Akabane
The Chemical Stig
Surtout, je vois vraiment pas comment l'indépendant moyen pourrait s'en sortir financièrement sans tout ce qu'ils arrivent à déduire... Faut pas croire, ils sont rarement riches...
Effectivement, séparons l'impôt indirect (TVA) de l'impôt direct (IPP)En tant que fiscaliste et pour couper court à certaines conneries qu'on peut entendre ici sâchez d'une part qu'il faut forcèment être au minimum indépendant pour ne pas payer de TVA sur un ordi, une voiture, etc... et pour le PQ, etc... c'est aussi du grand n'importe quoi.
Tu "peux" en effet si et seulement si le fisc considère cela comme "vêtements professionnels" mais j'ai comme qui dirait certains doutes quoi ...
Gaffe tout de même qu'en optant pour les frais réels tu renonces de facto au forfait légal qui t'ait automatiquement accordé et qui dans bien des cas (le plus courant si la distance domicile-lieu de travail est peu significative) c'est le forfait qui reste la formule la plus intéressante ...
Tu peux voir combien ton forfait te "rapporte" comme déduction fiscale (assez conséquente tout de même) en examinant attentivement ton avertissement extrait de rôle IPP.
Ci-dessous la fameuse annexe qui délimite clairement ce qui peut ou non être admis comme frais professionnels réels.
Donc, effectivement, seul l'indépendant peut prétendre à la déduction de la TVA et si et seulement si, selon le code TVA, il peut être considéré comme étant un assujetti avec droit à déduction (donc, exclu le régime petite entreprise, Article 44 et co)§ 1er. Est un assujetti quiconque effectue, dans l'exercice d'une activité économique, d'une manière habituelle et indépendante, à titre principal ou à titre d'appoint, avec ou sans esprit de lucre, des livraisons de biens ou des prestations de services visées par le présent Code, quel que soit le lieu où s'exerce l'activité économique.
Certes, après, tu as l'article 52, CIR 92 (ex. d'imp. 2013) qui dresse une liste NON exhaustive de certaines dépenses !A. Frais professionnels
Article 49, CIR 92 (ex. d'imp. 2013)
A titre de frais professionnels sont déductibles les frais que le contribuable a faits ou supportés pendant la période imposable en vue d'acquérir ou de conserver les revenus imposables et dont il justifie la réalité et le montant au moyen de documents probants ou, quand cela n'est pas possible, par tous autres moyens de preuve admis par le droit commun, sauf le serment.
Sont considérés comme ayant été faits ou supportés pendant la période imposable, les frais qui, pendant cette période, sont effectivement payés ou supportés ou qui ont acquis le caractère de dettes ou pertes certaines et liquides et sont comptabilisés comme telles.
Une villa n'est plus un bon investissement (source lecho.be)
Ces dernières années en Belgique, les propriétaires de villas ont vu la valeur de leur bien s'effriter. Pourquoi ce désamour pour ces fermettes typiques, tellement caractéristiques de nos lotissements?
Ces dix dernières années, les villas ont perdu en Belgique près de 5% de leur valeur. D’après les chiffres du SPF Economie, les acheteurs paient actuellement en moyenne 21,9% de plus pour une villa, un bungalow ou un manoir qu’il y a dix ans. Mais au cours de la même période, l’inflation cumulée (sur base de l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) entre décembre 2001 et juin 2012, utilisé par Eurostat et la BCE) se monte à 26,4%. La hausse des prix ne suffit donc pas à compenser la hausse du coût de la vie.
Le spécialiste en immobilier de KBC, Johan Van Gompel, est un peu plus réservé. Il s’est plongé dans les chiffres de l’immobilier au niveau européen et a analysé leur évolution dans le temps. " Cette baisse de valeur est correcte si nous nous limitons à cette période relativement courte. Mais si nous remontons quelques années plus loin, la courbe est plus plate. Dans la réalité, le prix des villas suit l’inflation. " La situation est très différente pour les maisons et appartements. Si l’on tient compte de l’inflation, les prix ont augmenté respectivement de 5,1 et 4,2% entre 1995 et la fin de 2011. Au cours de cette période, le prix des villas a à peine augmenté de 0,5%. Entre 1980 et 1995, elles avaient déjà perdu – également corrigé pour l’inflation – 0,3% de leur valeur.
