RiverMichael
Elite
Et la bourse de Moscou perd 19,1% ... d'accord elle vaut que dalle mais quand-même. C'est un record toute place boursière confondue.
Effectivement impressionnant.21 000 €/ lingot.
C'est un record en euros (pas en dollars)
+2% par rapport à il y a 5 jours.
+14% par rapport au 1er Septembre.
+25% depuis un an.
J'adore...LA MONNAIE DE SINGE
Une fois dans un village, un homme apparut et annonça aux villageois qu'il
achèterait des singes pour 10 $ chacun.
Les villageois, sachant qu'il y avait des singes dans la région, partirent
dans la forêt et commencèrent a attraper les singes.
L'homme en acheta des centaines à 10$ pièce et comme la population de singes diminuait, les villageois arrêtèrent leurs efforts.
Alors, l'homme annonça qu'il achetait désormais les singes à 15$.
Les villageois recommencèrent a chasser les singes.
Mais bientôt le stock s'épuisa et les habitants du village retournèrent à
leurs occupations.
L'offre monta à 20$ et la population de singes devient si petite qu'il
devint rare de voir un singe, encore moins en attraper un.
L'homme annonça alors qu'il achèterait les singes 50$ chacun.
Cependant, comme il devait aller en ville pour affaires, son assistant s'
occuperait des achats.
L'homme étant parti, son assistant rassembla les villageois et leur dit :
« Regardez ces cages avec tous ces singes que l'homme vous a achetés.
Je vous les vends 35$ pièce et lorsqu'il reviendra, vous pourrez lui vendre
a 50$. »
Les villageois réunirent tout l'argent qu'ils avaient, certains vendirent
tout ce qu'ils possédaient, et achetèrent tous les singes.
La nuit venue, l'assistant disparut.
On ne le revit jamais, ni lui ni son patron, que des singes qui couraient
dans tous les sens.
Bienvenue dans le monde de la bourse !
t'as vraiment aucun goutLa version avec le LHC collait quand même beauoucp mieux
On ? ça dépend de qui :þJ'ai peut-être aucun gout, mais ce que je sais, c'est qu'avec cette crise, il y en a qui sont en train de tout perdre, mais qu'est-ce qu'on va pouvoir se faire du fric quand ça va repartir 0_o
on != ils ( ceux qui sont en train de tout perdre ) :-DOn ? ça dépend de qui :þ
AFP a dit:Krach historique des Bourses
Les marchés financiers européens et américains ont poursuivi leur chute libre vendredi, au terme d'une semaine noire, s'enfonçant davantage dans un krach historique et accroissant la pression sur les grands argentiers du G7 qui se réunissent en fin de journée à Washington.
"C'est la panique, tout devient absurde, les gens vendent même les vaches sacrées" (valeurs refuges), a témoigné le directeur des ventes de la salle des marchés "Global Equities" à Paris, Xavier de Villepion.
Ni les baisses de taux d'intérêt et injections de liquidité des banques centrales, ni les opérations massives de soutien aux banques sur fonds publics et les garanties de dépôts décidées par les gouvernements, ni les appels au calme des grands argentiers internationaux n'ont pour l'instant réussi à endiguer la déroute générale.
Dans le sillage de Wall Street et Tokyo, les Bourses européennes ont clôturé en forte baisse, Londres chutant de 8,85% et Francfort de 7,01%. Paris a perdu 7,73%, achevant la pire semaine de son histoire (-22,16% depuis lundi).
Les grandes Bourses affichent des reculs dignes de la définition informelle du krach --une baisse des cours de plus de 20% en quelques jours-- qui justifient les comparaisons avec les crises de 1929 et 1987.
Les autres marchés européens --de Madrid à Amsterdam et de Lisbonne à Athènes-- ont subi des pertes semblables, tandis qu'à Moscou, les autorités ont préféré carrément ne pas ouvrir les deux marchés, le RTS et le Micex.
Alors que la crise financière menace de plonger l'économie dans une récession synonyme de flambée du chômage, le président George Bush a encore tenté de rassurer. Il a invité les acteurs économiques à rejeter l'"incertitude et la peur" tout en martelant que les autorités américaines avaient les moyens de combattre la crise.
Sous pression, les ministres des Finances et banquiers centraux du G7 (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) tenteront dans la soirée de trouver des réponses structurelles à la crise lors d'une réunion à l'issue très incertaine.
La Bourse de New York, après avoir déjà plongé de 7,33% jeudi, a encore dégringolé, le Dow Jones abandonnant peu après 16H00 GMT 4% et le Nasdaq 3,5%, pas rassurés par les propos de George Bush.
