une enquête de 200 pages -
http://reopen911.online.fr/Le_Grand_Bluff.pdf- vous pourrez y trouver des expications sur l'auteur Sacha Sher
j'ai parcouru en diagonale une partie de ce qu'il a écrit, je vous donne une idée de ce qui vous y trouverez en copiant la conclusion, bonne lecture
CONCLUSION
Il ne fait aucun doute qu’il y a, dans l’affaire du 11-septembre, volonté
de camoufler des choses à l’opinion états-unienne et à la communauté
internationale. Le gouvernement a montré très tôt qu’il n’avait que faire de
dévoiler la vérité et a infailliblement bloqué les enquêtes pour des raisons
politiques ou financières et consacré tous ses efforts à assouvir ses
ambitions mercantiles en exacerbant les désirs de vengeance de ses
concitoyens et de ses petits soldats. Les pièces manquantes au puzzle du 11-
septembre et les tentatives délibérées du pouvoir en place ou de certains
fonctionnaires de l’administration aérienne (F.A.A.) d’éliminer des preuves
matérielles cruciales pour mieux faire régner l’opacité, sont trop
nombreuses pour être le fruit du hasard. Comment expliquer par ailleurs que
personne n’a été renvoyé ? Tout le monde a-t-il été affreusement
incompétent, et tout le monde protège-t-il tout le monde ? Cela paraît court
car seul un certain degré de complicité encore non élucidé permet de
comprendre comment des équipes terroristes – si elles ont joué le moindre
rôle – ont pu pénétrer dans des cockpits sans que les membres de l’équipage
ou les pilotes n’aient eu ni les moyens de se défendre, ni le temps
d’actionner le moindre signal de détresse. Les pirates n’ayant pas pu
paralyser à eux seuls les systèmes de défense, une trahison haut placée est la
meilleurs explication au fait que trois avions ont pu parfaitement atteindre
leur cible sans avoir été ni interceptés ni abattus selon les procédures en
vigueur. A moins que ces avions n’étaient pas ceux dont on nous a parlé,
que leurs trajectoires si incongrues n’étaient pas celles qu’on nous a
dessinées, et qu’il s’agissait d’autres avions venus d’on ne sait où. Nous
savons grâce aux données d’archives du B.T.S. et de la F.A.A. qu’il n’est
pas sûr que les avions désignés dans le scénario officiel aient été détruits le
jour même et que certains d’entre eux aient décollé avec des passagers. Il est
par ailleurs des phénomènes radar, des déclarations de contrôleurs, et des
dépêches de presse qui incitent à croire qu’ils ont été dirigés vers le sol
avant d’atteindre leurs cibles prétendues. Il semble donc plutôt que
l’opération a été organisée de manière à ce que nul ne puisse être capable de
l’empêcher, grâce, notamment, à des substitutions d’avions à la manière du
projet de l’opération Northwoods, et/ou grâce à des leurres envoyés dans le
ciel et sur des écrans radars dans le cadre de simulations ou d’exercices
militaires (wargames). Dans ce cadre, renvoyer des gens les aurait fait
parler. Les révoqués auraient relevé les traces d’une possible transformation
ou substitution d’avions ou souligné la diversion qu’avait constituée tel ou
tel exercice.
