Le sionisme avec leurs propres mots
L'amnésie est décidément un mal récurrent de nos
sociétés occidentales , au sujet du sionisme, Il fut un temps
où la Communauté Internationale considérait les milices
sionistes comme des groupes terroristes.
Le 11 mars 2003
Ce qui suit est une compilation de citations sélectionnées provenant de personnalités Sionistes et Israéliennes proéminentes qui incarnent le discours de haine, de racisme, et de rejet qui nourrit la société Israélienne durant la courte existence d'Israël.
Ce langage de négation de l'existence des Palestiniens et l'indifférence flagrante à la propre humanité du peuple Palestinien est peut être l'aspect le plus dangereux de la politique sioniste israélienne.
Il se peut que le but le plus significatif de ce document est d'attirer l'attention sur la futilité de ce discours. Il est impératif que les leaders politiques et les personnalités politiques de toute société, encouragent les principes de respect mutuel, de tolérance, et d'humanisme, afin de nourrir une vision plus constructive.
" A chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l'Amérique fera ceci ou fera cela. Je veux te dire une chose très claire : ne t'inquiètes pas des pressions américaines sur Israël. Nous, le peuple Juif, contrôlons l'Amérique, et les Américains le savent ".
Ariel Sharon, 3 octobre 2001 à Shimon Pérès, comme cela est rapporté sur Kol Yisrael Radio.
" Il y a un immense trou entre nous et nos ennemis, pas seulement dans la capacité, mais aussi dans la moralité, la culture, la sainteté de la vie, et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c'est comme si à une distance éloignée de quelques centaines de mètres, il y a une population qui n'appartient pas à notre continent, à notre monde, mais en fin de compte à une autre galaxie ".
Moshé Katsav, président israélien, The Jerusalem Post (10 mai 2001).
" La Jordanie fait partie du grand Israël dans l'histoire ".
Ariel Sharon lorsque il est devenu Premier ministre en 2000.
" Les Palestiniens sont comme des crocodiles, le plus tu leur donnes de la viande, le plus ils en veulent ".
Major-général (CR) Ehud Barak, ancien Premier Ministre, 28 août 2000. Rapporté dans The Jerusalem Post (30 août 2000).
" Tout le monde doit bouger, courir, et s'emparer d'autant de collines qu'il est possible pour agrandir les colonies parce que tout ce que l'on prendra maintenant restera à nous. Tout ce que nous ne prendront pas par la force, ira à eux ".
Ariel Sharon, premier Ministre Israélien lors d'un meeting de militants du parti d'extrême droite Tsomet. AFP (15 novembre 199
.
" Les accords d'Oslo sont très importants pour les Palestiniens depuis que ce sont les seuls accords officiels qu'ils possèdent. Nous avons un autre document, encore beaucoup plus ancien... la Bible ".
Ariel Sharon parlant dans une conférence à Washington, le 8 mai 1998.
" Nous ne savions pas ce qu'il fallait faire d'eux (prisonniers de guerre Egyptiens en 1956). Il n'y avait pas d'autre choix que de les tuer. Ce n'était pas une telle affaire si vous prenez en considération que je dormais bien après avoir échappé aux fours crématoires d'Auschwitz ".
Brigadier-général Arieh Biro, The New York Times (21 août 1995).
" Les Palestiniens devraient être écrasés comme des sauterelles...leurs têtes fracassées contre des rochers et des murs ".
général Yitzhak Shamir s'adressant aux colons Juifs New York, Times (1er avril 198
.
" Nous devons tuer tous les Palestiniens jusqu'à ce qu'ils soient résignés à vivre ici comme des esclaves " .
Le président Heilbrun du comité pour la réélection au poste de maire de Tel-Aviv du général Shlomo Lahat en octobre 1983.
" Nous déclarons ouvertement que les Arabes n'ont pas le droit de s'installer sur même un cm d'Eretz Israel. La force est le seul langage qu'ils comprennent. Nous devrons utiliser la force ultime jusqu'à ce que les Palestiniens viennent en rampant vers nous à quatre pattes ".
Rafael Eitan, Ra’Mat’Kal (chef d’état-major israélien). New York Times (14 avril 1983).
" Lorsque nous aurons colonisé le pays, tout ce que les Arabes seront capables de faire, sera de détaler tout autour comme des cafards drogués dans une bouteille ".
Rafael Eitan, Ra’Mat’Kal (chef d’état-major israélien). New York Times (14 avril 1983).
" Les Palestiniens sont comme des bêtes marchant sur deux pattes ".
Menahim Begin, discours à la Knesset, cité par Amnon Kapeliouk, Begin et les bêtes. New Statesman (25 juin 1982).
" Nous marchions dehors, Ben-Gourion nous accompagnant. Allon répéta cette question, qu'est ce qu'on doit faire de la population Palestinienne ? Ben-Gourion agita sa main dans un geste qui voulait dire “conduisez les en dehors” ! "
Yitzhak Rabin, la version censurée des Mémoires de Rabin divulguée, publié dans le New York Times (23 octobre 1979).
" C'est le devoir des leaders Israéliens d'expliquer à l'opinion publique clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps Le premier est qu'il n'y a pas de sionisme, de colonisation, d'État Juif sans l'éviction des Arabes et l'expropriation de leurs terres ".
Yoram Bar Porath, Yediot Aharonot (14 juillet 1972).
" La thèse que le danger de génocide était suspendu au-dessus de nos têtes en juin 1967 et qu'Israël combattait pour sa survie était juste un bluff, qui est né et s'est développé après la guerre ".
Général Matityahu Peled, Ha'aretz (19 mars 1972).
" Il n'y a pas semblable chose que les Palestiniens, ils n'ont jamais existé ".
Golda Meir Premier ministre Israélien le 15 juin 1969