Oulàààà 'y a une super-méprise !!!
Ce que tu viens d'écrire, ça aurait pu venir de moi si j'avais répondu à quelqu'un qui assimilait la guindaille à l'alcoolisme. Mais non ! Ce n'est pas du tout ce que j'ai dit.
Je sais pas quel âge tu as, mais on a l'air d'avoir le même cursus
. Je ne critique pas du tout la guindaille, je l'ai pratiquée en
full-time ces 4 dernières années (même si cette année, la murge est en net recul). D'ailleurs, je suis sûr qu'on a déjà dû se croiser 1.000 fois en MéMé : je suis baptisé là-bas (et même Roi des Bleus, pour la petite histoire et la pseudo-frime
), j'y ai passé des milliards de soirées, sans même compter les Somnifères le dimanche ou les Lundis de la Gratte. Et puis 'y a les fêtes entre potes, les incrustes n'importe où, les trucs improvisés, les camps scouts (pas trop de détails, j'ai bien un scout ou deux sur GamerZ
) et tout le tralala.
J'ai passé l'année dernière à Louvain-la-Murge, et plus intensif que ça, je sais pas comment j'aurais pu faire...
Mais ce que je voulais dire, c'est que certaines personnes sortent du canevas délire-entre-potes et prennent ça de manière trop obsessionnelle, trop systématique, et deviennent vraiment alcooliques, parfois gravement. Et que certains piliers de bars qui font partie du cercle, des meubles, du folklore, qui font bien rire tout le monde et avec qui on s'entend bien, sont sur une très mauvaise pente. Même si 'faut pas s'alarmer, certaines personnes que je connaissais uniquement des guindailles me prenaient pour une loque irrécupérable (évidemment si on se croise que quand ils rallument les lumières, quelle gueule on peut avoir, je vous le demande !
), sans se douter qu'il y a quand même une vie derrière tout ça et qu'on peut se défracter très très fort tout en connaissant ses limites.
----> Disizzz : ça dépend de l'ampleur de la consommation de la veille, ça peut te foutre tout le lendemain dans le vent...