Je pense que malgré la communication difficile sur les évênements par les soviétiques, il y a eu en France finalement assez de transparence sur les procédures, les expertises et les contre-expertises des années plus tard (et liens vers les rapports):
https://fr.wikipedia.org/wiki/Conséquences_de_la_catastrophe_de_Tchernobyl_en_France#Passage_du_panache_radioactif_sur_la_France
Pourquoi continuer de propager de l’ambiguïté à ce sujet? Tu peux stp continuer d'apporter des sources qui renforcent tes propos (sans aller les chercher sur des blogs obscures d'activistes) ? Thx.
C'était d'ailleurs intéressant les liens que t'as apporté a propos d'un conflit d'intêret historique. Mais ça reste très faible comme preuves pour soutenir que tout est une conspiration
"nous sachons" amha.
wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Consé...e#Passage_du_panache_radioactif_sur_la_France
Aucun texte officiel ne précise comment doit être organisée la communication en pareil cas et les ministères du tout nouveau
gouvernement Chirac (première cohabitation) sont heureux de trouver en la personne du professeur
Pellerin un expert qui veut bien l’improviser, malgré la faiblesse de ses moyens et son manque d’expérience dans le domaine médiatique. C’est à lui principalement que reviendra la tâche d’informer les Français des résultats des mesures de contamination radioactive et du niveau de risque couru, même si
Michèle Barzach, ministre chargée de la Santé, signe certains communiqués de synthèse.
[réf. nécessaire]
Pour compliquer la situation, le panache survient à la veille d’un week-end de quatre jours (le 1er mai tombe un jeudi) qui a vidé les ministères, comme certains organes de presse, et ralenti le transport par la poste des échantillons radioactifs prélevés dans toute la France, alors que
Jacques Chirac accompagne le président
Mitterrand à
Tokyo pour un sommet des chefs d’État occidentaux. Les ministres concernés, mal coordonnés, interviendront peu par la suite, et de façon parfois maladroite.
[réf. nécessaire] Mobilisé 24 heures sur 24, le
SCPRI, assisté de l’
Institut de protection et de sûreté nucléaire (IPSN), une branche semi-autonome du CEA que dirige François Cogné, multiplie les mesures globales sur le territoire (lait, eau, air) et tous les soirs à minuit, à partir du 30 avril, fait état par télex à l’AFP de ses constatations et conclusions. Aucun chiffre n’est communiqué durant la première semaine mais le ton est rassurant. Se basant sur les recommandations en vigueur de la communauté scientifique internationale, le SCPRI juge tout de suite que la contamination des aliments produits en France sera trop faible pour poser un vrai
problème de santé publique et qu’il n’y a pas lieu de prendre de mesures de précaution particulières, sauf sur les produits importés de l’est de l’Europe (une question débattue à Bruxelles par l’ensemble des pays de la Communauté européenne). Ce faisant, il cherche à éviter les paniques constatées dans les autres pays affectés et ses conséquences
[réf. nécessaire] (des milliers d’avortements totalement injustifiés sur le plan médical, par exemple
5).