LikH
°.°
Les gars du syndicat viennent de chopper gta4 stoo.
Ai je dis ca?C'est pas un probleme d'acquis sociaux... De toute maniere, le privé respecte les lois sociales et les conventions collectives, alors arretons de faire passer pour des esclavagistes, et envisageons donc la privatisation.
Oui, je me sens mal, tu critiques Inge Vervote qui est mon idole et Elio avec qui je suis allé à la Gay Pride ce samedi ... . N'importe quoi ! Je n'ai pas exprimé ma position dans ce sujet, tout au plus ai-je sous-entendu que le service minimum n'avait pas l'air d'être une évidence pour tout le monde, ce qui est un fait, la réalité comme tu aimes tellement le dire. De plus en tant qu'utilisateur quotidien de la SNCB, le service minimum m'arrangerait personnellement.Ecoute t'acceptes pas la critique, que veux tu que je te dise? Tu montres un article sur les difficultés de réalisation, je te montre pourquoi la ministre la soulève (elle est ancienne syndicaliste)... et je te montre pourquoi d'autres politiciens sont contre (le ps pour des raisons purement electoraliste)....
Tout ce que j'ai dit, ce sont des faits, rien que des faits... Soit tu les contestes, soit tu les acceptes... mais en tout cas ils sont largement pertinent au débat.
Bah je t'ai posé une question très simple concernant ces chiffres (en résumé: comment font ils pour intégrer ce que l'on a appelé "le chiffre noir" puisque tu prétends que les chiffres sont exhaustifs?)... à laquelle tu n'as jamais répondu.comme les fait qui te font contester les chiffres officiels du rapport chômeurs/travail?
Oui, je me sens mal, tu critiques Inge Vervote qui est mon idole et Elio avec qui je suis allé à la Gay Pride ce samedi ... . N'importe quoi ! Je n'ai pas exprimé ma position dans ce sujet, tout au plus ai-je sous-entendu que le service minimum n'avait pas l'air d'être une évidence pour tout le monde, ce qui est un fait, la réalité comme tu aimes tellement le dire. De plus en tant qu'utilisateur quotidien de la SNCB, le service minimum m'arrangerait personnellement.
Je te propose d'argumenter sur les déclarations faites par ces gens, puisque tu ne les partages pas, et non pas sur le fait que celles-ci sont sans intérêt, en raison du passé professionnel ou des idées politiques de IV ou EdR.
Evidemment tu vas me répondre qu'il faut privatiser, ce qui est un bon moyen d'éluder le débat.
et toi je t'ai posé la question des sources de tes informations qui font passer le chiffre de 1/32 à 1/9 a laquelle tu n'as jamais répondu non plus.Bah je t'ai posé une question très simple concernant ces chiffres (en résumé: comment font ils pour intégrer ce que l'on a appelé "le chiffre noir" puisque tu prétends que les chiffres sont exhaustifs?)... à laquelle tu n'as jamais répondu.
Ce n'était pas moi qui faisait passé de 1/32 à 1/9, tu peux vérifier...et toi je t'ai posé la question des sources de tes informations qui font passer le chiffre de 1/32 à 1/9 a laquelle tu n'as jamais répondu non plus.
J'ai plus tendance a faire confiance a des statisticiens professionnel qui ont certainement plus de documentation sur le sujet que toi.
Enfin question de point de vue hein :roll:
Yorel ou toi même combat de toute façonCe n'était pas moi qui faisait passé de 1/32 à 1/9, tu peux vérifier...
Rattrape toi aux branches... et réponds pas au plus intéressant... as usual avec toi.Yorel ou toi même combat de toute façon
Et, laisse moi en dehors de ce débat, stp.Yorel ou toi même combat de toute façon
La question du % de gens nécessaires à faire tourner la machine, je ne sais pas non plus d'où c'est tiré, y a t'il eu une étude précise ou bien est-ce un peu lancé au pif, je ne saurais pas le dire (et j'ai pas envie d'aller chercher). Néanmoins il est évident que pour garantir un fonctionnement minimum du service de la SNCB (parce que c'est possible de faire pire qu'en tant normal !), il faut un certain quota de gens à leurs postes. Obliger ces gens à être présents, c'est une atteinte au droit de grève. Donc quid ?J'élude pas le débat, je montre simplement que les critiques que tu as cité ne sont basé que sur du vent, parce que bon dire "c'est pas possible, il va falloir faire travailler 80% des gens" j'aimerai bien savoir d'où ca vient à part de la bouche de notre ministre syndicaliste... quant à la critique de l'atteinte au droit de grève, si ils ne l'acceptent pas, il faudra que les syndicats acceptent d'avoir enfin une personnalité juridique afin d'etre responsable de leurs actes et notamment de l'abus du droit de grève.
Privatiser? Oui dans l'idéal... Spécialement si le service minimum est impossible (ce qui est faux, il existe dans d'autres pays européens) ou inacceptable pour les syndicalistes.
La bonne vieille méthode en douceur, j'aime :-DC'est vrai que c'est chiant à la longue
D'autant que c'est moins la direction que les usagers qu'ils emmerdent ...
