'y a pas de bénéfice, non, c'est que la rentabilité exigée n'est pas à la hauteur alors que tout le reste fonctionne bien), on commence à sacrifier les autres parties de l'entreprise pour dégager la différence nécessaire (licenciements, pression sur les salaires, démantèlement, mise en faillite, baisse de qualité, pollution, etc.).


Et donc, si je comprends ce que bob souhaite exprimer, c'est que dans les grandes sociétés financiarisées où l'accent est mis sur les bénéfices avant tout (contrairement aux petites PME "de papa" où on fait vivre la famille et p-e le village comme on peut) c'est de mettre une limite à ce comportement en obligeant un réinvestissement dans l'économie réelle d'une partie du bénéfice dégagé (ou dans l'espoir d'arriver à ce genre de comportement).

Bref, changer à nouveau le paradigme. Essayer d'avoir un équilibre plus sain dans la société que la maximalisation des bénéfices à tout prix.
Maintenant, je ne dis pas qu'on doit être d'accord avec lui (ou que j'ai bien compris ce qu'il voulait exprimer).

Et je me rends bien compte que dans ta PME, les bénéfices c'est une façon de rémunérer ton travail, et pas encore (ou alors ça va déjà suffisamment bien) de simplement rémunérer le capital investi sans que tu ne doives plus rien faire. Tu es tjs actif, tu es tjs en développement. C'est pas cette façon de faire qui est visée "dans cette critique".


Dans cet ordre d'idée, John Oliver a fait un sujet cette semaine sur les camionneurs aux US qui montrent une des facettes de ce problème.


Enfin bref, comme je disais au début, mon chat avait raison de couper le pc, je vais en rester là pour ça et on peut revenir au sujet principal.
Tout est dit, merci ;)
 

bobmaurane

Antiélite
Je crois bien que tu te méprends sur les propos de bobmaurane.
En réalité, si Danone perd du CA, même s'ils peuvent assumer les charges fixes et dégager un léger bénéficie, si ce dernier diminue, ils n'hésiteront pas à mettre au chômage économique ou à licencier leurs employés.
Si ton CA est en diminution mais suffisant u n'auras certainement pas la même approche.
Donc, oui, le fonctionnement d'une société est aussi une approche philosophique.
J'ai effectivement l'habitude, dans des discussions IRL avec des indépendants, de les voir être incapables de faire la différence entre le fonctionnement de leur TPE ou PME et de grosses boites.

Ils prennent tout pour eux, c'est assez hallucinant :confused:
 

Benji

It's caturday!
Jsuis pas du genre a aimer perdre du temps bêtement.
Si je pouvais prendre un train et bosser dans le train, pourquoi pas, franchement ca serait même cool: rentabiliser le temps passé.

C'est plus difficile dans le métro bruxellois ou dans la voiture d'un collègue :D
Évidemment :D Ceci dit ma question était plus rhétorique qu'autre chose, parce que moi aussi j'aime bien recevoir des colis rapidement/aller vite en voiture (on s'entend, pas perdre énormément de temps) :D
Enfin on en revient au même problème finalement: soir l'offre des transports en communs n'est pas assez large, soit on a de mauvaises pratiques (aka +50km pour le boulot, et j'suis aussi dans ce cas) :p
 

Sig le Troll

Vî Troll
On a des mauvaises pratiques qui sont permises et encouragées par la mise en avant du transport individuel personnel facile et pas cher.

Le problème vient quand tu commences à enlever certaines parties de cette équation.


Tout comme je ne me fais plus chier à apprendre une carte quand j'ai un gps en permanence dans ma poche. Et pourtant, ça reste bien pratique parfois de continuer à connaître un peu les lieux.
Exemple con.
 

Volkurah

Jouisseur 3 étoiles ⭐⭐⭐
Bon, j'avais commencé à répondre puis mon chat a éteint le pc, sans doute un signe pour me dire de ne pas le faire (ou du moins de m'en arrêter là car ce n'est pas le sujet).

