putain squall arrête un peu, soit tu fais un recours/va voir ton président de jury, soit tu passes à autre chose (pense à ce que tu vas faire mnt), ça sert à rien de se faire du mal à ressasser "j'aurais pu, j'aurais du, lui il a eu, blablafuck"
T'inquiète que j'ai fait les 2
. 'fin le recours non. Je ne suis pas défendable. Le règlement est bien clair et tu peux pas faire un recours en disant "mwé mais lol à l'ULB je passerai moi monsieur, faites un effort".
Puis les solutions je les ai déjà
Soit faire la même chose en HE à Fleurus (la fille au tél m'a dit que c'était quasi sur que je serai accepté) ou régendat à Namur.
Le premier me plaira autant comme étude, j'peux bosser après 3 ans et déjà peut être gagné correctement ma vie. Je peux évoluer au sein même de mon job (pendant le travail, via formation) et si je veux aller plus loin, en 3 ans de plus, je > un master à l'unif ('fin diplômement parlant, on sera égal mais ma formation sera meilleure, ce qui ne passera pas inapercu au yeux de l'employeur).
Seulement, le cadre et l'environnement me déprimeront, au début du moins(éloigné de tout, peu d'élève, trajet d'une demi heure aller, une demi heure retour, etc).
Le second stun peu l'inverse. Les études me plairont aussi je pense, le métier, je sais pas encore dire mais probablement (c'était une de mes options de carrière à la base aussi ça, enseigner), mais pour évoluer, c'est plus chaud. T'as toujours 3 ans de passerelles hein mais bon, tu dois encore te taper une année d'agrégation en plus si tu veux être prof de 4-5-6 par exemple. Puis je devrais entamer un master en agro sans doute et j'pense que la formation de régendat t'y prépare moins. Donc un peu peur de "finir coincé", de me retrouver prof, de me dire "erf finalement ça me plait pas tant que ça, etc" et d'avoir peu de solution de rechange.
Par contre, recommencer à namur me redonnera un coup de fouet niveau moral. Je resterai dans un environnement que j'adore, entamerai mes études du bon pieds dès le départ etc etc...
Donc c'est un choix difficile.
J'ai tourné la page, au final j'commence à me dire que ca devient un bien pour un mal (même si bon, recommencer une année a rarement que des avantages...), cette sorte "d'ambiance" universitaire (au niveau prof/jury, etc) est malsaine. L'impression d'être un numéro (et qu'on sait faire très peu de chose pour se détacher du lot et se faire remarquer) c'est frustrant.
Biensur, si on me tél demain pour dire "on accepte votre réussite conditionnelle, revenez", je le ferai, car je gagnerai un an et regrouperait les avantage des deux solutions. Mais je sais que c'est pas possible.
Maintenant voilà, c'est pas parce qu'on accepte la situation qu'on doit nécessairement la trouver juste. Cette année, et surtout les derniers jours, ça restera gravés à jamais dans ma mémoire, aussi bien en expérience de vie qu'en déception (du moins, sur certains points). Ca me restera éternellement en travers de la gorge et crois moi, je ne laisserai pas mes gosses faire les même erreurs que moi
Mais si tu t'inquiète pour moi (ce qui m'étonnerait mais bon
), sache que je vais déjà mieux (j'ai réussi à manger un plat entier/jours et j'arrive même à rejouer à l'ordi et à la guitare, c'est dire
)