Très bonne nouvelle, le libéralisme socialiste de defraigne est moribond.
Il est navrant de constater que certains considèrent que le libéralisme est unique et indivisible,ce qui n'est pas le cas car comme toute doctrine,il est multiple,et qu'il serait surtout là pour permettre tout et n'importe quoi au nom de la liberté individuelle.
Tout ça est faux,le libéralisme ne conteste aucunement le pouvoir et même le devoir de l'état de protéger sa population,y compris économiquement,comme il ne conteste pas non plus son devoir de contrôle et de régulation.
Le néolibéralisme,ce n'est pas du tout pareil,ce courant tente à supprimer le rôle de l'état dans l'économie,de limiter voire supprimer le rôle social de celui-ci et de lui retirer ses pouvoirs de contrôle et de régulation.
On n'est pas du tout sur la même planète que le libéralisme là !!!
Ce que dénoncent à présent les économistes,dont quasi tous les Belges bien connus dont j'ai entendu certains en conférence,autrefois fervents partisans de l'économie libre de marché,et qui retournent leur vestes car ils ont constatés les énormes dégâts et la responsabilité écrasante dans les crises de ce néolibéralisme.
Ce courant qui s'est très largement répandu et dirige à présent nos sociétés,fait l'objet à présent d'une volée d'études et de livres des économistes pour dénoncer sa funeste influence et sa confiscation du pouvoir.
Quelques références récentes :
- Stiglitz : peuple,pouvoir et profits
- "la loi de fer de l'oligarchie,pourquoi le gouvernement du peuple,par le peuple,pour le peuple est un leurre" de Dalmacio Negro Pavon.
- "Les lois du capital",par Mordillat et Rothé.
- "Baise ton prochain" de Dufour.
- "Le profit avant l'homme" de Chomsky.