Niveau impôt, c'est pas compliqué dans l'absolu pour un salarié. Logiquement, l'employeur dispose d'un département RH (ou sous-traite le calcul des paies par un secrétariat social) qui sont compétent (enfin, j'espère
) et qui vont déterminer, sur base du contrat défini et ce qui est autour (avantage de toute nature si présent, etc etc...) et vont déterminer un pourcentage de précompte professionnel qui est, normalement, supérieur à ce que le calcul d'impôt final donnerait s'il n'y avait pas eu de prélèvement.
Après, si tu as une épargne pension privée (style starfund ing), ça amène une réduction d'impôt donc un montant complémentaire de précompte (acompte sur l'impôt rappelons le) à récupérer.
En ce qui concerne les frais réels, je dirais d'éviter de faire cela sans avoir consulter un comptable pour déterminer de si oui ou non c'est défendable et définir les postes à reprendre comme dépenses professionnels. Parce que bon, autant une profession obligeant de se déplacer et de travailler en partie à la maison (commercial, ...), tu peux justifier les frais réels, autant d'autres professions (réassortisseur, caissier par exemple), c'est juste indéfendable car, une fois que tu as quitté ton lieu de travail, tu n'as plus rien à faire pour l'employeur, et tu ne sais rien faire d'ailleurs.
Sinon, bête question, vous êtes cohabitants légaux ou non ? A voir pour bénéficier du quotient conjugal qui est assez monstrueux comme gain.
Mais bon, comme j'ai dit, au niveau fiscal, mieux vaut t'en remettre à un comptable, demander une consultation unique de conseil pour analyser votre situation, voir la faisabilité ou non des frais réels, parce qu'après, l'administratif des frais réels, c'est bidon à faire et c'est pas ce qui nous plait le plus en tant que comptable/fiscaliste (je parle d'expérience... Le nombre de déclaration de frais réels que j'ai fait, où tu "t'amuses" à trier et puis sommer la boite à chaussure de tickets/factures du client...
)