Retirer plus de 1000€ non tu peux pas tu dois faire une demande etc...Ok mais alors tu fais pas la file, tu vas à un bancontact ...
Retirer de la monnaie étrangère pareil...
Retirer plus de 1000€ non tu peux pas tu dois faire une demande etc...Ok mais alors tu fais pas la file, tu vas à un bancontact ...
J'suis d'accord hin, mais pour la monnaie étrangère, tu peux demander à l'avance et même prendre rdv, pareil pour une grosse somme, maintenant, il est de plus en plus rare de devoir retirer 1k+€ dans une utilisation "légale" (oui moi aussi j'paie mon chauffagiste/plombier au black hin)Retirer plus de 1000€ non tu peux pas tu dois faire une demande etc...
Retirer de la monnaie étrangère pareil...
Et je te retourne l'argument. Au contraire, je fais preuve d'ouverture d'esprit et de dialogue là où tu le ferme avec tes dogmes démagogiques.Entre toi et useless # qui visiblement bossent dans le social et/ou public, et "les autres de ce forum" comme tu/vous semblez aimer vous positionner, c'est pas évident d'avoir un dialogue constructif.
Autant j'apprends à ménager mes propos et à écouter le discours de l'autre, autant toi, tu bosses visiblement dans l'endroit le plus défavorisé de Belgique et t'estimes que c'est la norme à laquelle on se réfère.
Alors je peux comprendre le concept, mais non j'estime que l'être humain est responsable dans notre société belge de son futur et que tous les outils sont mis à sa disposition pour réussir socialement.
Certains auront plus dur que d'autres, mais c'est la vie. Tant pis et tant mieux.
Naître le cul dans le beurre n'est pas forcément un bienfait non plus.
Bref, faut arrêter de voir le monde à travers le prisme des inadaptés sociaux qu'il faut aider et de ce "méchant gouvernement MR/NVA qui veut tuer le peuple". On avancera un peu dans la discussion.
Un dogme absolu incontestable. C'est bien évidemment faux. Pour avoir fait du management, pour avoir eu des observations dans plusieurs milieu, ça tient à plusieurs facteurs, dont la taille de la boîte et la personnalité de l'employé.Sauf que dans le privé, t'as personne qui agit ainsi. Si tu joues à ce jeu de revenir après 30j tu te fais virer gentiment
Alors, le même problème. Généralisation non fondée.Dans le public par contre, ça c'est monnaie courante hin, les profs qui reviennent à la rentrée et repartent fissa ...
à partir du moment où tu n'apprends pas à ménager tes propos et à faire preuve d'un discours constructif.c'est pas évident d'avoir un dialogue constructif.
un endroit favorisétu bosses visiblement dans
Tant mieux pour toi. Néanmoins, ce n'est pas la norme, dsl.de Belgique et t'estimes que c'est la norme à laquelle on se réfère.
Il n'y a pas de suite logique apparente avec l'argument cité et ce qui est dit avant ... mais on fait avec.Alors je peux comprendre le concept, mais non j'estime que l'être humain est responsable dans notre société belge de son futur et que tous les outils sont mis à sa disposition pour réussir socialement.
Certains auront plus dur que d'autres, mais c'est la vie. Tant pis et tant mieux.
Naître le cul dans le beurre n'est pas forcément un bienfait non plus.
Effectivement, je t'invite à mettre en oeuvre ton programme d'adaptation sociale, redescendre un peu de ton doux nuage.Bref, faut arrêter de voir le monde à travers le prisme des inadaptés sociaux
Voilà, maintenant que t'as les instruments nécessaire pour faire avancer la discussion en dehors des platitudes démagogiques ressassées, la balle est dans ton camp. Ouvre la discussion, illumine nous de ton savoir.On avancera un peu dans la discussion.
Je pense, si tu me lis sur ce forum, que j'essaie généralement de faire preuve d'ouverture d'esprit et d'acceptation de l'avis/opinion de l'autre.Et je te retourne l'argument. Au contraire, je fais preuve d'ouverture d'esprit et de dialogue là où tu le ferme avec tes dogmes démagogiques.
Pour reprendre, tu t'en prends (surprise ... ) aux fonctionnaires sur base d'une prémices erronée. Je souligne en quoi j'estime qu'elle est erronée et que les mesures prises ne changeront rien ... si on les prend sur cette base.
