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JmS_
ex membre
Sig, l'arrêt ne résume pas le débat, mais permet de situer le cadre juridique dans lequel il prend place.
Elian a dit:Euh paradis, t'as aussi subit des cours de droit ?
Il ne le résume pas, sur, mais il est utilisé à sens "unique". Ici, on voit juste qu'il a été décidé que cette personne est jugée inapte. A 4 contre 3. Donc à peine une majorité. Mais je pense qu'il est alors aussi tout à fait intéressant de mettre le résumé d'enquête qui a été fait au sujet du bonhomme qui montre qu'il est est sans doute tout autant apte qu'un jeune couple (et même des plus vieux) qui décide d'avoir un enfant sans vraiment en mesurer toutes les conséquences (combien, de nos jours, ne divorcent pas après un enfant car ils ne savent pas gérer la situation). Surtout que notre cher monsieur ici présent assume déjà l'éducation d'un enfant (dont il est le tuteur) qui n'a pas l'ait de présenter des séquelles graves, parraine d'autres enfants et ainsi de suite. Et aussi on y montre que ce Monsieur n'est pas l'homosexuel lubrique et obsédé complétement folle et exhibitionniste que certain s'amusent à imaginer pour renforcer leurs arguments. Et la plupart du temps, ces "folles" ne désirent pas avoir un enfant.JmS- a dit:Sig, l'arrêt ne résume pas le débat, mais permet de situer le cadre juridique dans lequel il prend place.
« (...) Monsieur FRETTE nous apparaît comme un homme sensible, réfléchi, attentif aux autres. Il aborde avec beaucoup d’honnêteté et de simplicité sa vie affective et son homosexualité. Il nous parle de plusieurs liaisons qui ont marqué sa vie en particulier celle qu’il a eue avec un ami aujourd’hui décédé. Il est d’ailleurs le subrogé tuteur du fils de ce dernier. (...)
Sa tournure d’esprit humaniste et altruiste le fait s’intéresser aux problèmes du tiers-monde. Il parraine deux enfants tibétains dont un bébé.
Il est capable de parler avec bon sens et intelligence du garçon dont il est le tuteur. Il n’a pas la responsabilité personnelle de ce jeune garçon, confié à sa grand-mère, mais est très présent dans son éducation. Ses principes éducatifs sont réfléchis et empreints de tolérance.
Monsieur FRETTE songe à l’adoption depuis 1985. Il a conscience que son homosexualité peut être un obstacle à l’obtention de l’agrément, compte tenu des valeurs sociales les plus répandues.
Pour lui son choix de vie affective et sexuelle n’a pas d’interférence avec son désir d’élever un enfant. Sa démarche est un acte personnel et non un acte militant.
Depuis 1985, il a rencontré beaucoup d’hommes homosexuels ayant des enfants.
Il a même envisagé d’avoir un enfant avec une amie. Ce projet n’a pas abouti par manque de maturité de part et d’autre. Cette amie reste toutefois très intéressée par le projet d’adoption de Monsieur FRETTE s’engageant même à représenter pour l’enfant une image féminine.
Monsieur FRETTE souhaite adopter un enfant par désir de transmettre affection et éducation. Ce qui est primordial pour lui, c’est d’aimer et de s’occuper d’un enfant, l’adoption n’étant pour lui qu’un acte social et juridique.
Monsieur FRETTE reçoit le soutien de son entourage amical. Il semble que les membres de sa famille soient ou non informés ou réticents devant son projet.
Bien que son désir d’enfant soit réel, Monsieur rencontre des difficultés à projeter dans le concret les bouleversements occasionnés par l’arrivée d’un enfant. Par exemple, il a pris conscience, lors de notre visite à domicile, de l’inadaptation de son logement à l’accueil d’un enfant. Il a alors envisagé la possibilité d’en changer.
Questionné sur la manière dont il envisage son rôle social de père célibataire, il dit ne pas avoir de réponse. Il se dit capable de gérer au quotidien la vie d’un enfant et pense qu’il trouvera en temps voulu les réponses aux questions que l’enfant se posera au fur et à mesure de son évolution concernant son homosexualité et l’absence de mère adoptive.
Monsieur est tout à fait conscient de l’importance de révéler à l’enfant ses origines. Il est tolérant à l’égard des femmes qui sont amenées à abandonner leur enfant. Il se refuse à avoir une idée précise sur les caractéristiques de l’enfant qu’il souhaiterait adopter.
Toutefois, il pense à un bébé, le plus jeune possible et envisage de s’orienter vers la Corée ou le Vietnam.
Monsieur FRETTE possède des qualités humaines et éducatives certaines. Un enfant serait probablement heureux avec lui. Ses particularités, homme célibataire homosexuel, permettent-elles de lui confier un enfant ? »
Tu penses ce que tu veux disizzzzzz, mais en tout cas la cours des droits de l'homme dis que nous, notre manière de penser concernant le principe de respect du DROIT DE L ENFANT A AVOIR une famille de type naturel n'est pas DISCRIMINATOIRE,envers l'homosexuelle.Disizzzz a dit:L'arret ne résumé peut etre pas de le débat, mais il résume la position de la cour européenne des droits de l'homme pour la raison que je donne ci dessus...
Sinon, je vois pas en quoi l'analyse du comportement du monsieur nous apprend quelque chose... Personne ne peut à l'heure d'aujourd'hui connaître l'impact psychologique que l'adoption homo peut avoir sur l'enfant adopté... Dois je rappeler que c'est le droit de l'enfant qui prime? Il est même consacré à l'article 22(je crois) de la constitution belge...
Il est accessible et lisible par tout le monde. Rien n'empêche qui que ce soit de l'utiliser dans l'autre sens.Il ne le résume pas, sur, mais il est utilisé à sens "unique".
heu ..Hugues.. tu peux me le redire une fois la ....JmS- a dit:Il est accessible et lisible par tout le monde. Rien n'empêche qui que ce soit de l'utiliser dans l'autre sens.Il ne le résume pas, sur, mais il est utilisé à sens "unique".
Tu veux faire culpabiliser ceux qui l'utilisent dans un sens de la non utilisation des arguments qui pourraient en être tirés dans l'autre sens?
Pas trop j'ai du mal à comprendre . Qui a écrit un truc incompréhensible pareil? Ha c'est moua .RBC9 a dit:heu ..Hugues.. tu peux me le redire une fois la ....JmS- a dit:Il est accessible et lisible par tout le monde. Rien n'empêche qui que ce soit de l'utiliser dans l'autre sens.Il ne le résume pas, sur, mais il est utilisé à sens "unique".
Tu veux faire culpabiliser ceux qui l'utilisent dans un sens de la non utilisation des arguments qui pourraient en être tirés dans l'autre sens?
j'aime bien cette phrase ..me fait penser a mon assuereur quand j ai reclamé pour mon dernier accident.
des promesses ..toujours des promesses ... non il ne fait que la deuxième partie.JmS- a dit:Suf que ton assureur il a du te dire: je suis désolé mais la clause 75486465 de notre contrat fait que je t'enc**** et te paye pas nan?