Herm ... Si c'est bien "comme ça que ça marche" ...
a ce niveau y a pas contradiction, tu imagines que je ne me suis pas renseigné ? Fais le un peu aussi tu constateras.
A partir du moment ou c'est l'explication d'un fonctionnement il n'y a rien de subjectif, c'est basique un point c'est tout, si je t'explique comment fonctionne un moteur Dahlander, y aura rien de subjectif, je serais obligé de simplifier mais "simplification" =/= "subjectivité".
Le problème, c'est que une explication induit un raisonnement, une recherche de solution, conclusions etc... Même en science pure, ou il n'y a pas de débat, une simplification implique vite de la subjectivité, car selon les éléments donné précisement et ceux simplifiés, les conclusions et raisonnements seront différent. ( Si je t'ennonce le principe de conservation de l'energie sans jamais parler de pertes, c'est supide )
La ou il l'es, c'est a la fin, dans les solutions qu'il propose, de fait ça va directement dans mon sens idéologique et on ne peut même pas parler de subjectivité (il ne dit pas que c'est bien ou mal, en resumé ) mais c'est orienté, vers l'anti-capitalisme ça je suis bien d'accord.
Tu peux me dire dans quelle partie tu as vu ça ? Je comprend mal de quoi tu parles ? Une banque (le pretteur), ça ne "consomme" rien, rien de rien ... si tu parle de "l'orfevre" c'est une alégorie, une image, ce qu'il "consomme" a titre individuel viens des profits qu'il fait, mais c'est le principe antique qu'il explique et ne représente rien en terme de quantité.
Donc j'aimerais le passage que tu critiques parce que je ne comprens pas bien.
Je n'ai pasle temps de tout revisionner, ca doit être dans la partie 4-5 ou 6. Et le pretteur, banque ou autre, consome en ayant des employés par exemple, non?
Tu es donc un surhomme ? Libéré de toute espéce de fiereté et qui avait d'ors et deja compris ... et accepter que le systéme te la mette profond ?
Bien sur que c'est extrémement difficile a accepter ! Allez ! C'est humain.
Hqhq, mais ca n'a rien avoir, je le sais deja que le système nous encule, merci !