Qu'ils fassent autre chose, un truc positif, constructif, pourquoi pas foutre le feu au siège de la SNCB ? Voilà un truc qui ferait avancer le Shmilblik :-D
On pourrait définir l'abus en prenant en exemple ce qu'il se fait dans d'autres pays européens. Si on considère les TEC par exemple, la violence est (proportionnelement) moins importante (jusqu'à 6 fois) que dans d'autres pays européens mais le personnel débraye 2 à 3 fois plus souvent. Peut-on en conclure qu'il y a de l'abus ? On peut effectuer le même exercice pour la SNCB...L'abus du droit de grêve, ca me parait délicat comme notion, comment définir ce qui est un abus, de ce qui l'est presque-mais-pas-encore ? Deuxième chose, privatiser ne garantit pas du tout que le service minimum soit possible, que je sache les grèves totales existent également dans les entreprises privées, et celà arrive plus que régulièrement.
C'est une limitation au droit de grève, mais il y en a d'autre dans la loi (je ne sais plus si c'est la police ou l'armée où il est interdit de faire grève) et dans d'autres pays européens (pas d'affreuse dictature) le service minimum existe.... Après le chiffre invoquée par la ministre syndicaliste me semble farfelu, pour la meme raison, vu qu'il existe dans d'autres pas.La question du % de gens nécessaires à faire tourner la machine, je ne sais pas non plus d'où c'est tiré, y a t'il eu une étude précise ou bien est-ce un peu lancé au pif, je ne saurais pas le dire (et j'ai pas envie d'aller chercher). Néanmoins il est évident que pour garantir un fonctionnement minimum du service de la SNCB (parce que c'est possible de faire pire qu'en tant normal !), il faut un certain quota de gens à leurs postes. Obliger ces gens à être présents, c'est une atteinte au droit de grève. Donc quid ?
L'abus du droit de grêve, ca me parait délicat comme notion, comment définir ce qui est un abus, de ce qui l'est presque-mais-pas-encore ? Deuxième chose, privatiser ne garantit pas du tout que le service minimum soit possible, que je sache les grèves totales existent également dans les entreprises privées, et celà arrive plus que régulièrement.
Pas besoin d'inventer une définition, l'abus de droit existe déjà et est parfaitement transposable (en modalisant les règles générales à la situation précise) aux grèves, spécialement dans les transports publiques !On pourrait définir l'abus en prenant en exemple ce qu'il se fait dans d'autres pays européens. Si on considère les TEC par exemple, la violence est (proportionnelement) moins importante (jusqu'à 6 fois) que dans d'autres pays européens mais le personnel débraye 2 à 3 fois plus souvent. Peut-on en conclure qu'il y a de l'abus ? On peut effectuer le même exercice pour la SNCB...
On pourrait utiliser les revendications et leurs inapropos mais j'avoue que cela serait problématique. Qui serait impartial ? Le ministre de tutel ? Les revendications salariales dantesques me font personnellement bien rire... Vu leur impact sur le budget... (surout quand elle s'appuie sur la poussière dont va être augmenté l'adminsitrateur général)
www.lesoir.beA quelques heures d’une grève de 24 heures sur le réseau ferroviaire, le débat resurgit entre les partisans de l’instauration d’un service minimum en cas de grève à la SNCB, au premier rang duquel se trouvent des associations de navetteurs et des organisations patronales, et les détracteurs de cette idée, parmi lesquels on retrouve les syndicats, soutenus sur ce point par la ministre des Entreprises publiques Inge Vervotte, qui estiment qu’un service minimum est « irréalisable ».
Dans un communiqué, l’association flamande des usagers de train, tram et bus (Bond van Trein –, Tram- en Busgebruikers/BTTB) se déclare mécontente lundi de ce mouvement de grève et demande aux syndicats de recourir à des formes d’action plus inventives que la grève.
Estimant que « la grève sur le rail ne touche pas les patrons du chemin de fer, mais bien les voyageurs », le BTTB considère que l’instauration d’un service minimum est tout à fait possible. Et l’association flamande des usagers de train, tram et bus de prendre l’exemple d’autres pays ou régions d’Europe (comme l’Italie, l’Autriche, le Danemark ou la région parisienne) qui connaissent un système de service minimum.
Parmi les organisations patronales, le Syndicat neutre des indépendants (SNI), par la voix de sa présidente Christine Mattheeuws, estime que « la ministre des Entreprises publiques Inge Vervotte fuit ses responsabilités en déclarant qu’elle ne peut garantir la sécurité des voyageurs en cas de service minimum ». « C’est justement sa tâche de veiller à ce qu’il y ait suffisamment de personnel pour garantir cette sécurité », ajoute-t-elle dans un communiqué.
Le SNI plaide dès lors pour un service minimum en cas de grève dans les entreprises publiques telles que la SNCB parce que « le coût économique de telles grèves est particulièrement élevé ». Le syndicat d’indépendants se déclare en outre favorable à des « actions alternatives » comme ne pas faire payer les voyageurs ou la grève à des moments de la journée moins fréquentés.
De leurs côtés, les syndicats ferroviaires CGSP-Cheminots, CSC-Transcom et SLFP ont réitéré lundi leur opposition à l’instauration d’un service minimum sur le rail, évoquant, dans le chef du syndicat socialiste, le « tabou » du service minimum. Les syndicats pointent du doigt des risques pour la sécurité du personnel de la SNCB ainsi que pour les voyageurs. A l’instar de la ministre des Entreprises publiques Inge Vervotte (CD&V), ils jugent en outre l’idée irréalisable. Inge Vervotte a en effet indiqué, dimanche au cours d’une émission télévisée, qu’un service minimum pour les chemins de fer en cas de grève est une belle chose en théorie mais qu’il serait très difficile de le réaliser. Pour la ministre, organiser un service minimum en cas de grève à la SNCB nécessiterait la présence de 65 % du personnel.