Yorel
Rêveur
On peut le voir de deux façons :
- Soit tu considères que tout étudiant à la possibilité de se découvrir une passion pour le domaine/la faculté qu'il a choisi et que cette passion lui permette de franchir les difficultés de la première BAC alors tu dois lui laisser sa chance.
( S'il rate car pas assez de connaissances, ce n'est pas grave il réussira l'année suivante )
- Soit tu considère qu'un mauvais élève (en secondaire) fera un mauvais étudiant (à l'université). Un élève qui a été dans une mauvaise école (car défavorisé, car parents à revenu faible) n'aura donc pas la possibilité de faire des études. Ce dernier point est étayé par de nombreuses statistiques faites sur le domaine : Un examen d'entrée sélectionne les couches favorisées de la société.
Un examen d'entrée en médecine provoquerait quelques bizarreries. Certains professeurs de médecine (dont le doyen de médecine de l'ULB) ont déclaré que s'il y avait un examen d'entrée, les études de médecines serait réduite d'un an (pour s'aligner sur les autres universités européennes - Bologne) et que la matière vue en première actuellement serait le sujet de cet examen d'entrée. Autrement dit, l'élève du secondaire en médecine aura intérêt à avoir été dans une très bonne école (la première BAC est loin d'être simple en première 28% pourcent de réussite).
Deux possibilités s'ouvriront peut être :
- En secondaire, en plus des sections actuelles (math fortes, ...), une section pour ceux qui se destinent à la médecine s'ouvre... (=> il faut se décider vachement tôt)
- Des cours le samedi matin de 8h00 à 12h pour se préparer au test d'entrée pdt un an avant de tenter sa chance comme en polytech.
Le raisonnement suivi par Simonet est la suivante : "Dans la mesure, où il y a des quota's, un numerus clausus est indispensable car laisser un étudiant suivre 7 ans pour ne pas lui donner un numéro inami est cruelle".
Pour moi, c'est bien les quota's contre lesquels il faut se battre.
- Soit tu considères que tout étudiant à la possibilité de se découvrir une passion pour le domaine/la faculté qu'il a choisi et que cette passion lui permette de franchir les difficultés de la première BAC alors tu dois lui laisser sa chance.
( S'il rate car pas assez de connaissances, ce n'est pas grave il réussira l'année suivante )
- Soit tu considère qu'un mauvais élève (en secondaire) fera un mauvais étudiant (à l'université). Un élève qui a été dans une mauvaise école (car défavorisé, car parents à revenu faible) n'aura donc pas la possibilité de faire des études. Ce dernier point est étayé par de nombreuses statistiques faites sur le domaine : Un examen d'entrée sélectionne les couches favorisées de la société.
Un examen d'entrée en médecine provoquerait quelques bizarreries. Certains professeurs de médecine (dont le doyen de médecine de l'ULB) ont déclaré que s'il y avait un examen d'entrée, les études de médecines serait réduite d'un an (pour s'aligner sur les autres universités européennes - Bologne) et que la matière vue en première actuellement serait le sujet de cet examen d'entrée. Autrement dit, l'élève du secondaire en médecine aura intérêt à avoir été dans une très bonne école (la première BAC est loin d'être simple en première 28% pourcent de réussite).
Deux possibilités s'ouvriront peut être :
- En secondaire, en plus des sections actuelles (math fortes, ...), une section pour ceux qui se destinent à la médecine s'ouvre... (=> il faut se décider vachement tôt)
- Des cours le samedi matin de 8h00 à 12h pour se préparer au test d'entrée pdt un an avant de tenter sa chance comme en polytech.
Le raisonnement suivi par Simonet est la suivante : "Dans la mesure, où il y a des quota's, un numerus clausus est indispensable car laisser un étudiant suivre 7 ans pour ne pas lui donner un numéro inami est cruelle".
Pour moi, c'est bien les quota's contre lesquels il faut se battre.