horny
Elite
!= to assumeVous assumez
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Pas possible d’en discuter avec toi, on sent que c’est émotionnel et non rationnel.Parce que y a une généralité qui s'est faite, en mettant les universitaires sur un piédestal hors que, comme dans tous les autres groupes démographiques, ça sert a rien de tous les mettre dans le même panier et de partir du principe qu'ils apprennent mieux ou sont plus évolutifs que d'autres personnes.
Dans ma carrière j'ai vu des gars qui n'avaient pas de CESS avoir un code beaucoup plus propre, beaucoup plus efficace, mieux structuré et mieux documenté que beaucoup de gars universitaires. J'ai eu à travailler avec des universitaires cons comme pas possible avec aucune logique et aucun soft skill.
Ma femme (universitaire), qui travaille dans le recrutement, se bat tous les jours pour essayer d'enlever les "master requis" etc... car tous les jours elle voit des gens qui n'ont aucun soft skill, qui sont imbus d'eux-mêmes, absolument pas adaptés à la fonction, sans aucune remise en question. Mais qui sont pris pour le boulot car la boite veut "masters only" et que c'est le seul type avec master, même s'il est classé Xème sur la liste de recrutement.
Dire que soit y a des types qui n'ont rien fait, soit des universitaires, c'est juste... wow.
Vous assumez peut-être que je n'ai que ma formation d'IA derrière moi, mais ce n'est pas le cas, c'est une réorientation professionnelle, j'ai déjà 7 ans de carrière derrière moi mais dans un tout autre secteur, d'autres études dans un tout autre domaine, j'ai des softs skills qu'aucune unif ne m'aurait appris. Et quand je jette un coup d'oeil sur mon parcours. Les moments pendants lesquels j'ai le moins appris sont mes études.
Encore une fois je suis entièrement d’accord avec toi. Mais j’aime pas les généralités, je pense que sur le marché de l’emploi on a des profils bcp plus diverses que unif/reste, c’est tout.Pas possible d’en discuter avec toi, on sent que c’est émotionnel et non rationnel.
Si je dois embaucher un junior, je privilégierais tjs un mec qui a fait des études sérieuses plutôt que des mecs qui ont fait 5 premières années et rien achevés ou achevés des études faciles (coucou les commus).. je sais qu’il a une capacité d’apprentissage, d’assiduité et de vivre ensemble avec ses futurs collègues. Mais oui des génies existent hors université mais ceux là ils postulent pas pour des postes junior, ils montent leur boite...
"Vilement" ?
C'est pas tant sa formation c'est le fait que les personnes qui engagent souvent n'y connaissent pas grand chose et on se retrouve à bosser avec des "Experts" qui n'ont rien à foutre là. Quel que soit le domaine.
Là où je te rejoins c'est dans l'utilité de ces formations comme complémentaires à une formation de base que ce soit un Bachelor ou un Master.
Si on ne veut pas voir notre travail continuer à être envoyé en Inde pcq ils sont moins chers, il faut ici démontrer une compétence et une plus-value sur le terrain.
Et finalement c'est ça mon problème avec ces formations courtes, cela dévalorise mon métier.
Tout comme recruteur, aujourd'hui n'importe qui peut l'être alors qu'il faudrait pr moi une formation minimale en psycho du travail.
Et je peux te citer comme ça une série de métier.
T'imagine le gars qui devient pharmacien, infirmier, laborantin avec une formation intensive de 6 mois ?
Perso si c'était à refaire, je ferais un master après mon bachelor. Ou un Master tt court dès le début, pcq je réalise aujourd'hui que même si j'ai pû être plus rapidement up& running sur le marché du travail, j'ai des manquements en mathématiques pr comprendre certains principes d'IA, mais oui je m'intéresse à plus que "comment faire" cad mettre des data dans les tools qui ont été faits par d'autres, mais à comprendre les principes derrières.