Ce à quoi, tu réponds :
Un dogme absolu incontestable. C'est bien évidemment faux. Pour avoir fait du management, pour avoir eu des observations dans plusieurs milieu, ça tient à plusieurs facteurs, dont la taille de la boîte et la personnalité de l'employé.
Statistiquement, c'est kif. T'as autant de tire-au-flanc quel que soit le secteur.
(les statistiques maladie, c'est 34% des travailleurs qui prennent au moins un jour l'an, avec une moyenne d'une dizaine (selon les pays, les années) de jours par personne, des congés plus long dans le privé, des congés plus courts mais plus fréquents dans le public)
Ensuite, même si mon exemple reprenait un cas extrême plutôt théorique, tu ne te fais pas virer gentiment. Le licenciement doit respecter un cadre légal sans quoi tu t'exposes à des conflits judiciaires (et/ou syndicaux, etc.).
Pas pour rien que l'absentéisme au boulot est un problème social tant dans le privé que dans le public.
Alors, le même problème. Généralisation non fondée.
Le public (le grand ennemi juré), c'est monnaie courante. Bin non. Encore une fois, statistiquement, c'est kif.
Ensuite, les profs. Là c'est plus compliqué. Ce ne sont pas des fonctionnaires. Plus de 80% d'entre eux ne sont pas employés par l'État. Ils relèvent de pouvoirs organisateurs variés, où le privé / semi-privé possède une belle part du gâteau.
Et je ne parle que de l'enseignement reconnu en Belgique, je ne prends même pas toutes les écoles privées.
Par contre, ce que l'amalgame oublie ... c'est que oui, ces pouvoirs organisateurs reçoivent des subventions pour employer ces profs, et qu'afin d'assurer une certains égalité ... on a soumis la profession à une certaine régularisation.
Et enfin, la méconnaissance profonde du fonctionnement de l'enseignement. Pour simplifier une longue explication, les profs de l'enseignement obligatoire sont engagés pour 10 mois, payés sur 12. Donc, effectivement, tu ne peux pas être malade en juillet / août ... vu que tu n'es pas engagé. Il est normal que pour une maladie de longue durée ... tu doives te remettre en maladie à la rentrée ... si on te redonne ton job (ce qui, dans bcp de cas, est une obligation légale).
Je fais abstraction des problèmes administratifs qui peuvent causer des situations parfois assez absurdes.
Après, c'est comme au-dessus, statistiquement, c'est kif, c'est le même nombre de profiteurs. On peut aussi factoriser les maladies relatives au métier (les profs sont-ils plus susceptible de contracter des maladies de longue durée?) dans la perception du phénomène.
Donc,
à partir du moment où tu n'apprends pas à ménager tes propos et à faire preuve d'un discours constructif.
un endroit favoriséTant mieux pour toi. Néanmoins, ce n'est pas la norme, dsl.
Ps : pour la petite attaque personnelle, non, je suis aussi relativement bien favorisé, je fais juste preuve d'ouverture d'esprit. Je ne filtre pas tout via mon prisme actuel, ayant vécu d'autres expériences.
Il n'y a pas de suite logique apparente avec l'argument cité et ce qui est dit avant ... mais on fait avec.
Philosophiquement ... oui. Mais d'un point de vue pragmatique ... non, on ne nait pas tous égaux.
L'homme s'est depuis toujours mis en communauté pour assurer sa survie et sa sécurité. Cette vue "individualiste" généralisée est assez neuve, peu dans la nature de l'homme, même si des exceptions existent.
C'est novateur, on va dire ça. La société actuelle n'est pas (encore?) le reflet de cette pensée nouvelle. Doit-elle le devenir?
Effectivement, je t'invite à mettre en oeuvre ton programme d'adaptation sociale, redescendre un peu de ton doux nuage.
Voilà, maintenant que t'as les instruments nécessaire pour faire avancer la discussion en dehors des platitudes démagogiques ressassées, la balle est dans ton camp. Ouvre la discussion, illumine nous de ton savoir.