Le débat entamé sur ce qui a endommagé le Pentagone a certes permis
de réveiller l’opinion mais a fini par s’embourber à cause du manque
d’informations délivrées par les autorités, du caractère délibérément tordu
de l’attaque ou de pistes douteuses probablement lancées par le pouvoir
états-unien lui-même. La discussion sur les mystères du Pentagone a permis
de surmonter plusieurs difficultés en supposant que l’opération avait été
menée de manière à piéger les sceptiques, par exemple en faisant exploser
les ailes et l’aileron arrière de l’avion juste avant le choc. Ce débat ne
parvient donc pas, selon nous, à éliminer la possibilité qu’un avion de ligne
ait frappé le Pentagone, la question étant de savoir lequel (Boeing 737, 747,
767 ou 757), même s’il n’était sans doute pas piloté par le supposé Hani
Hanjour – incapable de conduire un avion biplace en août 2001 selon son
instructeur, et donc d’effectuer, au-dessus de Washington, cette descente
parfaite (smooth 495) en un virage de 330° 496 , puis de faire faufiler un
Boeing à basse altitude entre des bâtiments et des antennes avant d’atteindre
la partie du Pentagone qui était la moins peuplée du complexe. Quoi qu’il en
soit, il serait dommageable que l’attention du public soit détournée d’autres
failles abyssales d’un scénario officiel de plus en plus incroyable, que nous
souhaitons énumérer rapidement ici :
– le fait qu’aucun pilote n’ait eu le temps de donner l’alerte au sujet d’un
détournement, par appel radio ou en activant un code sur le transpondeur.
– l’absence précise de données fournies par deux boîtes noires. Le fait que
les autres boîtes auraient disparu ou auraient fondu, chose incroyable qui
commence à être contestée par deux secouristes, Mike Bellone et
Nicholas DeMasi.
– la destruction méticuleuse, opérée par Kevin Delaney, des
enregistrements de conversations entre les tours de contrôle et les pilotes
ou kamikazes supposés.
– la disparition des images filmées autour du Pentagone par les caméras de
l’hôtel Sheraton, du Virginia Department of Transportation, et de la
station essence CITGO de Jose Velasquez, emportées par le FBI, dans ce
dernier cas, « dans les minutes qui ont suivi 497» le crash de 9h38.
– l’inefficacité des batteries de missile qui défendent le Pentagone et de
celles qui défendent la Maison Blanche.
– l’absence simultanée, à leur poste, de MM. Rumsfeld, Eberhart, Winfield
et Myers.
– le retard de l’évacuation générale de la Maison Blanche (9h45), du
Capitole (9h47), du département d’Etat ou du Pentagone, alors même que
le vice président Dick Cheney et la conseillère pour la Sécurité Nationale
Condoleezza Rice auraient été conduits en lieux sûrs au sous-sol de la
Maison Blanche à 9h03, heure du second crash à New York, et alors que
l’Administration Fédérale de l’Aviation (F.A.A.) avait prévenu de
l’approche d’un avion à 9h24 498.
– l’échec pitoyable des forces de défense aériennes pour intercepter des
avions qui se seraient écartés de leur trajectoire vingt à quarante minutes
avant leur crash supposé. La dernière excuse avancée pour en rendre
compte étant que les premiers avions de chasse furent envoyés de bases
éloignées au lieu de bases plus proches comme McGuire, Pomona et
Andrews, mais même cette excuse semble supposer des vitesses de vol
incroyablement lentes.
– les descriptions de plus en plus curieuses de l’incompétence des
contrôleurs aériens.
– la trajectoire fort étrange des avions. Le fait que les vols 93 et 175
descendirent près de l’aéroport Stewart International 499. Le fait que l’UA
93 s’était approché de Cleveland et y aurait même atterri selon WCPO.
– le fait que le seul avion qui ne menaçait personne dans l’immédiat, le vol
UA 93, et aurait pu être repris par les passagers, avec les pirates capturés,
a été vraisemblablement abattu par un jet blanc.
– les doutes sur l’identité réelle des pirates, par ailleurs souvent surveillés
sous leurs probables noms d’emprunt et formés dans des centres de l’US
Air Force et des écoles d’aviation liées à la CIA.
– les doutes sur l’identité réelle de certains passagers.
– l’incongruité de maints récits de passagers.
– l’impossibilité matérielle que tant d’appels téléphoniques aient pu être
donnés depuis les avions à la hauteur où ils sont supposés avoir volé et
durant la durée qui est rapportée (à moins que les avions aient atterri
avant leurs crashs supposés).
