http://fr.wikipedia.org/wiki/Milton_Friedman
A la 4e ligne on constate clairement l'objectivité du gars. Quand il parle d’éradiquer la pauvreté, on ne parle même pas de ça.. Si on parle mondialement parlant, juste éradiquer la famine serait pas mal et pour ça, il faut 3 milliards de dollars... Juste 3 milliards. Donc, oui on pourrait mais, non on veut pas!
Tu parles de "il a été un ardent défenseur du libéralisme"??????? Waouw le parti pris pour la liberté qui décrédibilise totalement ..
3 milliards par mois j'imagine? qu'on va sortir de je ne sais quel trou du cull (tu sors jamais des chiffres précis j'ai remarqué), la charité bien ordonné ou les bics de Père Damien toc toc toc, vous voulez acheté des bics? c'est pour lutter contre la famine. Mouais vendre 3 milliard de bic par mois, faudra que chaque européen en achète une 20aine par an.
En tout cas, faut pousser ton raisonement jusqu'au bout. S'il faut sentir son destin, sa conscience ou le sens de nos vies lié à tous les malheureux du monde, l'humanité ira pas loin. Quand l'Asie du Sud Est sera sous eaux, quand l'archipel du Japon redeviendra un désert économique, on verra comment les humains du continent accueilleront les déplacés en masse. Tout le monde cherchera à sauver sa pomme en premier, car l'intéret géneral n'existe pas à l'état brut ou naturel.
La famine a son rôle tout comme les catastrophes naturelles. Ca inscrits l'homme ds un écosystème alors qu'il n'entrait dans aucune chaine alimentaire, sinon on serait cb de milliard sur terre comme disait l'autre (d'ailleurs merci au chinois et la loi de l'enfant unique).
Je ne parle pas de sélection naturelle, je parle d'individualisme et de volonté individuelle, pourquoi attendre que l'autre nous tende la main, pourquoi dire qu'il n'y a pas de job pour tous alors qu'on peut entreprendre librement. C’est en tant qu’êtres autonomes, qui ne dépendent pas de l'aide d'autrui et responsables que les citoyens participeront à la définition et à la mise en œuvre des objectifs d’intérêt général.
Sans mondialisation menée par le libéralisme tu ne saurais même pas qu'il y a des africains qui crèvent (faut voir aussi le climat aride, tu ne crées pas de cercle vertueux en leur donnant juste à manger. C'est pour ça que la liberté de l'individu est le moteur le plus efficace, car elle crée ce cercle vertueux). La vie ce n'est pas seulement travailler pour manger boire, et la liberté ce n'a se résume pas au pouvoir de se soustraire du besoin de gagner de quoi survivre. C'est une définition sélective, partielle et partiale que tu donnes.
Après que tu leurs auras donner à manger, ils auront besoin d'autre chose. Ils voudront se vétir, se déplacer, se chauffer la nuit. Va tu le verser une allocation indéfinie et les soustraire à la réalité de leur terrain (climat) et la dureté de la vie. Sur un autre topic je parlais d'un challenge honorable pour les africains. C'est de ce travail que je parle qu'ils doivent réaliser en partant de zéro. Si on veut amener le progrès, il faut définir un problème et pas une solution (genre chier chaque mois 3 milliards).
La démocratie repose entièrement sur les individus eux-mêmes et sur leur capacité à assumer leur charge de citoyens, les jobs partiels que tu dénoncent aux NTHLS et Allemagne sont (malgré la précarité contre laquelle chaque individu doit lutter dans son cercle d'influence, j'entends famille et proche, les dons et la charité) en même temps source de revenu et de temps libre pour les citoyens, c'est la preuve que ton discours ne tient pas la route.
Tu es bloqué dans un mindset de lutte indéfinie pauvre/riche. Et que si l'un s'enrichit, l'autre perd. Mais il faut revenir en arrière et voir d'où l'on vient. La définition de pauvreté change continuellement. Ceux qu'on nomme comme vivant sous le seuil de pauvreté aujourd'hui ont un niveau de vie que bcps envient. Pour prendre la corde du bon bout et aller vers le progrès, il faut définir un problème et pas une solution. Les prochains milliardaires seront dans l'éducation, la santé, l'énergie, l'eau et la nouriture.
Le capitalisme couplé aux libéralisme soutenu par l'acceptation sociale de la propriété privée est un miracle. On vit à une époque où des individus singuliers ont entre leurs mains des fortunes et un pouvoir d'action que les empereurs et rois des siècles passés n'auraient jamais imaginé. Même si il y aura toujours des requins, comme la finance qui actuellement se sucre largement sur le dos du reste du monde, l'initiative individuelle favorisée par le libéralisme nous mets encore devant des temps d'abondance et qui est comme dit Friedman, le meilleur cadre pour aider à rencontrer les besoins des plus démunis et des tous les humains, et peu importe si toi tu veux continuer à croire au bonheur d'un communisme correctement appliqué.
en 16 minutes
en plus long mais plus bon