[BE] Actualité politique 2024

Dieu Bisounours

Créateur de Dieu
Il y a quand même une différence entre payer d'un point de vue justice et payer d'un point de vue politique. Tu ne peux pas te présenter comme le porte drapeau de l'égalité et l'inclusivite et tenir ce genre de propos, alcoolisé ou non.

C'est comme si Bouchez, alcoolisé, lançait qu'il faut taxer les riches car ce sont tous des profiteurs, sa carriere serait juste terminée.
Ce sont ses électeurs qui décideront non ? Je ne vois pas le souci. Il se présente (dans une place non éligible normalement), si ses électeurs veulent lui faire payer, ça sera fait. Si les électeurs lui octroient une seconde chance, tant mieux.

On n'est pas face à un gars qui revient en tant que Ministre ou Président de parti sans passer par la case election. S'il est élu, sa position sera légitime et cet évènement détestable, sans être excusé, sera "oublié".
 
La dessus je suis d’accord, c’est juste pour dire que le pt de vue sur les propos racistes ne sont pas perçu de la même manière au nord qu’au sud et donc un rapprochement avec des personnes aux propos tendancieux mais restant dans la légalité pourrait se faire
 

PoMi

Pas un bisounours
Ce sont ses électeurs qui décideront non ? Je ne vois pas le souci. Il se présente (dans une place non éligible normalement), si ses électeurs veulent lui faire payer, ça sera fait. Si les électeurs lui octroient une seconde chance, tant mieux.

On n'est pas face à un gars qui revient en tant que Ministre ou Président de parti sans passer par la case election. S'il est élu, sa position sera légitime et cet évènement détestable, sans être excusé, sera "oublié".
On est d'accords que ce sont les électeurs qui décideront.
 

raspberry

3,14159265358979
C'est comme si Bouchez, alcoolisé, lançait qu'il faut taxer les riches car ce sont tous des profiteurs, sa carriere serait juste terminée.
Il n'y avait pas eu une polémique à la côte avec un « sale flamand » ? :D
 

raspberry

3,14159265358979
Sa femme (qui fait aussi de la politique à Mons il me semble)
Pour Michel il semblerait ?
Avec un mandat ISPPC pour les petites dépenses :D

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Dernière édition:

Pizdec

Pizdec Man a la rescousse
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Dieu Bisounours

Créateur de Dieu
D'ailleurs sur la vidéo on voit bien que c'est le député LFI qui se fait insulter en 1er alors qu'il est en pleine interview. Dans tous les cas c'est pathétique. Y a une odeur d'années 30 qui se profile :burp:
Ça avait commencé dans l'hémicycle. Il faudrait voir l'origine pour imputer la faute mais parler de génocidaire de cette manière parce qu'il est juif, on est à la limite ,!

On retiendra que LFI n'avait pas amené un drapeau pour l'Ukraine. Quand c'est la Russie, c'est moins grave.
 

Kit Cat

Elite
Ça avait commencé dans l'hémicycle. Il faudrait voir l'origine pour imputer la faute mais parler de génocidaire de cette manière parce qu'il est juif, on est à la limite ,!

On retiendra que LFI n'avait pas amené un drapeau pour l'Ukraine. Quand c'est la Russie, c'est moins grave.
Meyer Habib est le porte parole de Netanyahu en France c'est pas un député lambda. Depuis le début de la guerre il est spécialiste des dérapages. Le député LFI en interview n'est pas le même que celui qui a brandi un drapeau Palestinien.

Je le redis tout ce cirque est pathétique et ça va certainement très mal finir
 

Dieu Bisounours

Créateur de Dieu
Meyer Habib est le porte parole de Netanyahu en France c'est pas un député lambda. Depuis le début de la guerre il est spécialiste des dérapages. Le député LFI en interview n'est pas le même que celui qui a brandi un drapeau Palestinien.