Juste pour rebondir (oui ça date mais je ne pouvais pas laisser ça comme ça). J'ai grandi dans une famille d'universitaire où l'échec a toujours été assimilé à une fatalité et la valeur d'une personne à son niveau d'étude. J'ai d'ailleurs entrepris un master en "études faciles" (puisque tu as décrété qu'il y avait des domaines faciles et difficiles ; alors qu'en soit comparer des études d'informatique avec des études de communication est dénué de sens, ces secteurs faisant appel à des aptitudes, qualités et savoirs totalement différents). Pour des raisons de santé et parce que je n'ai pas su prendre le train en marche (sortant d'un bachelier en publicité dispensant d'une pédagogie très pratique et ne disposant pas d'un cerveau universitaire), j'ai abandonné en cours de route. Au delà des arguments cités (je répète, je reconnais mes limites et mes lacunes), j'y suis allé avec une pression colossale sur les épaules parce que des gens comme mes parents et comme toi estiment que les universitaires ont plus de valeurs que les bachelor où les autodidactes.Pas possible d’en discuter avec toi, on sent que c’est émotionnel et non rationnel.
Si je dois embaucher un junior, je privilégierais tjs un mec qui a fait des études sérieuses plutôt que des mecs qui ont fait 5 premières années et rien achevés ou achevés des études faciles (coucou les commus).. je sais qu’il a une capacité d’apprentissage, d’assiduité et de vivre ensemble avec ses futurs collègues. Mais oui des génies existent hors université mais ceux là ils postulent pas pour des postes junior, ils montent leur boite...
Je connais des ingénieurs très con.la valeur d'une personne à son niveau d'étude
Eh beh j'avais pas vu ce topic, mais t'as bien rabattu le caquet à l'autre. Une époque où il n'y avait pas uniquement que des bots sur GamerZJuste pour rebondir (oui ça date mais je ne pouvais pas laisser ça comme ça). J'ai grandi dans une famille d'universitaire où l'échec a toujours été assimilé à une fatalité et la valeur d'une personne à son niveau d'étude. J'ai d'ailleurs entrepris un master en "études faciles" (puisque tu as décrété qu'il y avait des domaines faciles et difficiles ; alors qu'en soit comparer des études d'informatique avec des études de communication est dénué de sens, ces secteurs faisant appel à des aptitudes, qualités et savoirs totalement différents). Pour des raisons de santé et parce que je n'ai pas su prendre le train en marche (sortant d'un bachelier en publicité dispensant d'une pédagogie très pratique et ne disposant pas d'un cerveau universitaire), j'ai abandonné en cours de route. Au delà des arguments cités (je répète, je reconnais mes limites et mes lacunes), j'y suis allé avec une pression colossale sur les épaules parce que des gens comme mes parents et comme toi estiment que les universitaires ont plus de valeurs que les bachelor où les autodidactes.
J'ai fait une dépression de 6 mois et il m'a fallu 10 ans pour me reconstruire une self-estime (toujours en construction) et jamais je ne pourrai admirer la fierté dans les yeux de mes parents. Il y aura toujours de l'amertume et des regrets qui auraient pu ne pas faire partie intégrande de mon quotidien si ils m'avaient davantage valorisé et m'avaient inculqué d'autres valeurs, comme le respect de la dignité humaine et l'égalité de tous les êtres humains. Les rapports que j'entretiens avec mes parents sont très superficiels car j'ai fait le choix de m'éloigner des personnes qui me renvoient une image négative de moi.
Sache que ton opinion est destructrice pour les personnes susceptibles de te lire. Quoi qu'il en soit, tu es libre de penser ce que tu veux.
Si je peux te donner un conseil, si tu as des enfants (ou que c'est dans tes projets), je te conseille vivement d'éviter de leur véhiculer l'idée qu'il n'ont de la valeur que s'ils entreprennent de grandes études. Non pas qu'il faille les décourager d'emprunter ce chemin (encore une fois, j'ai beaucoup de regrets et suis convaincu que j'aurais eu une vie différente si j'avais pu y prétendre) mais simplement parce qu'ils risqueraient, inconsciemment, d'associer la notion de bonheur et de réussite. Or le bonheur est accessible de bien des manières si l'on prend la peine d'écouter sa propre voix intérieure et qu'on cesse de se laisser influencer par des discours discriminants.
@THiBOo y a déjà répondu :Bonjour,
Je relance ce post pour savoir si certaines personnes ont essayé le programme de cybersécurité de Becode. Est-ce que ce programme offre réellement des débouchés ?
Je vais tenter une reconversion dans l'informatique et, bien que je ne possède aucun diplôme, j'ai une grande motivation pour ce type de formation.
Je précise que je ne suis pas novice en informatique, mais il faut bien commencer quelque part.
Ca dépend de ton parcours. Ca vaut moins qu'un diplôme, que ce soit à temps plein ou en cours du soir.Y a moyen d'arrêter de recommander ces formations rapides qui pondent du dev niveau indien?