pyngu
La vodka du diable
Évier <> lavabo
tu parles de lavabo alors
Se laver le cul au pec citron ou au vimÉvier <> lavabo
C'est me brosser les dents à l'évier qui m'a toujours bloquéSe laver le cul au pec citron ou au vim
Quelle mauvaise foi, c'est beauIl y a des contrats qui sont signés et dans ces contrats les clauses de travail et de rémunération. Il peut y avoir des bonus collectifs et/ou individuels. Mais ce n’est pas pcq une boîte génère 100m de benef que j’estime qu’elle doit me rétribuer moi à hauteur non. Les actionnaires (propriétaires) décident de ce qu’ils souhaitent en faire. Et si toi tu estimes que pcq t’es pas assez bien payé, tu es en droit de faire chier ton employeur, je trouve ça particulier. Tout au plus tu fous plus rien et/ou tu te casses.
Ou alors comme @Tekuraman propose tu as un salaire variable.
En vrai, non, car la relation n'est pas la même.Dans ce cas là, l'inverse devrait être vrai. Si la société ne fais pas de bénéfices voir perte, on baisse les salaires.
Un gros doutes que les syndicats soit OK
Oui, ils se font licencier.Quand Total fera des pertes, je me demande si les gens viendront revendiquer une diminution de salaire salvatrice
Donc, tu considères que l'avantage qu'un employeur donne en laissant des parts/actions de l'entreprise est financièrement attractive pour l'employé ?L’actionnariat de Total c’est quasi 15% de particuliers (employés + autres), en sachant qu’aucune institution n’a plus de 6%, ça me fait marrer…
C'est un lavabo.Depuis des années. + rapide, moins de conso, tout aussi efficace. Et douches 2-3 fois semaine
Je comprends le point de vue. Perso je pense que les employés devrait aussi être actionnaires, limite obligatoirement.En vrai, non, car la relation n'est pas la même.
Mais je comprends, également en voyant les réactions qui suivent, que ça vous semble étrange comme façon de voir les choses car ça fait 40 ans qu'on est dans une idéologie politique du "tout au capital (financier)". Ça a probablement fait partie de votre éducation (en vrai, les 60+ on n'en a pas des masses ici), et comme toutes les générations de ces 40 dernières années on trouve ça normal car on nous a dit que la réalité c'est ça. C'est la vérité de la vie et de notre société.
Mais ce n'est pas figé, ce n'est pas "naturel". C'est un choix politique et philosophique. On a choisi de privilégier les détenteurs de capital financier, notamment au détriment du travailleur. On pense que c'est logique d'attribuer la part du lion à l'actionnaire, puisqu'il a pris "les risques" (en vrai, il n'y a quasi plus aucun risques dans ce genre d'entreprises, sinon ils ne se lanceraient pas ; le risque est encore vrai pour le petit indépendant qui se lance, mais après c'est du rendement, ce n'est plus de la prise de risque). D'ailleurs, on le voit bien dans le vocabulaire utilisé et la façon de parler. Le travailleur est une charge sur le rendement des bénéfices des actionnaires, et il est considéré comme tel.
Bref, tout ça pour dire que c'est un rapport de force, une décision politique, et que ce n'est pas l'état naturel des choses. C'est un choix de société.
Donc il n'est pas illogique d'imaginer une autre répartition de la richesse produite où le travailleur reçoit une part plus grande de sa productivité et une meilleure compensation des risques qu'il prend également. Et sans forcément nier le rendement du capital financier qui est aussi nécessaire à une activité économique.
AhDonc, tu considères que l'avantage qu'un employeur donne en laissant des parts/actions de l'entreprise est financièrement attractive pour l'employé ?
Je peux te dire que c'est tout bonnement une fausse idée recue, c'est complètement pas worth du tout pour l'employé et l'employeur te fist bien gentillement en te proposant cela.
Il est plus avantageux de demander une augmentation sur salaire (si evidemment c'est possible), si tu as les deux c'est evidemment interessant mais si c'est uniquement le "don" d'une action, tu es largement perdant
Cela étant on s'éloigne du débat, le sujet étant que je comprends totalement la grogne et le mouvement de grève de total, pour toutes les raisons évoquées au dessus
A un moment tu peux pas avoir le beurre et l'argent du beurre... Si tu proposes aux gens un salaire variable en fonction des résultats, combien vont choisir ça plutot qu'un salaire fixe?En vrai, non, car la relation n'est pas la même.
Mais je comprends, également en voyant les réactions qui suivent, que ça vous semble étrange comme façon de voir les choses car ça fait 40 ans qu'on est dans une idéologie politique du "tout au capital (financier)". Ça a probablement fait partie de votre éducation (en vrai, les 60+ on n'en a pas des masses ici), et comme toutes les générations de ces 40 dernières années on trouve ça normal car on nous a dit que la réalité c'est ça. C'est la vérité de la vie et de notre société.
Mais ce n'est pas figé, ce n'est pas "naturel". C'est un choix politique et philosophique. On a choisi de privilégier les détenteurs de capital financier, notamment au détriment du travailleur. On pense que c'est logique d'attribuer la part du lion à l'actionnaire, puisqu'il a pris "les risques" (en vrai, il n'y a quasi plus aucun risques dans ce genre d'entreprises, sinon ils ne se lanceraient pas ; le risque est encore vrai pour le petit indépendant qui se lance, mais après c'est du rendement, ce n'est plus de la prise de risque). D'ailleurs, on le voit bien dans le vocabulaire utilisé et la façon de parler. Le travailleur est une charge sur le rendement des bénéfices des actionnaires, et il est considéré comme tel.
Bref, tout ça pour dire que c'est un rapport de force, une décision politique, et que ce n'est pas l'état naturel des choses. C'est un choix de société.
Donc il n'est pas illogique d'imaginer une autre répartition de la richesse produite où le travailleur reçoit une part plus grande de sa productivité et une meilleure compensation des risques qu'il prend également. Et sans forcément nier le rendement du capital financier qui est aussi nécessaire à une activité économique.
J’étais un peu sarcastique dans ce replyOui, ils se font licencier.
En vrai, même quand les bénéfices ne sont pas assez élevés ils se font licencier.
Ils supportent également le poids des pertes.
Chez Total ? Est-ce une vraie question ?A un moment tu peux pas avoir le beurre et l'argent du beurre... Si tu proposes aux gens un salaire variable en fonction des résultats, combien vont choisir ça plutot qu'un salaire fixe?