Fermettes
Cette évolution n’étonne pas les spécialistes. Ce sont les villas caractéristiques des années ’50, ’60 et ’70 du siècle dernier qui souffrent le plus. " A l’heure actuelle, les gens tiennent davantage compte des coûts d’entretien et d’énergie " explique Michael Ryckewaert, chercheur à la KU Leuven. Et ne parlons pas des fermettes typiques qui ne brillent pas sur ce plan. Ces villas exigent des rénovations lourdes et - par définition - chères. Et ceux qui pourraient se permettre de faire ces rénovations préfèrent, pour le même prix, construire une nouvelle maison. " La problématique du prix joue très certainement un rôle " poursuit Van Gompel.
Les villas ne sont pas seulement chères, elles répondent aussi de moins en moins aux attentes des jeunes couples actifs : ils accordent beaucoup d’importance aux prestations énergétiques, n’aiment pas avoir un jardin trop grand exigeant beaucoup d’entretien, et ils préfèrent garder suffisamment de moyens financiers pour leurs loisirs. Tout cela joue en défaveur du marché des villas, et un retournement de situation est peu probable. " Les prix vont continuer à baisser " prédit Van Gompel. " Mais plus encore que pour les habitations ‘classiques’, la situation géographique joue un rôle très important. Si vous leur parlez de la baisse du prix des villas à Knokke, ils vous rient au nez. "
LIRE AUSSI: En 10 ans, le prix des maisons a doublé
Marché asséché?
Le marché des villas s’est-il donc complètement asséché? Non, bien entendu. Elles trouvent encore acquéreur, surtout si elles sont bien situées. Mais le raisonnement classique de nombreux occupants de villas – si une maison mitoyenne vaut 200.000 euros, alors ma villa en vaut le double – ne tient plus la route. Les experts en immobilier sont tous d’accord pour dire que les villas se vendent encore, mais uniquement si le prix est correct. " Une minorité de propriétaires acceptent un prix plus bas et les autres attendent, dans l’espoir que le marché se retourne " constate le courtier Steve Aerens de l’Agence Rosseel. Pour les anciennes villas qui ne correspondent plus au mode de vie moderne, c’est probablement un espoir qui ne se réalisera jamais. Cela peut devenir un problème car un cercle vicieux peut s’installer : qui veut encore acheter, sachant que les prix ne monteront plus ? Et que doivent faire les occupants qui souhaitent vendre leur villa pour acheter un appartement ? Les règlementations actuelles n’offrent pas beaucoup de possibilités. De nombreuses règlementations locales en matière de lotissement ne permettent pas de diviser les grandes parcelles en plusieurs morceaux. Et ceux qui veulent transformer un bien en habitation kangourou se retrouvent confrontés à la règle - ‘absurde’ disent les experts - qui interdit de transformer un logement unifamilial en deux logements contigus. " Tôt ou tard, le marché obligera les autorités à trouver une réponse " conclut Ryckewaert.
http://www.rtbf.be/info/societe/detail_les-jeunes-contractent-de-plus-en-plus-de-dettes?id=7827862DERNIER CONSEIL
N'achetez pas de biens de consommation à crédit ! Sauf à la limite du mobilier.
C'est pas faux.Les gens sont responsables, faut arreter de tjs dire que c'est la faute de la société c'est bien trop facile.
Avant même de penser à des questions politico-sociétales voir métaphysiques pour certains, je voulais d'abord prévenir qu'acheter avec des crédits de consommations c'est payer à 120%+ des objets. Ca s'arrête là.
Exactement.Apprendre à gérer son argent, c'est quelque chose qu'on fait de moins en moins et c'est là la base du problème.
L'égo-trip, ça gave à force, c'est sûr.koraz et Akabane, vous en avez pas marre de raconter de la merde... ?
merci monsieur elianBon les coco, j'ai autre chose à faire que virer vos hors sujets grandiloquents. Sortez vos engins, prenez une latte et prenez plus la tête.
D'ailleurs pour les smartphones, faudra qu'on m'explique réellement, en quoi c'est "indispensable" pour vivre ou mieux même, en quoi c'est REELLEMENT utile. (tention hin, j'ai que des smartphones depuis 5 ans et je me vois mal revenir à un téléphone normal, mais de nouveau, question de moyen).
How about a decaban ?koraz a dit:Latte? Non, décamètre c'est mieux..
Effectivement j'aimerais bien un retour sur ce site égalementMerci Elian!
Bon pour revenir au sujet, y a t'il des gens chez BinckBank? Quel est leur retour?
Ce n'est pas un peu trop beau?