Grosse erreur de ta part à ce niveau, l'enseignement je connais et plutôt très bien. Entre ma mère dans l'enseignement depuis toujours, et donc qq retours à ce niveau que ce soit via elle-même ou ses amies, la moitié de ma famille dans le milieu, ça va je pense avoir qq retours "réels du terrain".Et enfin, la méconnaissance profonde du fonctionnement de l'enseignement. Pour simplifier une longue explication, les profs de l'enseignement obligatoire sont engagés pour 10 mois, payés sur 12. Donc, effectivement, tu ne peux pas être malade en juillet / août ... vu que tu n'es pas engagé. Il est normal que pour une maladie de longue durée ... tu doives te remettre en maladie à la rentrée ... si on te redonne ton job (ce qui, dans bcp de cas, est une obligation légale).
Je fais abstraction des problèmes administratifs qui peuvent causer des situations parfois assez absurdes.
Après, c'est comme au-dessus, statistiquement, c'est kif, c'est le même nombre de profiteurs. On peut aussi factoriser les maladies relatives au métier (les profs sont-ils plus susceptible de contracter des maladies de longue durée?) dans la perception du phénomène.
Je pense imo que beaucoup de tâches ne peuvent pas être prisent en charge par le privé, tout simplement parce qu'il faut que cela reste accessible à tous. Que ce soit les transports, les soins de santé, la recherche d'emploi, l'enseignement, etc. Et le maintien de ses acquis, et ses conditions de travail, et autres, est un combat, qui, il faut l'avouer, est plus facilement mis à mal avec une coalition de droite, qui va justement vouloir aller vers une diminution du service publique. Et donc des services fonctionnant à deux vitesses. Quand j'entends certains discours, je me dis que ces personnes ne se sont jamais retrouvées dans une situation où justement la solidarité de notre système est un garant du bien être de chacun.Je pense, si tu me lis sur ce forum, que j'essaie généralement de faire preuve d'ouverture d'esprit et d'acceptation de l'avis/opinion de l'autre.
Si je me fourvoie dans cet exercice, j'essaie d'y remédier. Mais il est vrai que je peux avoir tendance lorsque je vois un discours caricatural de répondre dans la caricature inverse.
Je ne suis pas Atlantiste, et quand je vois tes propos t'as l'air de croire que je pense pareil.
Grosse erreur de ta part à ce niveau, l'enseignement je connais et plutôt très bien. Entre ma mère dans l'enseignement depuis toujours, et donc qq retours à ce niveau que ce soit via elle-même ou ses amies, la moitié de ma famille dans le milieu, ça va je pense avoir qq retours "réels du terrain".
Tu sembles défendre l'idée que l'Etat est là pour "prendre soin" de l'individu et du peuple.
Je ne partage pas tout à fait cette vision où je considère que l'Etat est là pour réguler et gérer. Evidemment que s'il veut se faire élire, il vaut mieux prendre soin du peuple, et si possible rendre tout le monde heureux, mais ce n'est pas sa mission première.
Comme j'estime qu'il n'est pas de sa mission première de donner un travail ou de garder des personnes "inutiles".
Hors, l'état d'esprit d'un travailleur du public n'est pas du tout la même que celle d'un travailleur du privé.
Et cette différence d'état d'esprit amène ces discordances entre les discours.
De la même manière qu'une personne qui aura bossé toute sa vie dans une société privé en ayant considéré pour acquis toute une série de privilège, verra comme un véritable scandale que l'on veuille supprimer ceux-ci pour X raisons valables.
Exemple concret: une société qui avait pour habitude de mettre les soda de marque (coca, fanta, ...) gratuitement à disposition du personnel pdt des années, a voulu arrêter cela pour des raisons de promotion de la santé et ça a fait scandale. Alors que le fait qu'un employeur propose des boissons sucrées gratuites, c'est assez rare dans d'autres sociétés, eux considéraient cela comme un acquis. Au lieu d'être reconnaissant de ce "privilège", ils trouvaient cela normal.
N'importe qui de sain d'esprit trouvera cela étrange comme réaction.
Maintenant, tu transposes ça aux quelques revendications de grève faites récemment et tu comprendras l'état d'esprit ...
