[Clad]
Manipulateur de bits
fixedLes hormones masculines qui vous font faire des trucs débiles en bandant
fixedLes hormones masculines qui vous font faire des trucs débiles en bandant
Tout comme tes petits délire ne m’empêchent nullement de dormir, ils me font sourire.tu sais c'est pas un problème pour moi, c'est systémique, tu peux croire que tout se régule tout seul et que les meilleurs sont aux meilleurs postes ça m'empêchera pas de dormir.
fixed
Si l’homme belge savait ça, il voterait extrême droite.On a eu le cas ici, le premier au recrutement est une personne qui fait le job depuis des années, mais homme et belge. Au final, on a repêché la deuxième car femme et roumaine, parfait pour les quotas. Ben elle est incompétente et c'est une catastrophe.
On pourra alors arrêter d'interdire aux hommes blancs hétéro de parler de racisme, sous prétexte qu'ils ne le vivent pas?
Je pense qu'il y a des moments pour faire rencontrer les gens, et des moments où un groupe défini a envie d'un entre soit pour parler librement, sans personne pour dire "ouais mais nan, c'est pas sexiste/raciste ça, vous exagérez toujours vous les bonnes femmes".La forme pose soucis. Sur le fond, je n'ai rien à dire.
Vider son sac, c'est nécessaire.
Par contre, dire qu'on va exclure les discriminants de tous les débats (actuellement, la situation en arrive là), franchement, c'est le chemin à moins de mixité et plus de discrimination.
Restons chacun de notre côté pour mieux souffrir
Bref, les espaces de paroles sont nécessaires.
Par contre, il ne faut pas exclure les discriminants sous prétexte qu'ils ne vivent pas cela. Comment va-t-on faire rencontrer les deux côtés ?
PS : L'alcoolique, il ne se plaint pas de discrimination.
La femme voilée, le noir ou le/la LGBT, oui.
L'un des soucis c'est que du coup on part du postulat que la personne qui n'est pas directement concernée est agresseur.Je pense qu'il y a des moments pour faire rencontrer les gens, et des moments où un groupe défini a envie d'un entre soit pour parler librement, sans personne pour dire "ouais mais nan, c'est pas sexiste/raciste ça, vous exagérez toujours vous les bonnes femmes".
Le problème ici c’est que c’est sensé être une asbl publique et elle est subventionnée. On accepterait pas une asbl subventionnée qui organiserait des réunions pour des hommes blancs uniquement.L'un des soucis c'est que du coup on part du postulat que la personne qui n'est pas directement concernée est agresseur.
Un homme comprendra facilement que l'on préfère laisser des femmes entre elles parler de viol ou agression.
Il comprendra moins qu'on lui dise "non tu viens pas dans notre lutte du féminisme" si il a envie de soutenir la cause des militants.
Là étonnamment on ne va pas venir se plaindre que le financement vienne des impôts d'hommes blancs cis hétéro.Le problème ici c’est que c’est sensé être une asbl publique et elle est subventionnée. On accepterait pas une asbl subventionnée qui organiserait des réunions pour des hommes blancs uniquement.
Aucun problème si c’est un club privé mais faut assumer.
malSi on créait un groupe pour discuter des victimes de la petite délinquance "réservé aux personnes qui se font traiter de sale blanc" interdit aux autres ethnies, je me demande comment ça passerait.
L’oppresseur blanc n’a qu’à payer.Là étonnamment on ne va pas venir se plaindre que le financement vienne des impôts d'hommes blancs cis hétéro.
J'ai l'impression que c'est un import des luttes communautaires américaines alors qu'on a un contexte socioéconomique complètement différent.
non, tu considères que les deux ethnies sont sur le même pied d'égalité, ce qui n'est pas le cas. Deux poids deux mesures, un peu comme ce qui se passe maintenant mais dans l'autre sensDu coup, deux poids deux mesures ?
Moi rien, je juge les gens sur qui ils sont pas sur leur couleur de peau... si on impose des quotas ça ne peut que changer.Noir ou blanc qu’est-ce qu’on en a à foutre ?