Hamilton
The Doc'
Le flamand a besoin du français pour survivre. Pour le francophone, le néérlandais n'est qu'un luxe.
Tout tourne autour de Bruxelles. Bruxelles est francophone à plus de 85%. On peut entrer dans n'importe quel commerce, café ou magasin, c'est le français qu'on parle. A part pour aller en Flandres, le francophone n'a aucun intérêt à parler flamand.
Changeons de position, et plaçons nous du côté du flamand qui doit se rendre souvent à Bruxelles pour des raisons professionnelles. Vous pensez qu'il va s'en sortir avec son patois anversois? Il ne sera nul part ! Il est obligé d'apprendre le français.
Le hic, c'est que le flamand moyen veut Bruxelles flamand, car les Flandres sont un concentré de fierté et que dès que quelque chose ne fonctionne pas bien dans le pays, il est plus simple de critiquer la Wallonie que de se corriger.
Il est évident que la Wallonie est également à critiquer pour sa politique féodale de copinage et de profit personnel au détriment de la région. Mais ceci est une autre histoire.
Le noeud du problème est clairement Bruxelles ! Ils veulent s'accaparer un bien dans lequel ils sont minoritaires et les coups les plus bas sont autorisés pour fustiger les francophones de Bruxelles.
Ne rêvez pas les gars, Bruxelles ne sera jamais néérlandophone, flamande. Faudra vous y faire, c'est vous qui allez continuer à apprendre le français pour faire votre beurre. Et cette fierté flamande, ce ne sera jamais à Bruxelles que vous l'imposerez. Les seules armes qu'ils vous restent, ce sont les insultes. Mais comme dit le proverbe: "Le chien aboie mais la caravane passe !"
Tout tourne autour de Bruxelles. Bruxelles est francophone à plus de 85%. On peut entrer dans n'importe quel commerce, café ou magasin, c'est le français qu'on parle. A part pour aller en Flandres, le francophone n'a aucun intérêt à parler flamand.
Changeons de position, et plaçons nous du côté du flamand qui doit se rendre souvent à Bruxelles pour des raisons professionnelles. Vous pensez qu'il va s'en sortir avec son patois anversois? Il ne sera nul part ! Il est obligé d'apprendre le français.
Le hic, c'est que le flamand moyen veut Bruxelles flamand, car les Flandres sont un concentré de fierté et que dès que quelque chose ne fonctionne pas bien dans le pays, il est plus simple de critiquer la Wallonie que de se corriger.
Il est évident que la Wallonie est également à critiquer pour sa politique féodale de copinage et de profit personnel au détriment de la région. Mais ceci est une autre histoire.
Le noeud du problème est clairement Bruxelles ! Ils veulent s'accaparer un bien dans lequel ils sont minoritaires et les coups les plus bas sont autorisés pour fustiger les francophones de Bruxelles.
Ne rêvez pas les gars, Bruxelles ne sera jamais néérlandophone, flamande. Faudra vous y faire, c'est vous qui allez continuer à apprendre le français pour faire votre beurre. Et cette fierté flamande, ce ne sera jamais à Bruxelles que vous l'imposerez. Les seules armes qu'ils vous restent, ce sont les insultes. Mais comme dit le proverbe: "Le chien aboie mais la caravane passe !"