L'aspect qui ne permet pas de privatiser est principalement la rentabilité. Le publique n'a pas besoin de rechercher la rentabilité mais "juste" l'équilibre.Je pense imo que beaucoup de tâches ne peuvent pas être prisent en charge par le privé, tout simplement parce qu'il faut que cela reste accessible à tous. Que ce soit les transports, les soins de santé, la recherche d'emploi, l'enseignement, etc. Et le maintien de ses acquis, et ses conditions de travail, et autres, est un combat, qui, il faut l'avouer, est plus facilement mis à mal avec une coalition de droite, qui va justement vouloir aller vers une diminution du service publique. Et donc des services fonctionnant à deux vitesses. Quand j'entends certains discours, je me dis que ces personnes ne se sont jamais retrouvées dans une situation où justement la solidarité de notre système est un garant du bien être de chacun.
ÉvidemmentL'aspect qui ne permet pas de privatiser est principalement la rentabilité. Le publique n'a pas besoin de rechercher la rentabilité mais "juste" l'équilibre.
Transports, ok. Soins de santé, ok. Recherche de l'emploi, ok. Enseignement, ok. Sur le "etc" on risque d'être moins d'accord.Je pense imo que beaucoup de tâches ne peuvent pas être prisent en charge par le privé, tout simplement parce qu'il faut que cela reste accessible à tous. Que ce soit les transports, les soins de santé, la recherche d'emploi, l'enseignement, etc. Et le maintien de ses acquis, et ses conditions de travail, et autres, est un combat, qui, il faut l'avouer, est plus facilement mis à mal avec une coalition de droite, qui va justement vouloir aller vers une diminution du service publique. Et donc des services fonctionnant à deux vitesses. Quand j'entends certains discours, je me dis que ces personnes ne se sont jamais retrouvées dans une situation où justement la solidarité de notre système est un garant du bien être de chacun.
Sauf que la SNCB par exemple est loiiiiiiiiiiiiiiiin d'être à l'équilibre. (je parle d'un secteur d'activité que je connais) Du coup, on fait quoi pour y revenir ?Évidemment
Sauf que la SNCB par exemple est loiiiiiiiiiiiiiiiin d'être à l'équilibre. (je parle d'un secteur d'activité que je connais) Du coup, on fait quoi pour y revenir ?
La solidarité, oui, mais il faut être reconnaissant de celle-ci, dire "merci" et essayer de se sortir de la précarité dans laquelle on peut être et non considérée celle-ci comme un dû. Mais cela n'est pas le sujet.
Ba on accepte qu'un service publique comme la sncb ne le sera jamais. D'ailleurs il n'y a qu'à voir le fiasco du transport ferroviaire en angleterre ou en allemagne. Ce genre de service doit rester publique. Il est déficitaire, comme la plupart des services publiques.Sauf que la SNCB par exemple est loiiiiiiiiiiiiiiiin d'être à l'équilibre. (je parle d'un secteur d'activité que je connais) Du coup, on fait quoi pour y revenir ?
Le but est d'être en équilibre. Je n'ai pas dit que le service publique en avait besoin.Sauf que contrairement à ce qui est dit un service publique n'a pas nécessairement besoin d'être en équilibre non plus. C'est un choix de société...
Et du coup, le pognon il vient d'où ?Sauf que contrairement à ce qui est dit un service publique n'a pas nécessairement besoin d'être en équilibre non plus. C'est un choix de société...
Et du coup, le pognon il vient d'où ?
Je comprends pas trop ton raisonnement.De la collectivité. Comme je te dis, c'est un choix de société.
Je ne prends pas les transports en commun, jamais. Pourtant je suis pour ce système.
+1, et tu ne peux qu'être pour, il est plus que probable que sans lui, une part de ta clientèle ne pourrait arriver à tes shops sans son aide.De la collectivité. Comme je te dis, c'est un choix de société.
Je ne prends pas les transports en commun, jamais. Pourtant je suis pour ce système.
Cf plus haut, les transports en commun, c'est octroyer un droit de mobilité à tous.Je comprends pas trop ton raisonnement.
L'enseignement ne génère aucun revenu direct, c'est un coût pr la société et il est normal qu'il soit payé par celles-ci. C'est donc subventionné par l'État et donc les impôts.
Les transports publics génèrent des revenus direct et donc pr toi c'est normal que ces revenus ne suffisent pas à faire tourner la société ?
Qu'il y ait potentiellement une injection régulière de l'État dans ce service à la limite mais pas que ce soit un gouffre financier ...
Y a ne pas être à l'équilibre et être une catastrophe économique.