batto
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Au portugal, l'usage de toute substance est dépénalisé et ils n'ont pas eu une explosion massive de la consommation. Les gens accros sont considérés comme des malades et non pas comme des pestiférés et cela joue sur le % de gens volontaire pour aller en cure de sevrage et % de réussite.La question n'est pas là.
D'un coté, tout le monde reconnait que le tabac est un véritable problème de société. Que c'est une véritable saloperie pour la santé et qu'il faut lutter contre. Meilleure exemple, je viens d'entendre à la radio que les parc d'attraction vont interdire le faite de fumer.
De l'autre, on te dit. OK on arrive pas à lutter contre l'usage de la weed, donc on va créer un autre problème de société. Là, où certains pays commencent à ban le tabac, on manque clairement de vision.
Si on suit la même logique, dans quelques années, si on arrive pas à lutter contre la cocaïne ou la math, on se dira " tout le monde se shoot, autorisons la drogue dur". Ça n'a aucun sens.
Ce n'est pas anodin, faire marche arrière sera encore + difficile si un jour on veut faire marche arrière.
On entend pas légaliser, plébisciter, ni faire la promotion de quoi que ce soit, mais de questions sanitaires. Tout comme le fait de refiler des seringues gratuitement. Le message n'est pas défoncez-vous, l'Etat vous subside mais plutôt, quitte à ce que vous le fassiez, faites-le bien et éviter de partager vos seringues et les risques associés.