Fortis : c'est non !

Nikolas a dit:

Toi tu fais parti de ces petits cretins d'actionnaires qui ont votés non... mdr tu as la haine??? Tu joues à la bourse, tu perds et tu pleures....

C'est idiot de jouer avec des actions et de ne jamais penser que pour une raison ou une autre l'action dégringole. Que ça soit l'état, le dollar ou l'économie global qui est responsable, faut pas venir pleurer parce que l'action chute, ça fait partie du jeu...

C'est pas très logique de se plaindre après ...

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Tarouk a dit:

1) Tu es qui pour me taxer de benêt? Tu te crois si intelligent que ça?

2) Non, pas forcément: je me débrouille plus que très bien dans 3 langues sans diplôme. Les deux choses sont indépendantes.

3) Les "langues", c'est un peu limite comme argument: tu peux très bien sortir d'un graduat en étant une quiche en langues (cas vécu, j'ai halluciné). Alors à moins de faire des études rien qu'en langues, le niveau n'est pas garanti.

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Xx.Ibiza-$ound. a dit:

Les langues...y a que sa de vrai pour se sortir de la merde :-D Au lieu d'être valet tu seras au moins traducteur

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Au départ, Didi Lagaffe se rend bien compte comme tout le monde que le toit de la maison de ses parents est en très mauvais état. Pourtant son frère (ses parents étant vieux, son frère en a la tutelle) l'a déjà fait réparer l'année dernière, mais il aurait besoin d'une rénovation plus sérieuse.

Un jour de tempête, Lagaffe est appelé par ses parents car le toit pisse de partout, son frère a des problèmes personnels et n'est pas disponible. Lagaffe pris de cours contacte un ami promoteur. Comme il ne pense pas que ses parents dispose de l'argent pour la rénovation, il prend sur un coup de tête la décision de vendre la maison. Il contacte un autre ami qui cherche à acheter un logement, mais une maison en mauvais état ça ne l'intéresse pas. Le promoteur voyant la bonne affaire, propose à Lagaffe de lui faire un petit cadeau personnel en échange d'un très bon pris pour la maison. Lagaffe ayant pas mal de soucis financiers se laisse tenter, (tante Irma l'a bien fait en son temps).

Pour être sûr de ne pas rater l'affaire, Lagaffe signe immédiatement un contrat et y inclu des indemnités en cas de désistement. Comme le prix est vraiment très bas, il propose de le relever d'un chouilla, contre une clause dans le contrat, qui stipule que les frais de réparation sont à charge de ses parents (en s'abstenant bien sûr de donner un devis détaillé).

Lagaffe persuadé d'avoir fait un très bon coup, va chez son frère lui faire signer le contrat. Le frère ne veut évidement pas, mais Lagaffe lui prétend que s'il ne signe pas, il pourra être poursuivi pour ne pas avoir entretenu correctement la maison. De toute façon, le contrat est déjà signé par lui même, il n'y a plus moyen de faire marche arrière. Le frère piégé, signe le contrat. Les parents ne sont bien sûr pas d'accord avec la vente de leur maison à leur insu. Ils contactent un avocat qui les informe que le frère de Lagaffe, même s'il est leur tuteur ne peut pas vendre leur maison sans avoir leur accord.

Lagaffe est informé, il se sent alors coincé et commence à s'énerver. Il n'hésite pas à mettre la pression sur ses parents en leur disant qu'il s'est engagé et qu'en cas d'annulation par la justice, il devra payer des indemnités et ne pourra plus payé les études de ses enfants.

Mais décidément, les parents ne veulent pas vendre la maison à un si mauvais prix. Informant son frère du pétrin dans lequel il s'est fourré en signant le contrat, Didi Lagaffe lui demande d'aller convaincre les parents à son tour. Mêmes les enfants, sur qui il fait pression, doivent aller demander aux parents de signer. Devant leur refus, il leur prétend que l'acheteur pourra faire saisir la maison, qu'elle ne vaudra plus rien et qu'ils auront des frais de justice à payer. Il les menace même de se retourner contre eux pour payer les indemnités. Tous les coups sont maintenant permis, Didi Lagaffe ira jusqu'à prétendre à ses parents que s'ils ne signent pas, ils ne verront plus leurs enfants.

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Paradis a dit:

Salut a tous, ça faisait un bail

C'est quand même marrant la manipulation des masses. BNP fonce tête baissée pour avoir Fortis dans son escarcelle, et de l'autre côté de la frontière, Fortis n'est plus rentable..... on se fou vraiment de notre G....

Si on vend Fortis c'est uniquement pour des raisons idéologiques.

Si tout ce qui est rentable à l'étranger, on le trouve trop grand ou trop risqué pour notre pays, alors de toute façon nous finirons comme nain de jardin économique. Nous et nos enfants n'auront que des emplois de subalterne, et notre pays sera dirigé de l'étranger !

j'imagine déjà la réponse "Ouais, que ça peut fo..tre de l'étranger".
Et bien jamais entendu dans la bouche du petit Sarkho, la préférence nationale, a votre avis quand une société Belge demandera un crédit pour son expansion et une société Française en demandera dans le même secteur d'activité, laquelle sera favorisée ... ça ne vous fait pas tilt ?

De plus si BNP passe chez fortis, sur les 25.000 emplois, combien seront supprimé a terme ?
8000 ? 10.000 ? évidemment tout les emplois a haute valeur ajoutée, ceux qui rapportent un max d'impôt a l'état Belge, Directeur, économistes, expert.......

Mais voilà, on inculque aux belge d'être tranquille dans sa petite vie, tout bien rangé, de laisser les autres assumer les risques. En continuant avec cette mentalité il ne faudra pas s'étonner de se réveiller un jour et d'avoir comme seul emploi, valet de pied d'homme d'affaire étranger détaché a BXL !!!

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Xx.Ibiza-$ound. a dit:

Reynders au bucher!!!

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