Akabane
The Chemical Stig
Le principe c'est de commencer le second bac quand t'es en troisième de ton bac principal.
Ainsi, quand tu finis le master n°1 tu entres en master n°2
Ainsi, quand tu finis le master n°1 tu entres en master n°2
Je suis l'exception qui confirme la règle Je fais un double master (donc, celui de droit et celui de sciences po) et je crois que c'est la meilleure solution. Grâce à mon bac, j'ai pu entrer directement en master sciences po et éviter le BAC. Je pense aussi que c'est plus valorisant un Master (pour l'employeur) qu'un BAC et c'est ce qui m'a poussé à attendre.Oui, comme je l'ai dit, il y a des cas particuliers. Pour ce que je connais, faire du droit en parallèle des sciences politiques c'est très intéressant et en plus je pense que c'est largement faisable. De même faire de la compta en plus du droit c'est plus qu'intéressant pour un futur fiscaliste. L'économie je ne suis pas convaincu.
Autrement il ne faut pas oublier qu'il y a toujours la possibilité de faire des masters complémentaires. C'est préférable de faire ça. Tu fais ton master principal du mieux que tu peux (parce que bon faire un double bac et passer des années de folie ce n'est peut-être pas la meilleure solution...) et après tu prends un an ou deux pour refaire un master complémentaire (souvent c'est bien aménagé), par exemple à la LSM ou en sciences politiques.
Surtout ça dépend de ta vision. Si tu le fais pour ta culture personnelle, un bac ça va, mais si tu veux le valoriser auprès d'un employeur il vaut mieux avoir fait un master. Et là pour faire un double master bonne chance...
Pour la chimie et les maths je ne sais pas, pas du tout mon truc...
Je m'interrogeais sur la complémentarité, c'est pour ça que j'ai pensé stat appliquée. parce que franchement si tu avais besoin de méthodes quantitatives pour la recherche en chimie, je me dis qu'ils l'intégreront de fait dans ta formation d'ici le doctorat. Je vois pas une université former un docteur en Chimie à moitié .. ou alors j'ai pas comprisBiostat ce n'est pas vraiment pareil, et même si effectivement les statistiques sont la clef de voûte des sciences modernes, ce n'est pas exactement ce qu'il faut
La preuve, c'est accessible avec un bac BIR... :-D
Dis ainsi, j'ai envie encore plus envie de dire c'est 2 métiers différents. Je pense qu'il faut choisir, je vois pas de justification professionelle de faire les deux formations. Comme j'ai dis, tu auras ta tâche de chimiste.. tu seras pas un demi-chimiste, tu collaboreras avec des mathématiciens. Tu as besoin du mathématicien et le mathématicien a besoin de toi (ou pas ). Moi je le verrai ainsi.Le master en math m'intéresse dans la recherche en chimie car il permet par exemple de développer de nouveaux algorithmes permettant d'approximer diverses variables régissant des réactions chimiques données, ...
Tu te rends vite compte que qd tu veux faire de la chimie théorique, tu dois faire des simulations sur pc via des supercalculateurs etc, et ces supercalculateurs, quelqu'un doit leur dire ce qu'ils doivent calculer, et ce quelqu'un c'est un matheux, pas un chimiste
Bonne initiative que je ne peux qu'encourager (le bac math en supplément)!Biostat ce n'est pas vraiment pareil, et même si effectivement les statistiques sont la clef de voûte des sciences modernes, ce n'est pas exactement ce qu'il faut
La preuve, c'est accessible avec un bac BIR... :-D
Le master en math m'intéresse dans la recherche en chimie car il permet par exemple de développer de nouveaux algorithmes permettant d'approximer diverses variables régissant des réactions chimiques données, ...
