On doit pas parler la même langue, j'aurai juré avoir dit "Je ne pense pas qu'on doive paniquer pour autant".
Et je ne comprends pas ce que faible signifie (statistiquement parlant).
Histoire de ne pas perdre plus de temps, mon opinion se résume en 2 lignes : Est-ce que le virus a un
potentiel dévastateur ?
Si oui, quel serait le principe de précaution le plus adapté répondant au plus mortel des scénarios imaginables ?
J'applique le même raisonnement pour les marchés financiers, les changements climatiques, etc. C'est simple à dire, mais difficile à appliquer.
Et j'ai bien compris ton raisonnement, mois après mois on t'annonce avec fracas l'apparition d'un événement potentiellement dévastateur, qui finit par se révéler n'être que du vent, t'offrant la possibilité de nous dire "Aha j'vous l'avais dit quiyaurarien" sans pour autant réaliser qu'on est parfois passé de peu à un drame sans le courage et l'intelligence de "gens de l'ombre".
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