– la coïncidence exceptionnelle contenue dans les archives en ligne dites
Airline On-Time Statistics Searchable Database du Bureau of
Transportation (B.T.S.) voulant que deux des avions du scénario officiel,
les vols AA 11 et AA 77, n’étaient pas programmés au départ ce jour-là.
Le fait que cette information n’apparaisse plus sur cette base depuis
septembre/octobre 2004, mais qu’il reste néanmoins indiqué qu’ils n’ont
pas réellement décollé, aucune heure de décollage n’y étant inscrite. Ces
avions ont-ils donc décollé sans passagers, peut-être dans le cadre d’un
exercice militaire ?
– le fait que ces deux avions n’ont été déclarés détruits à l’administration
aérienne (F.A.A.) qu’en janvier 2002, ce qui est en contradiction avec les
procédures habituelles. Ont-ils été détruits après le 11 septembre ? La
compagnie American Airlines a-t-elle fait une fausse déclaration à la
F.A.A. ?
– l’impossibilité de retrouver dans les statistiques archivées du
http://bts.gov, un précédent vol du Boeing supposé s’être écrasé au
Pentagone, et dont le numéro d’enregistrement aurait été N644AA (selon
http://www.N.T.S.B..gov,
http://airdisaster.com, ou
www.airliners.net/search/
photo.search?regsearch=N644AA&distinc_entry). Du reste, aucun avion
n’est arrivé à l’aéroport de Washington Dulles avec ce numéro
d’enregistrement les jours précédant le 11 septembre, alors qu’il est
possible de retracer l’arrivée des trois autres avions dits impliqués, à
l’aéroport d’où ils seraient partis le 11 septembre (Boston et Newark).
– la validité actuelle des numéros d’enregistrement (registration number,
tail number ou N number) ayant appartenu à deux des avions
prétendument détruits (faire une recherche sur le site de la F.A.A.
aircraft registry inquiry avec les N numbers 591UA pour UA 93, et
612UA pour UA 175).
– l’absence de rapport du National Transportation Safety Board (N.T.S.B.)
au sujet des quatre crash, alors qu’il existe un rapport de trente-cinq
pages de cet organisme réputé sérieux sur un accident de jet survenu en
octobre 1999 avec à son bord une demi-douzaine de passagers dont le
golfeur Payne Stewart 500 . Pour expliquer la chose, de manière
étonnamment lapidaire, le site
http://N.T.S.B..gov n’invoque pas
l’absence de boîtes noires – puisqu’il est au moins resté l’enregistreur de
voix du cockpit du vol UA 93, comme lors du crash avec Payne Stewart
– mais le fait que le FBI enquête encore. En fait, des avocats ont
découvert que le FBI, le Département « de la Justice » et même le
Congrès empêchent le N.T.S.B. d’examiner les données des boîtes,malgré les souhaits des familles 501 . Cela atteint des proportions
politiques étonnantes…
– l’étrangeté des récits conventionnels qui tentaient de voir un accident
dans l’effondrement de la tour n°7 du World Trade Center, près de sept
heures après l’effondrement des deux premières tours. La déclaration
d’un des propriétaires du complexe entier du WTC, Larry Silverstein,
prononçant le mot pull, peu médiatisée, semble toutefois être une
reconnaissance discrète de la démolition contrôlée de cette tour.
– les nombreux mystères sur ce qui a provoqué l’effondrement des tours
jumelles, et l’absence de plans détaillés de ces tours.
– l’absence d’explications claires aux explosions secondaires qui se sont
produites à New York et au Pentagone, dont certaines furent enregistrées
par des relevés sismiques.
– l’évacuation des débris en acier des tours vers des pays lointains avant
qu’une enquête véritable n’ait pu être menée, et la mise au secret des
débris de ce qui a frappé le Pentagone. N’est-ce pas précisément ce à
quoi l’on s’attendrait de la part d’autorités qui auraient l’intention de
dissimuler la trace de l’utilisation d’explosifs à New York et de faire
obstacle à l’identification possible des engins impliqués dans les
attaques ?