Marilyn Manson accusé par plusieurs femmes de maltraitance/séquestration etc

Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

YogiBear

Jean Michel Ersatz
Toujours le même schéma. Les règles doivent restées en place, parce qu'on peut pas envisager d'autres façon d'écrire. De manière générale beaucoup ont du mal avec l'inclusivité. Rien d'étonnant, et ça va pas chercher plus loin que le fait que l'effort est trop grand. C'est le cas de l'écriture, c'est le cas pour tous les autres sujets. Pas surpris c'est dans la lignée.
Comme dit Skarbone, tu n'avances aucun argument.

Je pense qu'ici, tout le monde ou du moins une grosse majoritée, serait d'accord de supprimer les masculin et féminins pour prendre un genre neutre, ce afin de mettre un terme au "masculin l'emporte", et ce dans un souci d'égalité et d'inclusivité.Et donc modifier les fameuses règles en place.

Mais pour toi non, il faut l'écriture inclusive, le truc moche et chiant à lire et écrire. Si les gens sont contre, c'est pour ça, pas parce que nous sommes de gros hommes des cavernes qui rêvons secrètement de ramener bobonne par les cheveux à la maison.
 

useless #

¯\_(ツ)_/¯
Quelle argumentation.
Et toi ton argument ? Je l'ai déjà exprimé le mien je vais pas me répéter pour un mec qui voit pas plus loin que sa situation. Qui considère que c'est de la merde sans autre considération. Comme beaucoup ici, ça voit pas plus loin que sa petite situation, il comprend pas pourquoi il faut plus d'inclusivité. Il comprend même pas que ce soit une revendication parce que ça veut dire faire un petit effort. Et après ça vient te demander des arguments quand la seule chose qu'il peut répondre c'est "oh lol il sait même pas conjugué" avec un smiley.
 
Toujours aussi drôle les woke sjw... laissez les jouer avec l’écriture inclusive, c’est plus facile de les repérer ainsi.
 

useless #

¯\_(ツ)_/¯
Comme dit Skarbone, tu n'avances aucun argument.

Je pense qu'ici, tout le monde ou du moins une grosse majoritée, serait d'accord de supprimer les masculin et féminins pour prendre un genre neutre, ce afin de mettre un terme au "masculin l'emporte", et ce dans un souci d'égalité et d'inclusivité.Et donc modifier les fameuses règles en place.

Mais pour toi non, il faut l'écriture inclusive, le truc moche et chiant à lire et écrire. Si les gens sont contre, c'est pour ça, pas parce que nous sommes de gros hommes des cavernes qui rêvons secrètement de ramener bobonne par les cheveux à la maison.
Parce que dans tous les sujets le changement vers plus d'inclusivité ça vous pose un problème. Tu peux caricaturer mes propos, ça changera rien, la résistance est toujours bien là. Quand des femmes revendiquent ce processus vous êtes contre. L'opposition est suffisamment parlante.
 
Parce que dans tous les sujets le changement vers plus d'inclusivité ça vous pose un problème. Tu peux caricaturer mes propos, ça changera rien, la résistance est toujours bien là. Quand des femmes revendiquent ce processus vous êtes contre. L'opposition est suffisamment parlante.
Revendiquer des privilèges :love:
 

THiBOo

Elite
Toujours le même schéma. Les règles doivent restées en place, parce qu'on peut pas envisager d'autres façon d'écrire. De manière générale beaucoup ont du mal avec l'inclusivité. Rien d'étonnant, et ça va pas chercher plus loin que le fait que l'effort est trop grand. C'est le cas de l'écriture, c'est le cas pour tous les autres sujets. Pas surpris c'est dans la lignée.
Ca n'a rien à voir mec.

Mettons tout au féminin je m'en branle.

Mais ça, c'est illisible pr moi (et ça n'a aucun sens à part "faire plaisir"):


Et quand on veut écrire comme ça "par revendication" c'est totalement débile.
A l'inverse tu changes "clef" en "clé" ça "facilite la langue" c'est cool
 

useless #

¯\_(ツ)_/¯
""« L’écriture inclusive déforme la langue française »
Les détracteurs de l’écriture inclusive considèrent qu’elle renie des siècles d’histoire de la langue française, faisant fi des nombreuses évolutions linguistiques qui ont traversé les siècles.