Tu te rends vite compte que qd tu veux faire de la chimie théorique, tu dois faire des simulations sur pc via des supercalculateurs etc, et ces supercalculateurs, quelqu'un doit leur dire ce qu'ils doivent calculer, et ce quelqu'un c'est un matheux, pas un chimiste
Par ailleurs, la rigueur mathématique, la logique, ..., sont intéressantes en tant que telles sans même considérer les débouchés "pratiques" et rester dans le monde purement théorique et abstrait des maths. C'est un outil très puissant pour développer ton cerveau, et ta capacité à raisonner de façon générale
Ce dernier point seul suffit à justifier mon intérêt pour, après je sais pas si je suis capable de faire les deux, c'est pourquoi pr ce second quadri (c'est au début du quadri que l'idée m'est venue) j'ai décidé de bosser sérieusement mes cours et de faire de mon mieux (en me mettant dans les bonnes conditions, donc j'ai volontairement alourdi ma session de juin pour simuler une session de double-bac en y ajoutant les 3 examens que j'ai foiré en janvier, et j'ai brossé pas mal de cours pour les travailler chez moi pour apprendre à travailler seul), voir un peu justement si j'arrive a faire des scores ou si je suis un gros fainéant qui se contente du minimum
Tu as étudié quelle science?J'ai deux diplomes : master en sciences puis master complémentaire en gestion.
Je n'aurais jamais pu faire les deux correctement si je les avais fait en même temps. Mais je n'aurais jamais occupé le job que j'occupe si je n'avais pas ce double cursus.
Je ne suis pas certain que le fait de "sacrifier" sa vie sociale pour faire un double cursus est très bien vu de la part d'un employeur.
Par exemple, durant mes interviews pour obtenir mon job actuel j'ai beaucoup discuté de mes activités extra scolaires (passées ou actuelles) : scoutisme, sport, bénévolat. Ils étaient très interessés par mes capacités relationnelles et par ce qui me motivait dans la vie. Je me demande ce que j'aurais bien pu raconter durant ces interviews si j'avais passé ma scolarité à "juste" étudier.
Fin, je connais plusieurs personnes en double master et c'est vraiment un stéréotype. Honnêtement, je continue à faire beaucoup de sports (suis un accroc ) et un de mes amis continuent la musique et le sport aussi. En réalité, au plus tu as d'échéances, au mieux tu t'organises. Avant, je n'étais jamais en avance et là, je fais mes travaux directement, ... pour avoir du temps en cas d'imprévus.J'ai deux diplomes : master en sciences puis master complémentaire en gestion.
Je n'aurais jamais pu faire les deux correctement si je les avais fait en même temps. Mais je n'aurais jamais occupé le job que j'occupe si je n'avais pas ce double cursus.
Je ne suis pas certain que le fait de "sacrifier" sa vie sociale pour faire un double cursus est très bien vu de la part d'un employeur.
Par exemple, durant mes interviews pour obtenir mon job actuel j'ai beaucoup discuté de mes activités extra scolaires (passées ou actuelles) : scoutisme, sport, bénévolat. Ils étaient très interessés par mes capacités relationnelles et par ce qui me motivait dans la vie. Je me demande ce que j'aurais bien pu raconter durant ces interviews si j'avais passé ma scolarité à "juste" étudier.
C'est exactement ce que je me dis. Les gens perdent leur temps à ne rien faire (facebook, 9gag, youtube, ...) et se disent qu'ils n'auraient pas le temps de faire d'autres choses ou de s'adonner à des loisirs, alors qu'en réalité si tu vires les activités qui ne t'apportent presque aucune satisfaction et qui sont juste chronophages, tu as plein de temps libre à ta disposition.Fin, je connais plusieurs personnes en double master et c'est vraiment un stéréotype. Honnêtement, je continue à faire beaucoup de sports (suis un accroc ) et un de mes amis continuent la musique et le sport aussi. En réalité, au plus tu as d'échéances, au mieux tu t'organises. Avant, je n'étais jamais en avance et là, je fais mes travaux directement, ... pour avoir du temps en cas d'imprévus.
C'est vraiment en fonction des capacités de chacun à endurer la pression et à s'organiser.
Oui peut être que ce que je raconte est un peu cliché. Faut voir au cas par cas.Fin, je connais plusieurs personnes en double master et c'est vraiment un stéréotype. Honnêtement, je continue à faire beaucoup de sports (suis un accroc ) et un de mes amis continuent la musique et le sport aussi. En réalité, au plus tu as d'échéances, au mieux tu t'organises. Avant, je n'étais jamais en avance et là, je fais mes travaux directement, ... pour avoir du temps en cas d'imprévus.
C'est vraiment en fonction des capacités de chacun à endurer la pression et à s'organiser.