Je vais essayer de reprendre, mais j'aurais probablement la flemme de redévelopper certains trucs.

Bénéfice =\= de CA. C'est ce qui reste après avoir assumé toutes les charges de l'exploitation, rémunéré les salariés, etc. Une diminution de bénéfice n'a pas naturellement en soi et automatiquement un effet sur les employés, c'est juste une diminution du rendement de ton capital.

Ensuite, je comprends bien la réflexion. Nous sommes de la même génération (je pense). Depuis tout petit, on nous enseigne la philosophie de la maximalisation des bénéfices, que c'est la seule et bonne manière de fonctionner. C'est le "retour de la vengeance" du capital effectué dans les années 80. On n'a connu "que ça" de notre vivant.

Bob, est plus vieux, et a p-e encore en tête les idées des 30 glorieuses et d'une autre façon de faire, où une société était faite pour l'investissement (pas juste au sens spéculation financière actuelle), l'innovation, le développement, etc. La rémunération du capital n'était pas au premier plan, mais bien le développement de la société (et donc ses employés, ses produits, son marché, etc.).
Le bénéfice n'était pas destiné à rémunérer principalement le capital, mais à être réinvesti.

Et donc, comme j'ai pris l'histoire à l'envers, on sait ce qui s'est passé. Les détenteurs du capital ont inversé le mouvement et on fait le rendement de celui-ci une priorité.
C'est pour quoi on voit les comportements actuels où si le bénéfice n'est pas assez élevé (cynisme total, c'est pas qu'il n'y a pas de bénéfice, non, c'est que la rentabilité exigée n'est pas à la hauteur alors que tout le reste fonctionne bien), on commence à sacrifier les autres parties de l'entreprise pour dégager la différence nécessaire (licenciements, pression sur les salaires, démantèlement, mise en faillite, baisse de qualité, pollution, etc.).


Et donc, si je comprends ce que bob souhaite exprimer, c'est que dans les grandes sociétés financiarisées où l'accent est mis sur les bénéfices avant tout (contrairement aux petites PME "de papa" où on fait vivre la famille et p-e le village comme on peut) c'est de mettre une limite à ce comportement en obligeant un réinvestissement dans l'économie réelle d'une partie du bénéfice dégagé (ou dans l'espoir d'arriver à ce genre de comportement).

Bref, changer à nouveau le paradigme. Essayer d'avoir un équilibre plus sain dans la société que la maximalisation des bénéfices à tout prix.
Maintenant, je ne dis pas qu'on doit être d'accord avec lui (ou que j'ai bien compris ce qu'il voulait exprimer).

Et je me rends bien compte que dans ta PME, les bénéfices c'est une façon de rémunérer ton travail, et pas encore (ou alors ça va déjà suffisamment bien) de simplement rémunérer le capital investi sans que tu ne doives plus rien faire. Tu es tjs actif, tu es tjs en développement. C'est pas cette façon de faire qui est visée "dans cette critique".


Dans cet ordre d'idée, John Oliver a fait un sujet cette semaine sur les camionneurs aux US qui montrent une des facettes de ce problème.


Enfin bref, comme je disais au début, mon chat avait raison de couper le pc, je vais en rester là pour ça et on peut revenir au sujet principal.
Comment veux-tu que j’ai envie de répondre à une telle tartine digne de @Squall89 à cette heure-ci.
Quoiqu’il en soit on est d’accord sur le principe et je ne repasserai pas sur ma situation perso (osef de toute façon) mais oui
J'ai effectivement l'habitude, dans des discussions IRL avec des indépendants, de les voir être incapables de faire la différence entre le fonctionnement de leur TPE ou PME et de grosses boites.

Ils prennent tout pour eux, c'est assez hallucinant :confused:
Vilainnnne bourgeoisie ! A vos piques et vos fourches amis paysans !
:mad:



Quoi !? On peut plus caricaturer ?
 
Dernière édition:
Haut