Certaines réaction me font marrer.
Quand j'étais en début de secondaire, j'étais forcé d'aller me coucher à 21h. Bein je n'arrivais pas à me lever, malgré un réveil à 3 mètres de mon pieu...
Enfin, je me levais j'étaignais le réveil et j'allais me rendormir sans me rendre compte de rien. En tous cas, c'est l'impression que j'en avais en me levant à la bourre. J'arrivais même à répondre et à me rendormir dans les 10 secondes.
Pourtant, niveau hygiène de vie, c'était bon: du sport 4 fois par semaine, des levers et couchers à heures identiques 6jours sur7, dur de faire plus équilibré...
Maintenant, c'est pire vu que j'ai besoin de plus de 10 heures de sommeil par jour (j'ai fait une sieste de 13h30 à 18h30, et encore on est venu me réveiller et là je vais me recoucher parce que je suis claqué, malgré une douche...) et j'ai fait une pointe à 15/16h pendant un an, ce qui m'a valu une année d'études comme un baudet.
Love_shooter, je vais faire prochainement comme Guis, une petite nuit en clinique du sommeil pour voir un peu ce qui ne tourne pas: je dors, que ce soit peu ou beaucoup, mais je ne RECUPERE pas. Ce qui fait que je suis tellement claqué que je n'arrive pas à me lever (pourtant la pêche, je l'avais quand j'avais 12ans, mon horloge biologique était réglée comme une montre suisse).
Et pour ceux qui parlent de volonté, on va devoir m'expliquer comment j'ai fait pour ne pas être arrivé à me lever un jour d'examen (session très compromise à cause de ça...).
Un cas n'est pas un autre, ce n'est pas parce que vous avez quelques difficultés que vous arrivez à surmonter que tout le monde va y arriver.
On peut être atteint à différent niveaux et entre un coup direct sur la rotule et une déchirure des ligaments croisés, je sais faire la distinction. C'est pareil dans n'importe quel problème de santé.