Mais dans les théories du complot il y a à boire et à manger.
C'est ça que je reproches c'est que les journalistes ne vont vous montrer que le farfelues, le non croyable.
Faire un complot est différent de croire en la théorie que celui ci existe.
Si tu ne crois pas dans la théorie d'un complot, tu ne peux jamais le déjouer. Ni même prouver son existence ou sa non existence.
Mais je persiste être complotiste c'est sain, tout le monde devrait l'être. Par contre croire dans toutes les théories qui passent ne l'est pas.
J'le répete, mais tu confond deux choses différentes...
Complots réels et conspirationnisme
Des auteurs avancent que le phénomène de la conspiration est inhérent à la
politique et à l'
économie dès lors que des richesses et du pouvoir sont en jeu dans un cadre d'ambitions opposées. L'histoire présente le cas de complots avérés, comme l'
opération Himmler organisée par le
Troisième Reich pour déclarer la guerre à la
Pologne, ou encore l'
Opération Ajax destinée à renverser
Mossadegh en
Iran (l'article «
conspiration » présente une liste de
cas d'espèces). Il arrive qu'une institution juridique considère un « complot » comme étant à l'origine d’événements historiques d'une certaine ampleur : au
procès de Nuremberg, le chef d'accusation no 1 contre les responsables
nazis était « plan concerté ou complot » (tandis que « crime contre la paix », « crime de guerre » et « crime contre l'humanité » étaient les chefs d'accusation nos 2, 3 et 4)
[réf. souhaitée].
Cependant, la théorie du complot, ou conspirationnisme, ne se contente pas d'affirmer l'existence de complots — ce que personne ne conteste —, elle fait du complot la matrice interprétative de tout évènement : le conspirationnisme est décrit par
Pierre-André Taguieff comme « la vision du monde dominée par la croyance que tous les événements, dans le monde humain, sont voulus, réalisés comme des projets et que, en tant que tels, ils révèlent des intentions cachées — cachées parce que mauvaises
4. » Par ailleurs, le philosophe
Karl Popper, qui développe son analyse dans
La Société ouverte et ses ennemis, remarque que les complots existent mais sont à peu près toujours des échecs et que « les conspirateurs profitent très rarement de leur conspiration »
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