Cauchemar général en Asie également. En clôture, Tokyo a subi une nouvelle chute historique de 9,62%, Hong Kong a perdu 7,2%, Sydney et Manille 8,3%, Singapour 7,34% et Bangkok 9,61%.
Depuis le début de l'année, les principales bourses américaines, européennes et japonaises ont perdu environ 40% de leur valeur.
Pour tenter au moins d'endiguer les mouvements spéculatifs qui attisent l'instabilité des marchés, l'autorité boursière italienne (Consob) a pris une mesure radicale en interdisant les ventes à découvert sur les actions (spéculation à la baisse) jusqu'à fin octobre. Le Danemark a voté une loi interdisant également ces ventes de façon provisoire.
Mais ces décisions illustrent aussi l'absence de coordination européenne.
Si les Etats-Unis ont adopté le plan Paulson qui prévoit d'accorder jusqu'à 700 milliards de dollars pour racheter les actifs dépréciés des banques et leur permettre d'assainir leur bilan, les Européens n'ont pour l'instant pris aucune disposition commune de ce genre, privilégiant des plans de soutiens nationaux.
Cependant, les autorités allemandes, qui rejetaient jusqu'à présent tout plan de sauvetage global des banques, qu'il soit d'ailleurs national ou européen, ont assoupli leur position vendredi soir, ouvrant la porte à une harmonisation européenne. "Il faut arrêter avec les solutions au cas par cas", a déclaré le ministre allemand des Finances Peer Steinbrück.
Le Premier ministre britannique Gordon Brown a appelé à suivre l'exemple du Royaume-Uni dans son plan "révolutionnaire" visant à secourir le système bancaire par le biais de nationalisations partielles.
Le chef du gouvernement espagnol Jose Luis Rodriguez Zapatero a demandé à Nicolas Sarkozy, président en exercice de l'Union européenne, de "réunir d'urgence les chefs d'Etat et de gouvernement de l'Eurogroupe" pour une "action forte et coordonnée" face à la crise financière.
Pendant ce temps, la menace d'une contagion de la crise financière à "l'économie réelle" se précise.
La consommation a reculé au troisième trimestre aux Etats-Unis pour la première fois depuis environ 17 ans, a souligné Alexis Körber de l'institut de conjoncture suisse BAK Basel Economics.
La crise du crédit affecte déjà les secteurs du bâtiment et de l'automobile, qui commencent à détruire des emplois, en Amérique du Nord comme en Europe.
Selon des analystes parisiens, la paralysie du marché interbancaire pourrait aussi provoquer des faillites d'entreprises en chaîne.
Signe d'une inquiétude croissante, les Allemands, confient de plus en plus leurs économies aux caisses d'épargne, malgré une garantie d'Etat pour tous les comptes en banque. Seuls 55% d'entre eux estiment leurs économies en sécurité, selon un sondage.
Autre indicateur des craintes de récession, les cours de l'or noir chutent. Moins de croissance économique signifie moins de demande pour le brut. Le pétrole est passé sous 80 dollars à Londres et à New York, loin de ses records historiques du 11 juillet à plus de 147 dollars.
Les grands argentiers du G7, qui se réunissent vendredi à partir de 18H00 GMT à Washington, auront du mal à parler d'une seule voix, tant les remèdes pour affronter la crise divergent d'un pays à l'autre.
La ministre française de l'Economie Christine Lagarde a d'ailleurs estimé qu'il ne fallait pas s'attendre à ce que le G7 débouche sur "une réponse harmonisée" qui serait "la même pour tout le monde".
"On ne peut pas appliquer la même méthode à des situations de marché différentes. Ce qui me paraît très important, c'est qu'on se mette d'accord sur des principes communs", a-t-elle dit.
Outre le G7 financier et un possible G8, Washington accueillera à partir de samedi des réunions du G20, rassemblant les ministres et banquiers centraux des principaux pays riches et émergents, et les réunions d'automne du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale.
Plus personne ne sait acheter, plus personne n'arrive à emprunter.
Manque de liquidité pour beaucoup de monde, y compris des sociétés tout à fait viables mais avec un manque de liquidité qui feront faillite car elles n'arriveront pas à emprunter.
Dans le fond je suis d'accord avec toi, mais en pratique, ça coince toujours.Ou la fin annoncée de "l'argent-dette", si ça se réalise attendez-vous a ce que ce soit douloureusement cependant ce sera avec un peu de chance un mal pour un bien.