Je le redis tout ce cirque est pathétique et ça va certainement très mal finir
1. Habib a toujours eu une position pro-israélien, je ne dis pas le contraire (il est d'ailleurs député des étrangers comprenant Israël). Comme LFI a toujours eu une position pro-palestinienne. Tu le définis comme un porte-parole d'Israël, je dirai plutôt qu'il est le porte-parole de la position d'une partie des juifs de France. Je ne soutiens pas les prises de position de Habib (que je trouve à contre courant d'une solution durable) mais en faire un porte parole d'un gouvernement étranger, c'est quand même délicat. Je n'ai pas vu de tels propos à l'égard de LFI au début du conflit entre Russie et Ukraine.
2. Je n'ai pas dit que c'était le même député, j'ai dit que le député à l'interview avait également commencé dans l'hémicycle (comme d'autres de LFI, il n'était pas le seul). Il faudrait donc revoir toute la séquence et non, comme tu le fais, s'arrêter sur l'interview pour définir qui a débuté. Au-delà de ça, traiter quelqu'un de génocidaire, c'est autre chose que quelqu'un qui t'insulte de débile hein. Surtout que tu le traités de génocidaire sur base de son origine (d'ailleurs, ce sont deux députés de LFI qui l'ont traité de génocidaire). Si maintenant on cautionne des propos antisémites, tant mieux. Tous les juifs sont donc des génocidaires et voilà. Bardella (et le RN en général) qui a une position aussi forte que Habib en pro-israélien, on les traite de génocidaires ? Non. Il a donc bien un souci sur l'origine de Habib. Habib a porté plainte, on verra bien.
 
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HAINAUT

La région qui tire la Belgique vers le haut
Du grand Magnette hier face à BDW

lol
 

eyeless

The Gunslinger
Du grand Magnette hier face à BDW (spoiler: non)
J'ai uniquement vu sa réponse à la première question d'un gars du public. Il a fait comme à son habitude: il a déclamé des points de son programme, taclé le MR, la NVA mais n'a pas répondu à la question.
 

k o D

Elite
Du grand Magnette hier face à BDW

lol
Un résumé quelque part?
Enfin j'imagine qu'il vaut mieux que je ne lise pas, ça risque de me rendre de mauvaise humeur.
 

useless #

¯\_(ツ)_/¯

Les programmes des partis à la loupe : faut-il limiter les allocations de chômage dans le temps ?
La mesure figure dans certains programmes. Mais la politique du bâton peut-elle être efficace pour s’attaquer au chômage de longue durée ? Plusieurs éléments et études laissent penser que ce n’est pas le cas. Article réservé aux abonnésLa proposition de limiter les allocations de chômages est portée principalement, côté francophone, par le MR et les Engagés. - Didier Lebrun/Photo News.

Elle poursuit : « Ce raisonnement se basait sur certaines études qui montraient que si le chômeur est bien informé du moment de la dégressivité, cela peut inciter certains à fournir plus d’efforts et à se remettre à l’emploi. Mais la réforme mise en place est d’une complexité inimaginable : le système est tout à fait opaque pour la personne qui y entre, et les évaluations ont montré que cela ne donnait que très peu d’effets sur la remise à l’emploi. »


« Il faut qu’il n’y ait pas d’autres obstacles à l’emploi »
Loin de prétendre que cela ne fonctionne pas, Muriel Dejemeppe pointe plutôt le déséquilibre entre les effets escomptés et les « désagréments » engendrés. « Cela peut inciter des gens à trouver un emploi », admet-elle. « Mais cela va pousser d’autres vers les CPAS, l’assurance maladie-invalidité ou l’économie informelle, avec tous les risques que cela comporte. » Certaines études ont notamment montré que la fragilisation financière des demandeurs d’emploi conduisait notamment à les sortir des processus de formation et d’insertion socioprofessionnelle. « Prenons l’exemple vécu de la fin de droits aux allocations d’insertion après trois années, décidée en 2015 », complète-t-elle. « Les chiffres montrent qu’un tiers des exclus se sont retrouvés à l’emploi, sans indication sur la durée de celui-ci. Un autre tiers a perçu des allocations sociales. Et un dernier tiers est sorti des radars. » Les CPAS ne disposant pas des mêmes moyens que le Forem et Actiris pour travailler à la réinsertion professionnelle, on peut donc en conclure que cette réforme a eu pour conséquence d’éloigner un peu plus de l’emploi au moins deux tiers du public concerné.


Le risque que la mesure ne génère que peu d’effets positifs est d’autant plus grand que le profil des demandeurs d’emploi visés est particulier : il s’agit en général de personnes avec un faible niveau d’études, voire de travailleurs âgés dont le profil est peu attractif pour les entreprises. Des publics dont la remise à l’emploi dépend davantage de leur employabilité que de leur proactivité. « Le chômage de longue durée a des causes multiples. On se focalise ici sur l’incitant financier. Mais pour que cela puisse fonctionner, il faut qu’il n’y ait pas d’autres obstacles à l’emploi », rappelle celle qui est également rédactrice en chef de Regards économiques, la revue de l’Institut de recherches économiques et sociales (Ires).