Professeure émérite de littérature de la Renaissance, Eliane Viennot a dirigé l’ouvrage L’Académie contre la langue française (iXe, 2016), cosigné par plusieurs linguistes et sémiologues. Leur ouvrage, qui égratigne les postures « corsetées » de l’Académie française, rappelle que le français n’a pas toujours valorisé la prédominance du masculin.

« Jusqu’au XVIIe siècle, les noms des métiers et des dignités exercées par des femmes étaient au féminin », rappelle Eliane Viennot. On disait alors « charpentière », « prévôte » ou « moissonneuse ». La règle d’accord de proximité voulant que le dernier mot l’emporte, et non le masculin, était courante. Elle a, finalement, été remise en cause puis abolie par l’Académie au nom de la supériorité masculine, comme l’a édicté en 1651, le grammairien Scipion Dupleix, « conseiller du Roy » :

« Parce que le genre masculin est le plus noble, il prévaut seul contre deux ou plusieurs féminins. »
Lire aussi
Egalité femmes-hommes : l’écriture dite « inclusive », sujet qui divise
Selon Richard Herlin, correcteur au Monde, ces craintes de voir modifier les règles de la langue française soulignent « l’attachement de la population à celles-ci, comme s’il s’agissait d’un trésor immémoriel, alors que ce n’est pas le cas ».

Comme le relève Alain Rey dans une tribune publiée dans Le Monde, « cela fait sans doute de la peine aux professeurs de français et aux agrégés de grammaire, mais tant pis : c’est l’usage qui prime (…). Le système signifiant qu’est la langue doit être en accord avec le système auquel il renvoie. Si la réalité sociale évolue, il faut changer le système de représentation qu’est la langue. »

Le linguiste rappelle toutefois que nos habitudes de langage restent encore « empreintes » aujourd’hui d’« une idéologie antiféministe », qui a imprégné la littérature du Moyen Age. Prudent, il prévient :
 

useless #

¯\_(ツ)_/¯
Moi je kiffe tellement ce qui se dit ici.
 

useless #

¯\_(ツ)_/¯
Et THiBOo

C'est pour toi :

Pour souligner « l’absurdité » supposée de l’écriture inclusive, de nombreux internautes ont réalisé des détournements moqueurs de textes classiques, comme cette version de la fable Le Corbeau et le Renard : « Maître.sse Corbe.au.lle sur un arbre perché.e. Tenait en son bec un fromage. Maître.sse Renard. e par l’odeur alléché.e… »

Mais l’écriture inclusive ne s’intéresse pas aux genres des noms communs puisqu’ils ne sont pas le marqueur d’une domination d’un groupe d’individus sur un autre. Pas question, donc, de féminiser « un tabouret », « un paillasson », « un lave-linge », ni de masculiniser « une machine à laver », « une serviette » ou une « douche ».

Sur ce point, le professeur de linguistique à l’université Paris-Descartes, Alain Bentolila, rappelle qu’il s’agit bien « de marqueurs de genre et non pas d’indicateurs de sexe ». Dans une tribune publiée dans Le Monde, il rappelle que « la langue française a trouvé commode de détourner l’usage arbitraire des marques de genre pour obtenir une distinction de sexe ».
 

AnagraM

ancien nouveau
Les gens ils arrivent à lire ça :
Une étude de l'unsirtevié de Crbgmidae a motrné que l'on peut sans prlobmèe lrie un texte dont les lerttes snot dans le dosrdére puor peu que la peièrrme et la dèreinre lterte de cuahqe mot rentset à la bnnoe pcale. Ccei mornte que le ceverau ne lit pas ttuoes les lteetrs mais prned le mot cmome un tuot. La pvreue : aveouz que vuos n'avez pas eu de mal à lrie ce ttexe.
mais l'écriture inclusive, c'est trop dur..
 
Les gens ils arrivent à lire ça :

mais l'écriture inclusive, c'est trop dur..
C’est juste ridicule. Heureusement dans la vraie vie, c’est pas prêt d’arriver à qque chose :love:
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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