Or, c’est rarement le cas. Ainsi, les travailleurs âgés intéressent peu les employeurs. Et les femmes seules avec enfants peinent souvent à trouver une crèche. Il faut aussi prendre en considération l’offre de transports en commun, qui risque parfois d’allonger le temps de trajet du domicile au lieu de travail. Enfin, il y a la qualité de l’offre : en Wallonie, 27 % des annonces publiées par le Forem concernent des CDI, pour 82 % en Flandre. « On propose cette limitation sans s’être attaqué aux problèmes structurels du chômage de longue durée », déplore Muriel Dejemeppe. « Se focaliser là-dessus, c’est dangereux car, vu le profil des chômeurs de longue durée, il existe un grand risque que ces personnes aillent vers les CPAS, parce qu’elles ne pourront répondre à cette incitation tant que les autres obstacles à l’emploi n’auront pas été réglés. »

Un accompagnement plus ciblé, plus complet
Face au chômage de longue durée, la stratégie du bâton montre donc ses limites. A l’inverse, un accompagnement plus poussé, prenant en compte ces différents obstacles à l’emploi, obtient des résultats plus intéressants. Par exemple, « Coup de boost », ce partenariat entre le Forem et les syndicats, prend en charge les « Neet » (jeunes qui ne sont ni à l’emploi, ni aux études, ni en formation). Le dispositif aboutit à un taux de placement des jeunes supérieur à 70 %. Et des performances similaires sont constatées pour « Duo for a job », ce dispositif où un travailleur de 50 ans ou plus prend en charge durant six mois, à raison d’un jour par semaine, un jeune âgé entre 18 et 33 ans issu de l’immigration.


L’expérience a débuté en 2013 et, depuis, 6.388 duos ont été constitués. Sept jeunes accompagnés sur dix (77 % à Bruxelles) ont trouvé un contrat, un stage ou une formation, et parmi eux, une majorité de Neet ou de chômeurs de longue durée. « Le succès, c’est le caractère individualisé de l’expérience », explique Julie Bodson, directrice de l’ASBL. « Au lieu de calquer des solutions toutes faites sur un groupe hétérogène, on va chercher le jeune là où il est et on lui apporte un soutien intensif. On va travailler la confiance en soi dans une relation humaine, avec de l’empathie. A partir de là, il peut se remobiliser et développer un projet réaliste, adapté au marché de l’emploi. » En outre, cet accompagnement permet de combler un capital social et culturel qui fait défaut à ce public. « Cela répond aussi à la nécessité d’envisager ces jeunes dans leur globalité », ajoute-t-elle. « Leurs problèmes sociaux, de logement, psychologiques, de dettes… Le mentor va jouer le rôle de fil rouge et accompagner le jeune vers les autres partenaires pour travailler les différents obstacles que ce dernier rencontre, en le dirigeant vers le bon interlocuteur. »

Le risque de punir des gens qui travaillent
« Des études ont montré que ces dispositifs d’accompagnement individualisé peuvent être efficaces, mais qu’ils sont extrêmement coûteux », nuance Muriel Dejemeppe. Difficile dès lors de les généraliser. Pour elle, il convient d’abord de prendre en charge les demandeurs d’emploi qui, grâce aux données dont disposent le Forem et Actiris, sont identifiés comme les plus exposés au chômage de longue durée.


Enfin, un dernier argument plaide en défaveur de la limitation des allocations de chômage dans le temps : l’injustice. En effet, parmi les chômeurs de longue durée, beaucoup travaillent. « Quelqu’un à qui on imposerait une fin de droits après deux ans pourrait très bien avoir terminé un CDD récemment », explique la professeure d’économie. En effet, en Belgique, l’accès aux allocations de chômage est fort restrictif : il faut avoir travaillé 12 mois durant les 18 derniers. Et le calcul de la durée de chômage n’est pas « zéroté » tant que le demandeur d’emploi n’a pas une année de travail derrière lui. « Bref, on pourrait sanctionner des gens qui ont connu de courts épisodes d’emploi mais qui n’ont pas travaillé assez longtemps pour que le compteur de l’indemnisation soit remis à zéro. »
 

useless #

¯\_(ツ)_/¯
Rappelons le, 500k en invalidité, croire qu'il suffit de durcir ou limiter va fonctionner, c'est se mettre le doigts dans l'oeil
 

THiBOo

Elite
Rappelons le, 500k en invalidité, croire qu'il suffit de durcir ou limiter va fonctionner, c'est se mettre le doigts dans l'oeil
Tu as raison il faut d'avantage pousser les malades longues durées à retourner au travail.
Même si le chômage et l'oisiveté est problématique également.

Ou alors alloc universelle et on oublie le reste ;)
 
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